dimanche 30 septembre 2018

Gaïd Salah entame une visite de travail et d’inspection dans la 4ème Région militaire à Ouargla

Le Général de Corps d'Armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'Etat-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a entamé, dimanche, une visite de travail et d’inspection en 4ème Région militaire à Ouargla où il supervisera l'exécution d’exercices tactiques démonstratifs avec munitions réelles, intitulés "Assifa 2018", indique le ministère de la Défense nationale dans un communiqué. M. Gaïd Salah Général de Corps d’Armée supervisera à partir de lundi, l’exécution de "Assifa 2018", au niveau des Secteurs opérationnels Sud-Est Djanet et Nord-Est In- Aménas, précise la même source. La visite a été entamée par le Secteur opérationnel Sud-Est Djanet où le Général de Corps d’Armée "a suivi, après la cérémonie d’accueil, un exposé donné par le Général-major Hacène Alaïmia, Commandant de la 4e Région militaire, qui a présenté l’idée générale de l’exercice et les étapes de son exécution, outre un exposé donné par le Commandant du Secteur opérationnel Sud-Est Djanet et diverses présentations données par les différentes échelles hiérarchiques de Commandement", ajoute le communiqué.  Le Général de Corps d'Armée a donné, ensuite, "un ensemble d’orientations à caractère opérationnel, tout en affirmant, devant le Commandement, l'Etat-major et les cadres de la Région, que cette visite revêt une importance capitale, puisqu’elle coïncide avec le début de l’année de préparation au combat 2018/2019, qui recèlera, sans aucun doute, de nouveaux acquis de qualité en termes de préparation et de développement, qui donneront aux efforts de l'ANP un autre élan dans le rehaussement des capacités de nos Forces armées", relève le MDN. Il a également mis l’accent sur "l’intérêt extrême qu’il accorde à la supervision et à l’évaluation de ce genre d’exercices tactiques démonstratifs avec munitions réelles, exécutés à travers l’ensemble des Régions militaires, comme étant la véritable mesure du niveau d’aptitude au combat du Corps de Bataille de l'ANP, comme ils sont le témoin phare de la maturité de la formation, de l’instruction et de la préparation, qui démarquent, désormais, le parcours de développement de l'Armée nationale populaire", conclut le communiqué. APS


Messahel: l’Algérie a été "la toute première cible du terrorisme"

Le ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel a rappelé samedi à New York que l’Algérie a été "la toute première cible du terrorisme", un phénomène devenu aujourd’hui l’un des fléaux planétaires les plus destructeurs.  "Le terrorisme dont l’Algérie a été la toute première cible au tournant du siècle passé est devenu aujourd’hui l’un des fléaux planétaires les plus destructeurs", a-t-il souligné dans un discours prononcé lors du débat général de la 73éme session de l’Assemblée générale de l’ONU. Il a affirmé, à l'occasion, que l'Algérie, au prix de lourds sacrifices,"a pu y faire face, seule", en adoptant une approche et des moyens qui ont prouvé leur efficacité. La lutte doit s'attaquer aux causes profondes  "Cette expérience, que nous sommes disposés à partager, s’est fondée sur la conviction que toute stratégie de lutte doit impérativement s’attaquer aux causes profondes de cette plaie des temps modernes et qu’elle doit s’accompagner d’une politique de lutte résolue contre la radicalisation et l’extrémisme violent", a-t-il estimé. Le chef de la diplomatie algérienne a interpellé la communauté internationale pour qu'elle fasse en sorte que le combat qui est livré à ce fléau s’accompagne tout à la fois de mesures de dé-radicalisation et d’une véritable promotion de politiques prônant le "vivre-ensemble". "Il me plait de rappeler, dans ce contexte, que la résolution des Nations unies déclarant le 16 Mai journée internationale du vivre ensemble en paix, initiée par l’Algérie, s’inscrit dans le cadre des efforts destinés à promouvoir les principes du dialogue inclusif devant présider à la recherche de solutions aux défis de la stabilité tant au plan national qu’international", a-t-il souligné. Le ministre a rappelé, à ce titre, que l'Algérie en tire "une légitime fierté" tant les valeurs et principes du vivre ensemble en paix ont constitué le socle de la politique de concorde civile et de réconciliation nationale, mise en œuvre par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour mettre fin "définitivement" à la tragédie nationale et réconcilier les Algériens entre eux. Il a fait remarqué, à ce titre, que "ces mêmes principes guident avec constance l’action de la politique extérieure" de l'Algérie dans son voisinage immédiat comme dans son interaction avec le reste du monde.


Multiplication des pathologies du cancer en Algérie : 480.000 personnes affectées, 50.000 nouveaux cas dépistés chaque année

A la veille d’octobre, baptisé « Mois rose » de lutte contre le cancer, une maladie des suites de laquelle sont constatés, chaque année, les décès de 3.000 patients, la chaine 3 de la Radio Algérienne note que celui du sein, en particulier, occupe une place dominante. Considéré comme la seconde cause de mortalité en Algérie après les maladies cardiovasculaires et perçu désormais comme un problème majeur de santé publique, le cancer affecte présentement plus de 480.000 personnes dans le pays auxquelles viennent s’ajouter 50.000 nouveaux malades/an. Parmi les divers types de cancer, celui du sein représente à lui seul 40%. De plus, 13.000 personnes sont frappées, chaque année, par cette pathologie. Le professeur Hamdi Chérif fait état d’une tendance évolutive des divers types de cancers parmi lesquels, souligne-t-il, vient en premier lieu celui du sein, dont il précise qu’il a tendance à augmenter de 7% annuellement, soit le quart de ce type d’affections diagnostiquées sur 39 ans. L’auteur du reportage signale que le Centre pierre et Marie Curie d’Alger chargé de traiter les différents types de cancer reçoit des malades venant des quatre coins du pays.  L’infirmière qu’il interroge au niveau du service de chimiothérapie lui signale que celui-ci prend en charge des femmes très jeunes, âgées de 25 à 30 années, contrairement au passé où, indique-t-elle, la moyenne d’âge des patientes n’excédait pas les 40 années. Une malade hospitalisée au centre confie qu’après qu’elle eut découvert qu’elle avait un cancer du sein, il lui avait semblé qu’elle avait « un pied dans le tombe », ajoutant qu’elle priait Dieu de ne pas recevoir de visiteurs qui viendraient, dir-elle, découvrir « l’état dans lequel je me trouve ». Au niveau de l’un des services, celui de sénologie, le professeur Benhachhou révèle, pour sa part, que plus de 1.500 femmes affectées par le cancer du sein sont opérées chaque année.


Multiplication des pathologies du cancer en Algérie : 480.000 personnes affectées, 50.000 nouveaux cas dépistés chaque année

A la veille d’octobre, baptisé « Mois rose » de lutte contre le cancer, une maladie des suites de laquelle sont constatés, chaque année, les décès de 3.000 patients, la chaine 3 de la Radio Algérienne note que celui du sein, en particulier, occupe une place dominante. Considéré comme la seconde cause de mortalité en Algérie après les maladies cardiovasculaires et perçu désormais comme un problème majeur de santé publique, le cancer affecte présentement plus de 480.000 personnes dans le pays auxquelles viennent s’ajouter 50.000 nouveaux malades/an. Parmi les divers types de cancer, celui du sein représente à lui seul 40%. De plus, 13.000 personnes sont frappées, chaque année, par cette pathologie. Le professeur Hamdi Chérif fait état d’une tendance évolutive des divers types de cancers parmi lesquels, souligne-t-il, vient en premier lieu celui du sein, dont il précise qu’il a tendance à augmenter de 7% annuellement, soit le quart de ce type d’affections diagnostiquées sur 39 ans. L’auteur du reportage signale que le Centre pierre et Marie Curie d’Alger chargé de traiter les différents types de cancer reçoit des malades venant des quatre coins du pays.  L’infirmière qu’il interroge au niveau du service de chimiothérapie lui signale que celui-ci prend en charge des femmes très jeunes, âgées de 25 à 30 années, contrairement au passé où, indique-t-elle, la moyenne d’âge des patientes n’excédait pas les 40 années. Une malade hospitalisée au centre confie qu’après qu’elle eut découvert qu’elle avait un cancer du sein, il lui avait semblé qu’elle avait « un pied dans le tombe », ajoutant qu’elle priait Dieu de ne pas recevoir de visiteurs qui viendraient, dir-elle, découvrir « l’état dans lequel je me trouve ». Au niveau de l’un des services, celui de sénologie, le professeur Benhachhou révèle, pour sa part, que plus de 1.500 femmes affectées par le cancer du sein sont opérées chaque année.


samedi 29 septembre 2018

Le président de la République procède à un mouvement des secrétaires généraux de wilayas

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a procédé à un mouvement des secrétaires généraux de wilayas, indique samedi un communiqué de la Présidence de la République.  Le mouvement des secrétaires généraux de wilayas intervient suite au mouvement partiel effectué dans le corps des walis, précise le communiqué. A ce titre, sont nommés en qualité de secrétaires généraux de wilayas,         Messieurs: 1. Dabou Slimane, secrétaire général de la wilaya de Béjaïa, 2. Kerbouche Kamel Eddine, secrétaire général de la wilaya de Blida,  3. Benkheznadji Rachid, secrétaire général de la wilaya de Tamanrasset, 4. Aroua Aïssa, secrétaire général de la wilaya de Tlemcen, 5. Ouraou Badr Eddine, secrétaire général de la wilaya de Tiaret, 6. Zaoui Mohamed Abdou, secrétaire général de la wilaya de Saïda, 7. Belhazadji El Ghali Abdelkader, secrétaire général de la wilaya  d'Annaba, 8. Akhrouf Saïd, secrétaire général de la wilaya de Constantine, 9. Bouhait Lamri, secrétaire général de la wilaya de Mostaganem, 10. Bettioui Abdelkrim, secrétaire général de la wilaya de M'sila, 11. Moulay Abdelouahab, secrétaire général de la wilaya d'El Bayadh, 12. Douifi Foudil, secrétaire général de la wilaya d'Illizi, 13. Benflis Mahfoud, secrétaire général de la wilaya d'El Tarf, 14. Medebbeb Idir, secrétaire général de la wilaya d'El Oued, 15. Bougara Rachid, secrétaire général de la wilaya de Khenchela, 16. Merine Maâmar, secrétaire général de la wilaya d'Aïn Témouchent, 17. Bourich Aboubakeur, secrétaire général de la wilaya de Relizane.


M.Kaouane souligne le rôle de l'information de proximité dans la vulgarisation des valeurs de paix et de tolérance

Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a mis l'accent samedi à Ain Defla sur l'importance pour l'information de proximité de répandre la culture de la paix et les valeurs de tolérance. «L'information de proximité n'est pas circonscrite aux préoccupations quotidiennes du citoyen, mais doit également contribuer à diffuser la culture de la paix et les valeurs de tolérance», a affirmé M.Kaouane, à l'ouverture d'un colloque organisé à l'occasion de la célébration du 13eme anniversaire de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Le ministre a indiqué, à ce propos, qu'en sus du fait qu'elle constitue un devoir national, la défense des valeurs de tolérance et de la culture de la paix ainsi que leur préservation sont une «responsabilité collective et un legs sacré qui doit se transmettre de génération en génération». Soutenant que le recouvrement de la quiétude, fruit de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, a permis la dynamisation du développement et de l'investissement de façon générale, il a mis l'accent sur le rôle joué par l'information nationale dans la mise en évidence de cette dynamique, saluant son professionnalisme dans l'acquittement de sa mission. S'attardant sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, le ministre a observé que la participation massive du peuple algérien au référendum y afférent atteste de sa volonté de bannir toute forme de violence et extrémisme. «Grâce à la vision éclairée du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et aux sacrifices des vaillants enfants du pays, la douloureuse page inhérente à ce passé sanglant a été définitivement tournée», a-t-il relevé, se félicitant que l'expérience algérienne en matière de réconciliation soit devenue un modèle dont s'inspirent nombre de pays étrangers. La célébration du 13eme anniversaire de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale a été notamment marquée par l'organisation, à Ain Defla, d'un colloque abrité par la maison de la Culture «L'Emir Abdelkader», intitulé «De la paix et la réconciliation à un développement multidimensionnel». APS


Charte pour la paix et la Réconciliation nationale: de la soif de la paix aux défis du développement

L’Algérie célèbre, ce samedi, le 13ème anniversaire de l’adoption de la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale. Plébiscitée par les algériens le 29 septembre 2005, cette Charte avait couronné les années de mobilisation et de luttes d’une nation pour tirer le pays des griffes de la barbarie. Aujourd’hui, la paix est revenue et le pays est engagé sur les voies du développement. La Charte pour la pais et la réconciliation initiée et appliquée par l’Algérie s’est hissé au rang de modèle politique reconnu par toutes les nations. 13 ans après l’adoption de cette politique, les Algériens ont repris le contrôle de leur destin et sont aujourd’hui maîtres de leur avenir. Le retour de la paix était la condition sine qua non du développement. La réconciliation nationale entreprise par le président de la République a couronné les années de résistance et de lutte contre l’hydre terroriste. La fin de l’effusion de sang et la mise hors d’état de nuire des groupes terroristes a permet de remettre le pays sur les rails du développement. Si l’Algérie a réalisé des miracles durant les deux décennies postindépendances, elle a également accompli de grands exploits durant ces deux dernières décennies. 106.000 logements distribués en deux mois  A la fin de la décennie noire, l’Algérie se relève avec plusieurs crises à résoudre. La crise du logement qui sera et qui est toujours l’une des priorités de l’Etat, va être atténuée sensiblement. Les différents programmes lancés depuis ces 20 derniers années, ont, en effet, permis la construction de plus de 3 millions de logements. Les programmes de résorption de l’habitat précaire et l’éradication des bidonvilles ont permis à des milliers de familles de vivre dans des habitations dignes de l’Algérie indépendante.  Cette politique se poursuit avec la même cadence. Alors que les autorités avaient distribué plus de 50.000 logements en juin dernier, une autre opération de distribution de plus de 56.000 logements a été menée la veille de la célébration du jour de l’indépendance. Développement du réseau de transport  En plus du développement des infrastructures et du réseau routier du pays, les Algériens se servent d’un réseau de transport étoffé. Le métro d’Alger et les lignes de tramway réalisées dans plusieurs wilayas offrent le confort du voyage à des millions d’Algériens qui se rendent au travail ou à l’école. Les chemins de fer ont également connu un essor notable. L’Algérie dispose de 4.300 Km de rail et compte étendre son réseau ferroviaire pour atteindre dans les prochaines années les 6.300 Km. Le transport maritime n’est pas en reste. En plus de son renforcement, un grand port centre de transport maritime sera construit à El Hamdania, à Cherchell, dans la wilaya de Tipasa, pour un coût total de 3,3 milliards de dollars. Enseignement : des milliers de diplômés universitaires 56 ans après l’indépendance, l’Algérie ne compte plus ses diplômés universitaires. Des centaines de milliers de diplômés sont formés par les universités du pays. Les capacités d’accueil des différentes universités, construites à travers toutes les wilayas du pays, sont, désormais, de 2 millions d’étudiants. Le secteur de la formation professionnelle, quant à lui, s’est développé remarquablement au cours de ces vingt dernières années. En plus de la modernisation des moyens et de l’adaptation des formations aux besoins du marché du travail, le secteur a formé 280.000 jeunes durant les deux dernières décennies. Ces jeunes sont accompagnés par les différents programmes de soutien et d’aide à l’insertion professionnelle. Grâce à ces programmes, 500.000 Petites et moyens entreprises et 2,5 millions postes d’emplois ont été créées de 2010 à 2017. ANP : fidèle au serment «protéger l’Algérie» L’armée nationale qui a juré fidélité de défendre le pays contre ses ennemis, demeure fidèle au serment. Le renforcement de ses capacités particulièrement dans cette conjoncture régionale et mondiale marquée par l’instabilité, est une question vitale. Car, malgré, sa victoire sur le terrorisme interne, le pays est toujours menacé sur ses frontières. Le bilan de la lutte anti-terroriste, la riposte à l’attaque de Tiguentourine et la surveillance des frontières montrent les capacités de l’Armée nationale populaire à défendre le pays, de le protéger pour lui permettre de continuer, dans la paix, sa marche vers le développement et le progrès.


Adoption de la charte pour la paix et la réconciliation : la Radio Algérienne célèbre le 13ème anniversaire à Ain Defla

A l’initiative de la Radio Algérienne et en collaboration avec la wilaya de Ain Defla, la maison de culture Amir Abdelkader de la wilaya abritera samedi à partir de 10 heures une cérémonie spéciale à l’occasion de la célébration du 13 ème anniversaire du référendum sur la charte de la paix et de la réconciliation qui coïncide avec la date du 29 septembre, indique un communiqué de la direction générale de la Radio nationale. Organisé sous le patronage du ministre de la Communication Djamel Kaouane et le wali Aziz Benyousef, l’événement est ponctué par une conférence débat autour du thème : « De la paix et la réconciliation au saut de développement global », qui sera animée  par un nombre de professeurs et chercheurs. A l'occasion, les organisateurs ont préparé un salon d’exposition mettant en évidence les réalisations les plus importantes enregistrées dans divers secteurs à la wilaya d’Ain Defla. La contribution de la Radio Algérienne à la promotion des valeurs de la paix et de la réconciliation nationale et son accompagnement dans le processus de développement national sera également mise en exergue.  


vendredi 28 septembre 2018

Ligue 1 Mobilis (8e journée/match avancé) : La JS Kabylie bat l'ES Sétif (1-0)

La JS  Kabylie a battu l'ES Sétif sur le score de (1-0), mi-temps (0-0) en match avancé de la 8ème Journée du championnat d'Algérie de football Ligue 1 Mobilis, disputé jeudi soir au stade 8 mai 45  de Sétif. L'unique but de la rencontre a été inscrit par Benyoucef (76) pour la JSK. A la faveur de ce succès, la JSK consolide sa place de leader avec 18pts, tandis que l'ES Sétif reste dans la 5e place avec 11 points et un match en moins. Le reste des rencontres de cette 8e journée aura lieu les vendredi 27 et samedi 28 octobre.  jeudi 27 septembre: ES Sétif - JS Kabylie            0 - 1 vendredi 28 septembre: Médéa (Imam Lyes) : O Médéa - DRB Tadjenant16H00 Batna (1er Novembre) : AS Ain M'lila - NA Hussein Dey16H00  Samedi 29 septembre:  Alger (20 Août 1955) : CR Belouizdad - MC Oran 16H00 à huis clos Bejaia - Unité Maghrebine: MO Bejaia - JS Saoura 17H45 Bologhine - Omar Hamadi: Paradou AC - USM Alger 17H45 : Sidi Bel Abbès - 24 Février 1956: USM Bel Abbes - CAB Bou Arréridj17H45  Jeudi 4 octobre Alger - 5-juillet 1962 : MC Alger - CS Constantine 19h00  Classement Pts J 1). JS Kabylie 18 8 2). USM Alger 12 5 --). CS Constantine 12 7 --). NA Husseïn Dey 12 7 5). ES Sétif 11 7 6). MO Béjaïa 9 6 --). AS Aïn M'lila 9 7 --). Paradou AC 9 7 9). MC Alger 8 7 --). MC Oran 8 7 11). O. Médéa 7 6 --). JS Saoura 7 7 --). CABB Arréridj 7 7 --). DRB Tadjenanet 7 7 15). USM Bel-Abbès 4 6 16). CR Belouizdad 2 7  NDLR : Ce classement prend en considération la victoire de l'AS Aïn M'lila face au CR Belouizdad sur tapis vert (3-0) et la défalcation de 3 points à   ce dernier. APS


jeudi 27 septembre 2018

Le président Bouteflika procède à un mouvement partiel dans le corps des walis

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a procédé à un mouvement partiel dans le corps des walis et walis délégués, annonce jeudi un communique de la présidence dont voici le texte intégral: "Conformément aux dispositions de l'article 92 de la Constitution, Son Excellence Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la République a procédé ce jour à un mouvement partiel des walis et des walis délégués. A ce titre, sont nommés wali messieurs: - Saddek Mostefa, Wali de Chlef. - Hadjadj Messaoud, Wali d'Oum El Bouaghi. - Maabed Ahmed, Wali de Béjaia. - Mebarki Ahmed, Wali de Béchar. - Cherfa Youcef, Wali de Blida. - Chater Abdelhakim, Wali de Tizi Ouzou. - Dif Taoufik, Wali de Djelfa. - Saci Ahmed Abdelhafid, Wali de Sidi Belabbes. - Mezhoud Toufik, Wali d'Annaba. - Abla Kamel, Wali de Guelma. - Badaoui Abbas, Wali de Médéa. - Baiche Hamid, Wali de Mascara. - Bekkouche Benamar, Wali de Bordj Bou Arreridj. - Salamani Mohamed, Wali de Boumerdes. - El Afani Salah, Wali de Tissimsilt. - Mohamedi Farid, Wali de Souk Ahras. - Bouchemma Mohamed, Wali de Tipaza. - Amieur Mohammed, Wali de Mila. Par ailleurs, sont nommés Wali délégué madame et messieurs: - Dahimi Abderrahmane, Wali délégué d'Ouled Djellel. - Amarani Farida, Wali délégué de Bouzaréah. - Harfouche Benarar, Wali délégué de Dar El Beida. - Smail Mohamed, Wali délégué de Chéraga. - Yahiatene Yahia, Wali délégué de Touggourt. - Guedjiba Abdellah, Wali délégué de Djanet. - Mahmoudi Ahmed, Wali délégué d'El Meghaier". APS


Gaïd Salah: l'information et la communication ont un rôle "vital" dans le renforcement des efforts de l'institution militaire

Le général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice-ministre de la Défense nationale, Chef d’état-major de l’Armée nationale populaire a mis l'accent jeudi  sur le rôle "vital" de l’information et la communication dans le renforcement des efforts et dans la protection de l'institution militaire et de ses personnels contre tous les risques et les fléaux. Dans une allocution d'orientation prononcée à l'occasion de la cérémonie d’inauguration de l’Ecole Supérieure Militaire de l’Information et de la Communication, à Sidi Fredj en 1ère Région militaire, le Chef d'état-major de l'ANP a mis l'accent sur "le rôle vital de l’information et la communication dans le renforcement des efforts et dans la protection de notre institution militaire et de ses personnels contre tous les risques et les fléaux, ce qui nécessite de nous tous de consentir davantage d’efforts laborieux et dévoués pour Allah et au service de la Patrie et aussi par fidélité au serment de nos valeureux chouhada et moudjahidine qui ont hissé si haut la voie du droit et qui sont toujours au sommet de la gloire", indique un communiqué du MDN. Accompagné du commandant de la 1ère RM, des chefs des départements du MDN et de l’état-major de l’ANP et des directeurs et chefs des services centraux, le général du corps d'Armée a exhorté, lors de cette allocution diffusée via visioconférence aux unités et Ecoles à travers les six RM, "l’ensemble à suivre l’exemple des sacrifices et des hauts-faits de nos valeureux chouhada et moudjahidine qui se sont donnés corps et âmes pour la Patrie et pour que l’Algérie puisse vivre libre, indépendante et souveraine". M. Gaïd Salah a dans ce cadre rappelé la stratégie globale adoptée par l’ANP dans le domaine de l’information et de la communication. "Une stratégie, a-t-il affirmé, qui émane de la doctrine de notre glorieuse révolution libératrice et de ses nobles valeurs. Une stratégie éclairée par notre profondeur historique nationale qui recèle tant de gloires et de hauts-faits, et qui s’adapte avec les fondements de notre identité nationale et avec nos propres particularités. Une stratégie capable de mettre en place un système de défense nationale avec des missions intégrées et une performance cohérente". "Dans cette perspective et dans le cadre de la vision stratégique globale de la communication au sein de l’ANP, et en étant pleinement conscient de l’importance majeure que revêtent l’information et la communication dans les armées et les guerres modernes, et avec l’avènement de la révolution de l’information et des télécommunications dans le monde, et partant de notre intime conviction de l’importance, plutôt du devoir de relever les défis imposés par le phénomène de la mondialisation qui vise à manipuler l’opinion publique mondiale et à la modeler selon une seule vision économique, sociale et culturelle où s’effondrent les particularités et les fondements de l’identité nationale des peuples, nous avons £œuvré tout au long de ces quelques dernières années à raffermir le système de l’information et de la communication au sein de l’Armée", a-t-soutenu. M. Gaïd Salah a estimé que ce système de l'information et de la communication est un outil "efficace" de communication et de contact direct avec les personnels, ce qui permet, a-t-il déclaré, "de booster leur moral et de faire régner un climat de travail adéquat capable de garantir l’aboutissement des efforts opérationnels d’une part, et de mettre en place un système efficient de communication avec l’opinion publique nationale et mondiale". "Une communication, a-t-il ajouté, qui s’articule intrinsèquement sur la crédibilité et la responsabilité et qui s’adapte aux enjeux actuels dans notre espace régional et international. Une communication qui appuie notre corps de bataille sur le terrain, qui motive davantage et qui maintient cet esprit de détermination, de patriotisme et de sacrifice pour la Patrie, d’une autre part". A l’issue de la cérémonie d’accueil et de l’inauguration de l’Ecole, le général de corps d’Armée a suivi un exposé global sur l’Ecole et ses missions, présentée par son commandant, portant sur la situation générale de ce nouvel établissement de formation, qui vient renforcer l’appareil de formation de l’ANP.  Après avoir visité quelques composantes de l’Ecole et en compagnie du général-major Ali Sidane, commandant de la 1ère RM et du directeur de la Communication, de l’Information et de l’Orientation de l’état-major de l’ANP, le général de corps d’Armée a, également, insisté lors de cette réunion avec les cadres et les stagiaires de l’Ecole, sur le soutien "éminent" et l’importance "capitale" d’investir en la composante humaine, comme étant la première priorité de l’ANP et un investissement des plus nobles, qui est à même d’assurer les objectifs de développements aspirés. "Dans ce contexte précisément, il m’incombe d’insister devant vous encore une fois, que le Haut Commandement de l’Armée nationale populaire, digne héritière de l’Armée de libération nationale, tient, grâce au soutien dont jouit nos Forces armées de la part de Son Excellence Monsieur le président de la République, Chef Suprême des Forces Armées, ministre de la Défense nationale, à apporter au système de formation de l’ANP un soutien permanent et un appui indéfectible, puisque la mission de ce dernier ne se limite pas à la qualification, l’ancrage des compétences et l’enseignement des connaissances et des sciences militaires, mais aspire également, à travers l’enseignement général, à former des personnes engagées envers leur serment pour leur Armée et leur Patrie, aptes à s’adapter à la nature des missions assignées, conscientes de ce qui se passe autour d’elles, convaincues de l’importance du référentiel historique, et de son rôle dans la consolidation du sens du devoir et de l’enracinement de l’esprit de loyauté envers leur Pays". "Ainsi, se concrétise aujourd’hui le renforcement de notre appareil de formation, par ce nouvel édifice de formation qu’est l’Ecole Supérieure Militaire de l’Information et de la Communication, qui assure une formation militaire supérieure et qualitative aux cadres de l’Institution militaire, dans les domaines de l’Information et de la Communication, et fera sortir des cadres compétents dans leurs domaines de spécialisation, capables de remplir le rôle qui leur est assigné, au niveau des différentes structures et unités de l’ANP, avec sérieux et professionnalisme, des cadres talentueux et émérites, que nous voulons pleins de valeurs nationales et d’esprit de responsabilité, qui maitrisent avec aise les différents métiers de  l’information et de la communication, avec talent et technicité, aptes à exercer leurs missions avec mérite, aussi bien pour la communication interne que pour la communication externe, et en toutes conditions et circonstances", a-t-il conclut.                M. Gaïd Salah a suivi, à l’issue de la rencontre, quelques suggestions et interventions des cadres et des stagiaires de l’Ecole, et qui se sont axées toutes sur le rôle sensible et primordial que jouent l’information et la communication dans la protection de notre institution militaire et de ses personnels contre tous les risques et les fléaux. APS


L'Organisation de l'Unité syndicale africaine rend hommage au président Bouteflika pour ses efforts à l'instauration de la paix sur le continent

L'Organisation de l'Unité syndicale africaine (OUSA) a rendu jeudi à Alger, à l'ouverture de la 41ème session de son Conseil général, un vibrant hommage au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, "pour ses efforts et sa contribution au développement socio-économique, à l'instauration de la paix, de la démocratie, de la justice sociale en Algérie et sur le continent africain". Dans une motion de reconnaissance au président Bouteflika, lue par le représentant permanent de l'OUSA à l'Organisation internationale du travail (OIT) et au Bureau des Nations Unies à Genève (Suisse), Abdoulaye Lélouma Diallo, les syndicalistes africains ont également rendu un hommage "appuyé" au président Bouteflika "pour son parcours de Moudjahid, patriote et panafricaniste au service de la liberté et de la dignité des peuples". Ils ont exprimé leur "profonde gratitude" et leurs remerciements "pour son soutien précieux aux travailleurs africains et au mouvement syndical panafricain, authentique et indépendant". Les travailleurs africains ont renouvelé à cette occasion leur "confiance" et leur "éternelle reconnaissance" au chef de l'Etat "pour tous les bienfaits qu'il a apporté à l'Afrique". L'OUSA a également relevé le parcours de "militant engagé" du chef de l'Etat "dans le mouvement national et panafricain pour la libération du peuple algérien et des peuples d'Afrique du colonialisme, de l'Apartheid et la défense de leurs intérêts à tous les niveaux".  Elle a souligné le rôle et les efforts "intenses" du président de la République "pour assurer la paix et la sécurité en Afrique en œuvrant en permanence pour le règlement des conflits régionaux et la lutte contre le terrorisme et toutes les formes de violence et d'extrémisme". Les travailleurs et syndicalistes africains ont mis en avant "la valeureuse contribution" du chef de l'Etat à la mise en place "d'instruments et de cadres à même d'assurer le développement et la prospérité des peuples et travailleurs africains à travers le Nepad et autres plateformes". Ils ont notamment mis en exergue "l'œuvre historique de réconciliation nationale qui a rétabli la paix et la sécurité en Algérie après une longue tragédie", tout en appréciant le soutien du président Bouteflika, "sous diverses formes" aux travailleurs africains et au Mouvement syndical panafricain. La cérémonie solennelle d'ouverture de la 41ème session du Conseil général de l'OUSA s'est tenue en présence du ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh, qui représente le président Bouteflika à ces travaux, ainsi que plusieurs autres membres du gouvernement. Organisée conjointement par l'UGTA et l'OUSA, cette session dont les travaux se tiennent à Alger du 22 au 29 septembre, est "dédiée spécialement au président de la République Abdelaziz Bouteflika". Selon le programme, la journée de ce jeudi sera consacrée à l'examen et l'adoption du rapport d'activité de la précédente session du Conseil général qui s'était tenue en 2017 à Bamako (Mali) ainsi que le plan stratégique et le rapport financier de l'OUSA. Depuis le lancement des travaux le 22 septembre, les syndicalistes ont célébré la "Journée internationale de solidarité", ont assisté à l'intervention du Commissaire à la paix et la sécurité de l'Union africaine, Smail Chergui, sur le rôle des syndicats pour la promotion de la paix et la sécurité.  Un panel de discussion sur le syndicalisme international et les nouveaux défis de solidarité était aussi au programme.   Le thème de la réunion de Bamako avait traité du "renforcement du Mouvement syndical panafricain pour l'avenir du travail et le développement inclusif durable en Afrique grâce au travail décent". APS


Journée mondiale de lutte contre la rage: 11 décès enregistrés depuis le début de l’année

Onze (11) décès causés par la rage ont été enregistrés depuis janvier 2018 en Algérie, a annoncé Mme Samia Hammadi, à la veille de la journée mondiale de lutte contre la rage célébrée le 28 septembre de chaque année. La  responsable à la direction de la prévention, au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, précise que «la moyenne annuelle se situe entre 15 et 20 cas de décès par cette maladie».  «Près de 120.000 morsures (personnes mordues) par des animaux, sont enregistrés annuellement, a-t-elle ajouté.  La même responsable a expliqué que la rage est une maladie «infectieuse d'origine virale» qui est toujours mortelle une fois que les symptômes cliniques apparaissent, précisant que dans la plupart des cas, le virus de la rage est transmis à l'homme par la salive d'un animal infecté, domestique ou sauvage, notamment le chien.  «Des vaccins efficaces sont disponible dans notre pays» Elle a souligné que "des vaccins efficaces" sont disponible dans notre pays contre cette maladie, expliquant que la vaccination permet de prévenir l'apparition de la rage et donc d'éviter le décès, si la vaccination est pratiquée dans les heures suivant la morsure ou une griffure par un animal susceptible d'être enragé.         Dans ce contexte, Mme Hammadi a exposé l'approche multisectorielle dans la lutte contre la rage, notamment les moyens de prévention et de prise en charge, citant les unités anti-rabiques qui sont des centres de prise en charge et de suivi médical des personnes victimes de morsures, en insistant sur l'importance de promouvoir la coordination intersectorielle", rappelant l'instruction interministérielle de prise en charge, publiée en 2015. Atteindre l'objectif escompté, à savoir zéro cas de rage "L'implication de tous les acteurs, notamment, les médias et les associations pour garantir l'efficacité de la sensibilisation et de l'information sur les risques de cette maladie, et sur les moyens de prévention pour atteindre l'objectif escompté, à savoir "zéro cas de rage", a été soulignée. Mme Hammadi a indiqué que la journée mondiale de lutte contre la rage inscrite cette année sous le thème" la rage: transmettez le message, sauvez des vies", constitue pour le ministère de la Santé l'occasion d'informer et de sensibiliser la population sur la prévention face au risque rabique, en l'invitant à faire vacciner les animaux de compagnie contre la rage et d'éviter d'approcher et de toucher un animal inconnu, errant ou sauvage. Pour leur part, les professeurs et médecins qui ont encadré cette formation, ont souligné dans leurs interventions, notamment, la nécessité de connaitre les premiers soins d’urgence à effectuer après toute morsure ou griffure par un animal inconnu ou suspect. Il s'agit de laver immédiatement et abondamment la plaie sous un jet d'eau à forte pression pendant au moins 15 minutes et au savon puis à l'eau de javel et à bénéficier d'une consultation médicale en urgence dans une structure de santé. Appels pour une meilleure coordination entre les divers secteurs  Intervenant, mercredi, lors de l’ouverture des travaux d’une rencontre régionale sur la rage en présence de médecins des wilayas d’Annaba, Tébessa, Guelma, Oum  El Bouaghi et Souk Ahras, la responsable a considéré que l’éradication de la rage exige "une coordination des efforts entre tous les acteurs dont les ministères de la Santé, de l’Agriculture, de l’Environnement, de l’Education Nationale et des Affaires Religieuses ainsi que de la société civile et des médias". La vaccination contre la rage gratuitement assurée Estimant que la rage pouvait être éliminée en Algérie avec la prévention et la disponibilité du vaccin, l’intervenante lors de cette rencontre, a réaffirmé "la détermination de l’Algérie à éradiquer cette maladie conformément aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’ici 2030". De son côté, l’inspecteur vétérinaire de wilaya, Ahmed Mekitaa, a indiqué que la vaccination contre la rage gratuitement assurée par les pouvoirs publics concernés, a touché durant les deux dernières années dans cette wilaya frontalière 1.200 chiens, 950 chats et 36.585 bovins.    


Journée mondiale de lutte contre la rage: 11 décès enregistrés depuis le début de l’année

Onze (11) décès causés par la rage ont été enregistrés depuis janvier 2018 en Algérie, a annoncé Mme Samia Hammadi, à la veille de la journée mondiale de lutte contre la rage célébrée le 28 septembre de chaque année. La  responsable à la direction de la prévention, au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, précise que «la moyenne annuelle se situe entre 15 et 20 cas de décès par cette maladie».  «Près de 120.000 morsures (personnes mordues) par des animaux, sont enregistrés annuellement, a-t-elle ajouté.  La même responsable a expliqué que la rage est une maladie «infectieuse d'origine virale» qui est toujours mortelle une fois que les symptômes cliniques apparaissent, précisant que dans la plupart des cas, le virus de la rage est transmis à l'homme par la salive d'un animal infecté, domestique ou sauvage, notamment le chien.  «Des vaccins efficaces sont disponible dans notre pays» Elle a souligné que "des vaccins efficaces" sont disponible dans notre pays contre cette maladie, expliquant que la vaccination permet de prévenir l'apparition de la rage et donc d'éviter le décès, si la vaccination est pratiquée dans les heures suivant la morsure ou une griffure par un animal susceptible d'être enragé.         Dans ce contexte, Mme Hammadi a exposé l'approche multisectorielle dans la lutte contre la rage, notamment les moyens de prévention et de prise en charge, citant les unités anti-rabiques qui sont des centres de prise en charge et de suivi médical des personnes victimes de morsures, en insistant sur l'importance de promouvoir la coordination intersectorielle", rappelant l'instruction interministérielle de prise en charge, publiée en 2015. Atteindre l'objectif escompté, à savoir zéro cas de rage "L'implication de tous les acteurs, notamment, les médias et les associations pour garantir l'efficacité de la sensibilisation et de l'information sur les risques de cette maladie, et sur les moyens de prévention pour atteindre l'objectif escompté, à savoir "zéro cas de rage", a été soulignée. Mme Hammadi a indiqué que la journée mondiale de lutte contre la rage inscrite cette année sous le thème" la rage: transmettez le message, sauvez des vies", constitue pour le ministère de la Santé l'occasion d'informer et de sensibiliser la population sur la prévention face au risque rabique, en l'invitant à faire vacciner les animaux de compagnie contre la rage et d'éviter d'approcher et de toucher un animal inconnu, errant ou sauvage. Pour leur part, les professeurs et médecins qui ont encadré cette formation, ont souligné dans leurs interventions, notamment, la nécessité de connaitre les premiers soins d’urgence à effectuer après toute morsure ou griffure par un animal inconnu ou suspect. Il s'agit de laver immédiatement et abondamment la plaie sous un jet d'eau à forte pression pendant au moins 15 minutes et au savon puis à l'eau de javel et à bénéficier d'une consultation médicale en urgence dans une structure de santé. Appels pour une meilleure coordination entre les divers secteurs  Intervenant, mercredi, lors de l’ouverture des travaux d’une rencontre régionale sur la rage en présence de médecins des wilayas d’Annaba, Tébessa, Guelma, Oum  El Bouaghi et Souk Ahras, la responsable a considéré que l’éradication de la rage exige "une coordination des efforts entre tous les acteurs dont les ministères de la Santé, de l’Agriculture, de l’Environnement, de l’Education Nationale et des Affaires Religieuses ainsi que de la société civile et des médias". La vaccination contre la rage gratuitement assurée Estimant que la rage pouvait être éliminée en Algérie avec la prévention et la disponibilité du vaccin, l’intervenante lors de cette rencontre, a réaffirmé "la détermination de l’Algérie à éradiquer cette maladie conformément aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’ici 2030". De son côté, l’inspecteur vétérinaire de wilaya, Ahmed Mekitaa, a indiqué que la vaccination contre la rage gratuitement assurée par les pouvoirs publics concernés, a touché durant les deux dernières années dans cette wilaya frontalière 1.200 chiens, 950 chats et 36.585 bovins.    


mercredi 26 septembre 2018

Loi de finances 2019: Pas de nouvelles taxes, légère hausse des recettes budgétaires

Le projet de loi de finances 2019, adopté mercredi par le Conseil des ministres, ne prévoit aucune nouvelle taxe et table sur une légère hausse des recettes et du budget de fonctionnement. "Aucune nouvelle taxe ou augmentation des prestations publiques n’est proposée dans le projet de loi de finances pour 2019", précise le communiqué du Conseil des ministres tenu sous la présidence du Président de la république, Abdelaziz Bouteflika.         Ce projet de loi a été élaboré sur la base d’un cadrage macroéconomique "prudent" avec un prix du pétrole à 50 dollars le baril, un taux de croissance de 2,6% et un taux d’inflation de 4,5%.  Dans sa partie budgétaire, le texte prévoit des recettes budgétaires de 6.508 milliards DA (mds DA), en légère hausse par rapport à celles de 2018, dont 2.714 mds DA de fiscalité pétrolière. Quant aux dépenses budgétaires, elles s’élèveront à 8.557 mds DA, en légère baisse par rapport à celles de 2018. Concernant le budget de fonctionnement, il est estimé à 4.954 mds DA "avec une légère hausse découlant de la situation sécuritaire aux frontières ainsi que du relèvement des transferts sociaux qui atteindront 1.763 mds DA (près de 21% de la totalité du budget de l’Etat). Les crédits budgétisés pour les transferts sociaux couvriront notamment plus de 445 milliards DA destinés au soutien aux familles, près de 290 mds DA destinés aux retraites (auxquelles s’ajoutera une dotation d’appui de 500 mds DA à la Caisse Nationale des Retraites), près de 336 mds DA pour la politique publique de santé, et plus de 350 mds DA pour la politique publique de l’habitat (auxquels s’ajouteront près de 300 mds DA mobilisés pour le même secteur par le Fonds national d’investissement).  Le solde global du Trésor pour l’exercice 2019 affichera un déficit de près de 2.200 mds DA.  Pour le budget d’équipement, il s’élèvera à 3.602 mds DA de crédits de paiements et de 2.600 milliards DA d’autorisations de programme destinées à de nouveaux projets ou à des réévaluations.  La légère baisse nominale du budget d’équipement "ne correspond pas à un recul de la politique publique d’investissement, mais elle découle notamment d’une baisse de près de 300 mds DA des crédits consacrés l’année dernière à l’assainissement des créances détenues sur l’Etat", précise le communiqué. "La consistance du budget d’équipement pour 2019 confirme la poursuite de l’engagement de l’Etat en faveur du développement économique et social" avec notamment des dotations de 625 mds DA pour l’appui au développement humain, près de 1.000 mds DA de soutien multiforme au développement économique et 100 mds DA de concours au développement local. APS


Conseil des ministre : Le président Bouteflika appelle à améliorer le niveau de développement humain

Réunion du Conseil des ministre, Photo d'archive

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a appelé mercredi, lors de la réunion du Conseil des ministres, à améliorer le niveau de développement humain de la population, "surtout que celle-ci connaît une progression de plus d'un million d'habitants par année".  "L'Algérie doit se mobiliser davantage dès à présent pour maintenir et améliorer le niveau de développement humain de la population, surtout que celle-ci connaît une progression de plus d'un million d'habitants par année, et l'Algérie dispose des moyens de réussir ce pari", a déclaré le président Bouteflika. Le développement humain de la population bénéficie, selon le projet de Loi de finances 2019, d'une dotation budgétaire d'appui de 625 milliards de DA.  Pour atteindre cet objectif, le chef de l'Etat a souligné qu'il était impératif d'"approfondir les réformes déjà engagées dans tous les secteurs", observant qu'elles garantiront, d'abord, "une justice sociale toujours intense mais aussi plus transparente, plus efficace et plus équitable".  Afin que ces réformes soient perçues de manière plus concrète, elles devront garantir, aussi, "un service public davantage allégé des lourdeurs bureaucratiques" et "promouvoir, enfin, une décentralisation plus effective, permettant d'améliorer l'écoute, le dialogue et les solutions de la part des pouvoirs publics face aux attentes des citoyens", a ajouté le président de la République. Le Conseil des ministres, réuni mercredi à Alger sous la présidence du président Abdelaziz Bouteflika, a examiné et approuvé le projet de loi de finances pour 2019 qui "confirme dans son volet relatif au budget d'équipement la poursuite de l'engagement de l'Etat en faveur du développement économique et social", indique le communiqué rendu public à l'issue de la réunion.  Outre une dotation de 625 milliards DA pour l'appui au développement humain, les crédits budgétisés, couvriront, en matière de transferts sociaux, notamment, plus de 445 milliards DA destinés au soutien aux familles, près de 336 milliards DA pour la politique publique de santé et plus de 350 milliards DA pour la politique publique de l'habitat (auxquels s'ajouteront près de 300 milliards DA mobilisés pour le même secteur par le Fonds national d'investissement). APS


Marathon international de Medghacen: plus de 1500 coureurs attendus à Batna

La 9è édition du marathon international de Medghacen (Batna) aura lieu le 6 octobre avec la participation de plus de 1500 coureurs de 11 pays, a indiqué mercredi l'association des Amis de Medghacen, organisatrice de l'événement en partenariat avec la direction de la jeunesse et des sports et la ligue d'athlétisme de la wilaya de Batna. La course est prévue sur une distance réglementaire de 42,192 km, à partir du centre-ville de Batna jusqu'au tombeau de Medghacen. En plus de  cette épreuve-reine, deux autres courses sont inscrites au programme : la première entre Batna et Fesdis sur une distance de 13 km, et la seconde entre Batna et El Madher sur un parcours de 26 km. "Pour le première fois, les organisateurs ont décidé de modifier le tracé et de supprimer ce qui faisait la difficulté de cette course, les fameux  tronçons El Madher-Boumia, puis Boumia-Medghacen, théâtre de nombreux  abandons", a fait savoir l'association organisatrice, ajoutant que "ce  tracé inédit, par Ain Mezouala, est rapide et moins difficile que l'ancien  ce qui devrait permettre aux athlètes de battre leurs records".   En plus de sa vocation sportive, cette manifestation ambitionne, selon les  organisateurs, de "mettre les projecteurs sur le tombeau de Medghacen,  monument qui est en état de dégradation inquiétante. Il est le plus ancien  témoin de l'architecture berbère préromaine. Il est daté de 3 à 4 siècles  av.J-C, et aurait été le tombeau d'un roi massyle ancêtre de Massinissa".      


BMS: pluies sous forme d'orages attendues sur les hauts plateaux du Centre et de l'Ouest du pays

Des pluies assez soutenues, parfois sous forme d'orages, affecteront les hauts plateaux du Centre et de l'Ouest du pays, à compter de mercredi après-midi, indique un Bulletin météorologique spécial (BMS) de l'Office national de météorologie (ONM).    M'sila, Djelfa, Laghouat et El Bayadh sont les wilayas concernées par ces précipitations dont la validité sera en cours, de 14 heures à 23 heures.     Le cumul des précipitations atteindront ou dépasseront localement  25 mm durant cette validité.  En outre, une activité orageuse, accompagnée localement  de fortes averses, affectera, également, à partir de mercredi après-midi, le Sahara central et le Sahara oriental.  Les wilayas d'Illizi, Ouargla, Ghardaïa, ainsi que la moitié du Nord de Tamanrasset et le Nord d'Adrar, sont concernées par les prévisions attendues et dont la validité sera en cours du mercredi, à partir de 15 heures, jusqu'à jeudi à 3 heures. Le cumul des précipitations atteindra ou dépassera localement  25 mm durant cette validité marquée par des rafales de vent et orages, signalent les prévisions du BMS.  


M. Mohamed Mebarki : redoubler d’efforts pour adapter, au plus près, la formation aux besoins de la sphère économique

Afin de s’adapter au plus près à la demande du marché du travail, le secteur de la formation a été amené à opérer une série de changements au cours de ces dernières années. Intervenant, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine3 de la Radio Algérienne, le ministre de la Formation et de l’enseignement professionnel explique que le challenge dorénavant tend à former des ressources humaines qualifiées pour faciliter leur employabilité. Signalant qu’environ 700.000 stagiaires suivent une formation professionnelle dans nombre de filières, M. Mohamed Mebarki indique que ceux-ci sont en majorité constitués des quelque 450.000 élèves qui, chaque année et « pour diverses raisons », quittent l’école, « sans un niveau scolaire important ».    Pour autant, le ministre déclare se refuser à considérer ces derniers comme constituyant « les lots de déperditions scolaires ». Pour ces jeunes, souligne-t-il, sortir de l’enseignement général pour aller vers la formation professionnelle, « n’est ni un travers, ni un échec ». Il en veut pour preuve le fait que 70% de ceux qui ont bénéficié d’une telle formation trouvent un emploi « en moins de six mois » contre 83% au cours de l’année 2017. M. Mebarki considère, par ailleurs, qu’une amélioration de l’adéquation entre les demandes formulées par la sphère économique et le système de formation professionnelle, pourrait contribuer à améliorer davanatage ces pourcentages et contribuer à « lutter contre le chômage ». Des secteurs employeurs des jeunes formés, celui-ci cite ceux spécialisés dans les techniques d’automatisation, l’électrotechnique, le numérique, les TIC,  les systèmes digitaux, la téléphonie ainsi que la maintenance des systèmes des nouvelles énergies.Il note que certaines de ces spécialités éprouvent encore des difficultés à trouver des personnels en quantité.  


mardi 25 septembre 2018

Le Président Bouteflika présidera mercredi une réunion du Conseil des ministres

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, présidera mercredi une réunion du Conseil des ministres, qui sera consacrée notamment à la loi de finances 2019.  D'autres points figurent également à l'ordre du jour de ce Conseil dont le projet de loi portant règlement budgétaire pour l'exercice 2016. Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, avait indiqué en début septembre, rappelle-t-on, que le projet de loi de finances 2019 ne comporte pas des mesures d'augmentation des taxes et impôts, voire que la politique sociale de soutien au catégories défavorisées, se poursuivra. Quant au projet de règlement budgétaire 2016, il fait ressortir les conditions d'exécution du budget général de l'Etat de l'année 2016 ainsi que l'état d'exécution effective des crédits sur la même année, et ce, par rapport à ce qu'avait prévu la loi de finances 2016. La loi de finances 2016 avait tablé sur des dépenses globales de 7.984,1 milliards DA (mds DA), composées de 4.807.3 mds de DA de dépenses de fonctionnement et de 3.176.8 mds de DA de dépenses d`équipement. Les recettes budgétaires, elles, étaient estimées à 4.953 mds DA en 2016. Le déficit du solde global du Trésor de 2016 avait été estimé à 2.452 mds DA.


Accidents de la route: 392 enfants décédés et 5.189 autres blessés sur les chemins des écoles durant l'année scolaire 2017-2018

Trois cents quatre-vingt-douze (392) enfants sont décédés durant l'année scolaire 2017-2018, selon un bilan du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), rendu public en marge d'une campagne de sensibilisation lancée, mardi, pour la protection des enfants scolarisés contre les accidents de la route. 392 enfants âgés de moins de 14 ans sont décédés et 5.189 autres blessés durant la période allant de septembre 2017 à juin 2018, indique le CNPSR, ajoutant que "la plupart des victimes ont été déplorées sur les chemins des différents établissements éducatifs". Campagne de sensibilisation A travers cette campagne de sensibilisation, organisée sous le slogan "pensez à vos enfants...réduisez la vitesse", le Centre vise "à préserver les enfants, notamment scolarisés, contre les accidents de la route". Le Centre a tracé un "programme varié" basé sur l'action de proximité sur le terrain pour la sensibilisation aux dangers des accidents de la route, avec la diffusion de spots publicitaires sur la protection des enfants scolarisés contre leurs risques, à travers les radios thématiques et locales et les chaines de télévision. Des SMS contenant le slogan de la campagne seront également envoyés aux conducteurs, en sus d'affiches qui seront installées à travers les grands axes routiers. APS 


Accidents de la route: 392 enfants décédés et 5.189 autres blessés sur les chemins des écoles durant l'année scolaire 2017-2018

Trois cents quatre-vingt-douze (392) enfants sont décédés durant l'année scolaire 2017-2018, selon un bilan du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), rendu public en marge d'une campagne de sensibilisation lancée, mardi, pour la protection des enfants scolarisés contre les accidents de la route. 392 enfants âgés de moins de 14 ans sont décédés et 5.189 autres blessés durant la période allant de septembre 2017 à juin 2018, indique le CNPSR, ajoutant que "la plupart des victimes ont été déplorées sur les chemins des différents établissements éducatifs". Campagne de sensibilisation A travers cette campagne de sensibilisation, organisée sous le slogan "pensez à vos enfants...réduisez la vitesse", le Centre vise "à préserver les enfants, notamment scolarisés, contre les accidents de la route". Le Centre a tracé un "programme varié" basé sur l'action de proximité sur le terrain pour la sensibilisation aux dangers des accidents de la route, avec la diffusion de spots publicitaires sur la protection des enfants scolarisés contre leurs risques, à travers les radios thématiques et locales et les chaines de télévision. Des SMS contenant le slogan de la campagne seront également envoyés aux conducteurs, en sus d'affiches qui seront installées à travers les grands axes routiers. APS 


Le directeur général de la Casnos dénonce les réticences de non salariés à s’affilier à son organisme

Le 30 septembre est la date limite fixée aux agriculteurs pour s’acquitter de leurs cotisations vis-à-vis de la Caisse de sécurité sociale des non salariés (Casnos). Notant le peu d’empressement de nombre de ces derniers à rejoindre son organisme, M. Hachak Youcef Chawaki déclare cependant noter un « frémissement palpable » donnant à penser que les choses sont en train d’évoluer. Des 3% d’adhérents constatés il y a quatre années, le chiffre des assurés est, dit-il, passé aux alentours de 20%, en raison, explique-t-il, de l’élargissement de la couverture sociale aux proches des agriculteurs travaillant à leurs cotés. S’exprimant, mardi, à la chaine 3 de la Radio Algérienne, le directeur général de la Casnos affirme ne pas connaitre le nombre réel des personnes activant dans le secteur agricole, les estimant globalement à quelque 800.000. Mais outre les réticences de travailleurs de la terre et de personnes activant  pour leur propre compte à s’affilier à la Casnos, M. Youcef Chawki pointe également du doigt des employeurs d’autres secteurs d’activité, lesquels, déclare-t-il, refusent à faire bénéficier leurs salariés de la sécurité sociale. Du manque à gagner de la Cavnos provoqué par ces défections, toutes professions confondues, celui-ci refuse d’avancer des chiffres, expliquant que ceux-ci seraient alors « très approximatifs ». Pour tenter de mettre un terme à cette situation, il annonce que la caisse est passée désormais au stade de la coercition, en activant les contrôleurs du contentieux chargés de notifier les délits et de faire bloquer les comptes des contrevenants.  


Le directeur général de la Casnos dénonce les réticences de non salariés à s’affilier à son organisme

Le 30 septembre est la date limite fixée aux agriculteurs pour s’acquitter de leurs cotisations vis-à-vis de la Caisse de sécurité sociale des non salariés (Casnos). Notant le peu d’empressement de nombre de ces derniers à rejoindre son organisme, M. Hachak Youcef Chawaki déclare cependant noter un « frémissement palpable » donnant à penser que les choses sont en train d’évoluer. Des 3% d’adhérents constatés il y a quatre années, le chiffre des assurés est, dit-il, passé aux alentours de 20%, en raison, explique-t-il, de l’élargissement de la couverture sociale aux proches des agriculteurs travaillant à leurs cotés. S’exprimant, mardi, à la chaine 3 de la Radio Algérienne, le directeur général de la Casnos affirme ne pas connaitre le nombre réel des personnes activant dans le secteur agricole, les estimant globalement à quelque 800.000. Mais outre les réticences de travailleurs de la terre et de personnes activant  pour leur propre compte à s’affilier à la Casnos, M. Youcef Chawki pointe également du doigt des employeurs d’autres secteurs d’activité, lesquels, déclare-t-il, refusent à faire bénéficier leurs salariés de la sécurité sociale. Du manque à gagner de la Cavnos provoqué par ces défections, toutes professions confondues, celui-ci refuse d’avancer des chiffres, expliquant que ceux-ci seraient alors « très approximatifs ». Pour tenter de mettre un terme à cette situation, il annonce que la caisse est passée désormais au stade de la coercition, en activant les contrôleurs du contentieux chargés de notifier les délits et de faire bloquer les comptes des contrevenants.  


Les vainqueurs des trophées Fifa 2018

Les vainqueurs des trophées Fifa 2018, décernés lundi à Londres: Meilleur joueur : Luka Modric (CRO/Real Madrid)  Meilleur gardien de but Thibaut Courtois (BEL/Real Madrid, anciennement Chelsea)  Meilleure joueuse Marta (BRA/Orlando Pride) Entraîneur d'équipe masculine Didier Deschamps (FRA/France)  Entraîneur d'équipe féminine Reynald Pedros (FRA/Lyon)  Trophée Puskas du plus beau but     Mohamed Salah (Liverpool).


Intempéries : 2 blessés et effondrement partiel de quatre habitations à Adrar

Après les villes de l’est du pays, les intempéries touchent les wilayas du sud. Lundi après-midi, la ville d'Adrar a été secouée par des intempéries qui ont fait deux blessés et provoqué l'effondrement partiel de quatre habitations, indique la protection civile.  Les fortes pluies se sont abattues pendant près de deux heures de temps à Adrar ont, également, occasionné des pannes d’une dizaine de compteurs d'électricité de divers maisons et de nombreux points noirs dans différents quartiers. Le journaliste de la Chaine 1 rapporte pour sa part que les deux personnes blessées ont été évacuées vers les services hospitalier de la ville.       


lundi 24 septembre 2018

Jeux méditerranéens-2021 : premier test réussi pour Oran

La ville d’Oran a été gratifiée des éloges des membres de la commission technique relevant du comité international des jeux méditerranéens (CIJM) au cours de leur visite, samedi et dimanche, à El-Bahia qui se prépare à accueillir la 19e édition des Jeux méditerranéens (JM) en 2021. Un premier examen passé avec succès par les organisateurs de cet évènement confié pour la deuxième fois à l’Algérie après avoir abrité à Alger l’édition de 1975. Les déclarations du président de la commission technique du CIJM, le Français Bernard Amsalem, après avoir visité différentes infrastructures sportives, en cours de réalisation et de réhabilitation, ainsi sa réunion avec les responsables des secteurs concernés par l’organisation des jeux, sont venues rassurer les autorités locales qu’ils étaient sur la bonne voie. Mieux, M. Amsalem n’a raté aucune occasion pour vanter les installations sportives et hôtelières ainsi que les équipements de transport dont dispose la capitale de l’Ouest du pays, prédisant un "franc succès" à la 19e  édition. La qualités de toutes les installations sportives et hôtelières que prépare Oran pour abriter la manifestation sportive méditerranéenne a même poussé le responsable en question à placer la barre haut en confiant que le CIJM table énormément sur la prochaine édition pour en faire la meilleure depuis la création des jeux en 1951. Un défi que les organisateurs algériens se disent prêts à le relever. Déjà, le ministre de la Jeunesse et des sports, Mohamed Hattab, s’était engagé, lors de l’arrivée à Oran de l’emblème des JM en début juillet dernier en provenance de Tarragone, la ville espagnole qui a accueilli la précédente édition, que les autorités algériennes sont mobilisées pour que les jeux d’Oran soient tout simplement "inédits". Une manière de faire visant à confirmer le retour de l’Algérie au devant de la scène et prouver qu’elle était capable d’organiser des grandes manifestations sportives, sachant qu’il y a quelques semaines Alger a abrité les jeux africains de la jeunesse. En tout cas, les premières impressions des membres de la  commission technique du CIJM, et ce, pour leur première mission à Oran, plaide largement en faveur des organisateurs algériens. Mieux, ce comité s’attend à ce que tout soit fin prêt en matière de sites de compétition, d’entrainement et d’hébergement, avant une année ou plus du coup d’envoi des JM programmés lors de l’été 2021. C’est surtout le nouveau complexe sportif dont va bénéficier Oran pour l’occasion, et qui est en cours de réalisation, qui a attiré l’admiration de la délégation du CIJM. Ce complexe pour lequel une enveloppe financière de l’ordre de 23 milliards de dinars, selon le directeur local de la jeunesse et des sports, Badreddine Gharbi, sera un acquis de taille pour le mouvement sportif oranais, s’est félicité, M. Amsalem.  Le CIJM place la barre haut    Mieux, ce responsable voit en ce complexe un "atout de taille à même de permettre à Oran de devenir la première ville sportive algérienne voire africaine". Raison pour laquelle, il a appelé à y investir après les JM. Le complexe sportif en question, et même s’il a connu un sensible retard dans sa réalisation pour différentes raisons, devrait être réceptionné au plus tard lors du premier trimestre de l’année 2020, selon les assurances des services concernés. En attendant, le stade de 40.000 places, qualifié par le comité technique du CIJM de "véritable bijou", sera livré le premier en début de l’année prochaine. Le chantier est d’ailleurs à sa phase finale, après avoir désigné récemment l’entreprise qui sera chargée de réaliser la pelouse naturelle qui revêtira son terrain. Et si tout est acquis en matière d’infrastructures pour accueillir comme il se doit la 19e édition des JM, il faudra néanmoins réussir un autre défi et non des moindres, à savoir mobiliser le maximum de bénévoles pour assurer une organisation de premier ordre de la manifestation. Un volet sur lequel se sont longuement attardés du reste les membres du comité technique, en particulier son président, qui a mis en relief le rôle des bénévoles dans la réussite de toutes les grandes compétitions, et les JM en font parties, "car il s’agit des jeux olympiques des pays du bassin méditerranéen", a-t-il dit. Le Tunisien, Mohamed Zeribi, membre de ladite commission, table, lui, sur "2.500 à 3.000 bénévoles" à l’occasion des JM d’Oran, tout en insistant sur la nécessité de leur réserver une formation spécialisée. A ce propos, les autorités locales ont déjà pris leurs devants. Le wali d’Oran, Mouloud Chérifi, a indiqué dimanche, en marge de l’ouverture de la session de septembre de la formation professionnelle, qu’une commission a été déjà mise en place pour le "recrutement" des bénévoles en prévision des JM, tout en assurant que des formations, à court et moyen terme, leur seront disponibles. C’est aussi en prévision des JM que le secteur de la formation professionnelle a également ouvert de nouvelles spécialités dans les domaines de l’hôtellerie et le tourisme, en particulier. C’est dire qu’à Oran l’on ne veut rien laisser au hasard, ce qui a déjà conforté les représentants du CIJM, qui ont quitté la ville tout en ayant pris de nombreuses bonnes notes dans leur calepin.


Des conséquences désastreuses des inondations : le représentant du ministère de l’Intérieur met en cause les services météos

Les inondations qui ont affectées, au cours des dernières semaines, différentes localités de l’Algérie, entrainant pour certaines parmi elles des pertes en vies humaines et des blessé, ont fait l’objet, lundi, de l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne. A propos de la situation provoquée par le mauvais temps dans 24 wilayas, le délégué national aux risques majeurs du ministère de l’Intérieur qui s’y est exprimé fait état d’une « situation inédite, due à des pluies torrentielles et des orages violents ». Pour ce qui a trait, en particulier à  la situation créée, le 19 septembre, par les intempéries qui ont affectées la ville de Constantine et de ses environs, M. Tahar Melizi révèle qu’aucun bulletin météorologique spécial (BMS) n’a été émis « pour prévenir la population qu’un évènement violent allait survenir ». Il explique d'autre part, que celle-ci résulte d'une pluviométrie abondante, signalant qu'il est tombé 80 milimètres de pluies en 25 minutes, soit, précise-t-il l'équivalent de ce qui est observé sur une période de 3 mois. Citant les précédents d’Ain El Kebira, à Chréa et Tébessa notamment, il signale que ces BMS n’arrivent pas « au bon moment », sinon pas du tout, ajoutant qu’il arrive aussi que leur contenu ne soit pas aussi précis qu’on le veuille, voire, « assez vague ».   A la question de savoir pourquoi les inondations provoquent autant de dégâts et si les responsabilités des pertes engendrées ont été situées, l’intervenant se contente de répondre qu’une commission ministérielle a été dépêchée pour analyser leurs causes. Il relève, de plus, que de pareils « évènements » surviennent également « dans les pays du monde entier ». La situation créée serait-il le résultat d’une défaillance des autorités locales ? M. Melizi rétorque ne pas être d’accord avec cette explication ajoutant que celles-ci « font ce qu’elles peuvent par rapport aux moyens dont elles disposent », reconnaissant toutefois qu’il faut revoir les dispositions « pour mieux se préparer pendant toute l’année ».   M. Melizi indique, par ailleurs, qu’il n’existe pas encore de cartographie exacte des zones inondables laquelle, dit-il, est en train d’être réalisée.    


Des conséquences désastreuses des inondations : le représentant du ministère de l’Intérieur met en cause les services météos

Les inondations qui ont affectées, au cours des dernières semaines, différentes localités de l’Algérie, entrainant pour certaines parmi elles des pertes en vies humaines et des blessé, ont fait l’objet, lundi, de l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne. A propos de la situation provoquée par le mauvais temps dans 24 wilayas, le délégué national aux risques majeurs du ministère de l’Intérieur qui s’y est exprimé fait état d’une « situation inédite, due à des pluies torrentielles et des orages violents ». Pour ce qui a trait, en particulier à  la situation créée, le 19 septembre, par les intempéries qui ont affectées la ville de Constantine et de ses environs, M. Tahar Melizi révèle qu’aucun bulletin météorologique spécial (BMS) n’a été émis « pour prévenir la population qu’un évènement violent allait survenir ». Il explique d'autre part, que celle-ci résulte d'une pluviométrie abondante, signalant qu'il est tombé 80 milimètres de pluies en 25 minutes, soit, précise-t-il l'équivalent de ce qui est observé sur une période de 3 mois. Citant les précédents d’Ain El Kebira, à Chréa et Tébessa notamment, il signale que ces BMS n’arrivent pas « au bon moment », sinon pas du tout, ajoutant qu’il arrive aussi que leur contenu ne soit pas aussi précis qu’on le veuille, voire, « assez vague ».   A la question de savoir pourquoi les inondations provoquent autant de dégâts et si les responsabilités des pertes engendrées ont été situées, l’intervenant se contente de répondre qu’une commission ministérielle a été dépêchée pour analyser leurs causes. Il relève, de plus, que de pareils « évènements » surviennent également « dans les pays du monde entier ». La situation créée serait-il le résultat d’une défaillance des autorités locales ? M. Melizi rétorque ne pas être d’accord avec cette explication ajoutant que celles-ci « font ce qu’elles peuvent par rapport aux moyens dont elles disposent », reconnaissant toutefois qu’il faut revoir les dispositions « pour mieux se préparer pendant toute l’année ».   M. Melizi indique, par ailleurs, qu’il n’existe pas encore de cartographie exacte des zones inondables laquelle, dit-il, est en train d’être réalisée.    


Quarts de finale de la Coupe de la CAF : l’USMA éliminée

L'USM Alger  a été éliminé dimanche soir des quart-finales de la Coupe de la Confédération par les Egyptiens d'Al Masry SC, au stade 8 Mai 1945 de Sétif. Après avoir perdu à l’aller, les joueurs de Soustara se sont inclinés, au match retour, sur le même score (1-0) face à de prenables égyptiens, qui ont réussit a plié le match dès la 34 ‘ par l’intermédiaire de Wady exploitant une erreur de Benmoussa. La prestation des Algériens a été très décevante sur toute la ligne, surtout pour les supportes des Rouge et Noirs qui ont fait le déplacement jusqu’à Sétif pour encourager leur équipe favorite.


Gaïd Salah installe le Général-Major Mostefa Smaali dans ses nouvelles fonctions de Commandant de la 3ème RM

Le Général de corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP) a présidé dimanche la cérémonie d’installation du nouveau Commandant de la 3ème Région militaire (RM) à Béchar le Général-Major Mostefa Smaali, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale. «Au nom de Son Excellence, Monsieur le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale et conformément au décret présidentiel du 16 septembre 2018, monsieur le Général de corps d'Armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'ANP a présidé, ce matin dimanche 23 septembre 2018, la  cérémonie de passation de pouvoir et l'installation du Général-Major Mostefa Smaali dans les fonctions de commandant de la 3ème RM Béchar, en succession au Général-Major Saïd Chenagriha, nommé Commandant des Forces terrestres», précise la même source.            «A l'entame et à l’issue de la cérémonie d’accueil à l’entrée du siège du Commandement de la Région, le Général de corps d'Armée a observé un moment de recueillement sur l'âme du Chahid Mostefa Ben Boulaïd, dont le nom est porté par le siège du Commandement de la Région, où il a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorant sa mémoire et a récité la Fatiha sur son âme et sur celles de nos valeureux Chouhada», ajoute le communiqué du MDN. Par la suite et devant les carrés de formations alignées à la place d’armes, le Général de corps d'Armée a annoncé l'installation officielle du Général-Major Mostefa Smaali, nouveau Commandant de la 3e Région militaire et lui a remis l'emblème national. «Au nom de son Excellence, Monsieur le Président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale et conformément au décret présidentiel du 16 septembre 2018, j'installe officiellement, le Général-Major Mostefa Smaali, Commandant de la 3ème RM, en succession au Général-Major Saïd Chenagriha, nommé Commandant des Forces terrestres», a  affirmé Le Général de corps d’Armée. Après l'approbation du procès-verbal de la passation de pouvoir, le Général de corps d'Armée a tenu une rencontre avec le Commandement et les cadres de la Région au cours de laquelle il a prononcé une allocution d’orientation, diffusée via visioconférence à toutes les unités des 3ème et 2ème Régions militaires et à travers laquelle il a rappelé «le haut professionnalisme dont jouit aujourd’hui le corps de bataille de l’ANP qui est le fruit du soutien particulier accordé par le Haut commandement, ces dernières années, à son développement et à sa modernisation afin de le hisser aux niveaux aspirés, aussi bien en termes d’état-prêt opérationnel et de qualité de préparation et de formation qu’en termes d’emploi rationnel des moyens modernes mis à disposition». «Le travail laborieux que nous avons veillé à adopter au sein de l’ANP a laissé des marques concrètes, gravées sur le registre des résultats réalisés sur le terrain durant ces dernières années, au niveau de  l’ensemble des composantes de nos Forces armées, ce qui a manifestement et positivement influencé le parcours de développement adopté», a-t-il souligné.  «Nous étions convaincus au sein de l’ANP, tout en exerçant sous le commandement clairvoyant et avec les orientations de Son Excellence, Monsieur le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, que l’état-prêt au combat aspiré a des exigences bien évidentes, que nous avons veillé à réunir dans les normes requises, comme nous avons veillé à faire prendre conscience au personnel militaire, là où il se trouve, que cette patrie dont la terre est notre demeure, mérite de son Armée d’atteindre toutes les capacités nécessaires permettant de conjuguer objectivement entre la grandeur des missions assignées et l’ampleur des efforts qui doivent être consentis au service de l’Algérie et sa sécurité nationale», a affirmé Général de corps d’Armée. «Dans ce contexte précisément, nous considérons que l’aboutissement de nos efforts sincères aux objectifs tracés et aspirés au profit de l’Algérie, terre et peuple, est le témoin-phare du degré de persévérance qui anime la ferveur de tous les personnels militaires, à tous les niveaux et dans toutes leurs catégories, en 3ème Région militaire comme dans les autres Régions», a-t-il ajouté.  Pour le Général de corps d’Armée «une détermination dont l’esprit national et professionnel doit continuer à habiter les cœurs  des hommes de nos Forces armées, qui ont exercé avec des intentions pures et ont considéré que le résultat de leur travail noble et laborieux n’est qu’une autre étape sur la voie tracée, avec volonté et ténacité, vers la conquête du pari de développement optimal, voire parfait des capacités de l’ANP, digne héritière de l’Armée de libération nationale». A l’issue, le Général de corps d’Armée a écouté les intérêts et les suggestions exprimés par les personnels de la Région «qui ont renouvelé le serment d’accomplir les missions assignées avec fierté et dévouement».  APS


dimanche 23 septembre 2018

Formation professionnelle : Coup d’envoi officiel de la rentrée depuis la Wilaya de Relizane

Pas moins de  400.000 nouveaux stagiaires ont rejoint, ce dimanche, le chemin des différents centres et établissements de la formation professionnelle répartis à travers le pays. Mohamed Mebarki, ministre de la formation professionnelle, a été, ce matin à Relizane où il a donné le coup d’envoi officiel de la rentrée 2018/2019.  . Dans son allocution d’ouverture, prononcée à cette occasion, le ministre a souligné que le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels a connu d’importantes étapes qui lui ont permis de retrouver sa place au  sein du système éducatif national et de répondre aux besoins du développement socio-économique du pays. "Notre secteur joue un important rôle en constante évolution sur les plans économique et social, dans le cadre de la stratégie nationale visant à développer l’éducation et l’enseignement et à renforcer les acquis des  réformes structurelles initiées par le Président de la République", a souligné le ministre. Pour Mohamed Mebarki, "ce qui marque le secteur de la formation professionnelle, c’est sa capacité à former une ressource humaine nécessaire au fonctionnement de l’appareil économique et d’aller au diapason des besoins socio-économiques". Cette nouvelle année est marquée par la disponibilité, à l’échelle nationale, d'environ 400.000 nouveaux postes pédagogiques, dont 12.000 en mode d’apprentissage, répartis sur 1.295 établissements de formation à travers le territoire national. Au titre de cette session, 440 spécialités ont été introduites en programmes pédagogiques de formation professionnelle alors que  l’encadrement pédagogique est assuré par un effectif de 28.000 enseignants formateurs sur un total de plus de 67.700 employés du secteur. Par ailleurs, le ministre de la formation et de l’enseignement professionnels procédera, lors de sa visite dans la wilaya de Relizane, à la  remise des clés de logements de fonction à 20 bénéficiaires du secteur et présidera une cérémonie de signature de deux conventions dont une entre le  méga-complexe industriel de textile allégro-turc"Taal" et la direction locale de la formation professionnelle. Mohamed Mabardi inaugurera deux instituts spécialisés de formation professionnelle à Oued Rhiou et Bendaoud, comme il visitera des chantiers du complexe industriel de textile "Tayal", implanté dans la zone industrielle de Sidi Khattab.