lundi 31 décembre 2018

Renouvellement partiel du Conseil de la Nation: le Conseil constitutionnel proclame les résultats provisoires (communiqué)

Le Conseil Constitutionnel a proclamé lundi soir les résultats provisoires de l’élection pour le renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation, organisée samedi dernier à travers l'ensemble des wilayas du pays, et a rendu public un communiqué dont voici le texte intégral : "Le Conseil constitutionnel, réuni le 31 décembre 2018, à l’effet de contrôler la régularité des opérations électorales qui ont eu lieu samedi 21 Rabia Ethani 1440 correspondant au 29 décembre 2018, sur l’ensemble des wilayas pour le renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation, Vu la Constitution, notamment son article 182 alinéa 2, Vu la loi organique n  16-10 du 22 Dhou El Kadaa 1437 correspondant au 25 août 2016, relative au régime électoral, notamment ses articles 128,129 et 131, Vu le Règlement du 28 Djoumada Ethani 1437 correspondant au 6 avril 2016 fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel, notamment son article 48 alinéa 2, Après examen des résultats consignés dans les procès-verbaux de dépouillement des voix, des procès-verbaux de centralisation des résultats et des documents annexes, déposés auprès du greffe du Conseil constitutionnel, Après délibération conformément à la loi et rectification des erreurs matérielles, Premièrement : Proclame les résultats provisoires de l’élection portant renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation comme suit :                 Nombre de wilayas concernées : 47                 Electeurs inscrits : 26018                 Electeurs votants : 25492                 Abstentions : 526                 Taux de participation : 98,33 %                 Bulletins nuls : 2428                 Suffrages exprimés : 23064                 Nombre de candidats provisoirement élus : 47                 Deuxièmement : Concernant l’élection qui a eu lieu dans la wilaya de Tlemcen, le Conseil constitutionnel a été rendu destinataire d’un seul procès-verbal de dépouillement des voix sur les trois bureaux de vote que compte la wilaya. Les résultats du scrutin dans cette wilaya n’ont pas été consolidés dans le procès-verbal de centralisation des résultats. En conséquence, le Conseil constitutionnel décide l’annulation du scrutin dans la wilaya de Tlemcen et la réorganisation de celui-ci dans le délai légal prévu à l’alinéa 3 de l’article 131 de la loi organique relative au régime électoral. Troisièmement : Les résultats provisoires du scrutin ont donné lieu à l’élection des candidats dont les noms suivent :                 BENMEBAREK Salem pour la wilaya d’Adrar,                 TALBI Ali pour la wilaya de Chlef,                 SAHLI Abdelkader pour la wilaya de Laghouat,                 CHIBANE Boumediene Lotfi pour la wilaya d’Oum El Bouaghi,                 MOKHTAR Abdelmadjid pour la wilaya de Batna,                 DERGUINI Abdenour pour la wilaya de Bejaia,                 CHENNOUFI Salim pour la wilaya de Biskra,                 GRITLI Larbi pour la wilaya de Béchar,                 ACHOUR Lyes pour la wilaya de Blida,                 BOUTRAA Jawad pour la wilaya de Bouira,                 KHAFI Akhmadou pour la wilaya de Tamanrasset,                 MOUMENE Elghali pour la wilaya de Tébessa,                 DZIRI Ahmed pour la wilaya de Tiaret,                 MENAOUM Rabah pour la wilaya de Tizi Ouzou,                 OULD ZEMIRLI Bachir pour la wilaya d’Alger,                 BENHADDA Amar pour la wilaya de Djelfa,                 SEBOUTA Fouad pour la wilaya de Jijel,                 TACHERIFTE Abdelmalek pour la wilaya de Sétif,                 MADANI Abderrahmane pour la wilaya de Saida,                 MEBAREK FALOUTI Mouloud pour la wilaya de Skikda,                 BOUREZIG Abdelkader pour la wilaya de Sidi Bel Abbès,                 HAMOUD Abdennaceur   pour la wilaya d’Annaba,                 MAALEM Rachid pour la wilaya de Guelma,                 KHARCHI Ahmed pour la wilaya de Constantine,                 BEDDA Ahmed pour la wilaya de Médéa,                 SENOUSSA Affif pour la wilaya de Mostaganem,                 DILMI Smail pour la wilaya de M’Sila,                 CHENTOUF Mokhtaria pour la wilaya de Mascara,                 BELHASROUF Salim pour la wilaya d’Ouargla,                 BOUBEKEUR Mohamed pour la wilaya d’Oran,                 NAIMI Lazhari pour la wilaya d’El Bayadh,                 MATALLAH Amar pour la wilaya d’Illizi,                 MEBARKIA Abdelkrim pour la wilaya de Bordj Bou Arreridj,                 GHARBI Farid pour la wilaya de Boumerdes,                 TAMRAOUI Hakim pour la wilaya d’El Taref,                 SALMI Mohammed pour la wilaya de Tindouf,                 DJEBANE Mustapha pour la wilaya de Tissemsilt,                 TLIBA Mohamed pour la wilaya d’El Oued,                 BELLAA Mohamed Laid pour la wilaya de Khenchela,                 LATIFI Ahmed-Salah pour la wilaya de Souk Ahras,                 EL MOKRETAR Smail pour la wilaya de Tipaza,                 BENCHAOUI Abdelouakil pour la wilaya de Mila,                 BOUHOUIA Sid Ali pour la wilaya d’Ain Defla,                 GUERINIK Hadj Abdelkader pour la wilaya de Naâma,                 SAIDI Said pour la wilaya d’Ain Témouchent,                 GHEZAIL Tahar pour la wilaya de Ghardaia,                 KADOUS M’hamed pour la wilaya de Relizane. Conformément aux dispositions de l’article 130 de la loi organique relative au régime électoral et l’article 49 alinéa 2 du Règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel, le délai de recours contestant les résultats provisoires de l’élection est ouvert à compter de la diffusion du présent communiqué jusqu’à mardi 24 Rabia Ethani 1440 correspondant au 1er janvier 2019 à 20 heures. Le Conseil constitutionnel rappelle, tel que précisé dans son communiqué du 26 décembre 2018, que tout candidat à cette élection a le droit de contester les résultats du scrutin par le dépôt d’un recours auprès du greffe du Conseil constitutionnel dans les vingt-quatre (24) heures qui suivent la présente proclamation des résultats provisoires par le Conseil constitutionnel, soit avant l’expiration du délai susvisé, à charge pour lui d'exposer dans sa requête, les moyens et les motifs au soutien de son recours et de joindre les documents justificatifs à l'appui de celui-ci, suivant les conditions et les formes requises prévues par la loi et le Règlement du Conseil.  


Gymnastique-Championnat arabe: l'Algérie sacrée par équipes messieurs

L'Algérie a remporté la première place par équipes messieurs du championnat arabe de gymnastique rythmique et artistique qui s’est déroulé à Marrakech (Maroc). Avec 235,901 points, la sélection algérienne a devancé son homologue marocaine (231,667 pts) lors des six épreuves disputées, alors que la troisième place est revenue à la sélection jordanienne (228,701 points) suivie de l’Arabie Saoudite (4e/186,238 pts). De son côté, la sélection marocaine féminine de gymnastique a été sacrée championne arabe lors de l’édition 2018 en totalisant neuf médailles (cinq en or, une en argent et trois en bronze) et quatre médailles en gymnastique artistique (deux en or et deux en argent). Organisée par la Fédération royale marocaine de gymnastique sous l’égide de l’Union arabe de la discipline, cette édition a connu la participation de douze nations dont l'Algérie et le Maroc, pays hôte. APS


2018-2019 : du meilleur et du pire à retenir d’une année s’achève

Il ne reste que quelques heures avant que les Algériens plient, définitivement, la page de l’année 2018 pour entamer une nouvelle année. 2018, une année qui s’achève en laissant derrière elle un amas de souvenirs. Si l’Algérie a vécu, durant cette période, certains événements plutôt tristes, douloureux et regrettables, elle a, en revanche, célébré et savouré d’autres moments de joie et de fierté, en dépit d’un contexte économique et d’un environnement international et régional des plus instables. En effet, dans ce contexte fait de guerres et de déchirement, l’Algérie, elle qui a vécu les crimes de la colonisation et survécu à la barbarie terroriste, s’est distinguée une nouvelle fois par son attachement à la résolution pacifique des conflits et par son engagement pour la promotion de la paix.  Toujours le même cap : la paix ! La journée internationale du Vivre ensemble a été célébrée le 16 mai dernier dans les quatre coins du globe. Cette journée consacrée par l’ONU à l’initiative de l’Algérie, constitue incontestablement un succès diplomatique et traduit la reconnaissance, par la communauté internationale, des efforts que l’Algérie avait déployés pour rétablir la paix et la sécurité dans le pays et surtout la reconnaissance de sa contribution à la promotion de la culture de la paix et du dialogue dans le monde. La découverte d’Aïn Boucherit (Sétif): Il est temps de repenser l’évolution de l’humanité La découverte d’outils très anciens à Ain Choucherit confirme une présence humaine remontant jusqu’à 2,4 millions d’années en Afrique du Nord. Pour les scientifiques Cette découverte archéologique informe sur les migrations anciennes des êtres humains, d'une zone à l'autre bout du monde: de l'Afrique orientale à l'Afrique du nord, et jusqu'à l'Europe. 12 janvier : Première célébration officielle de Yennayer Les Algériens ont célébré, cette année, officiellement, le nouvel An Amazigh, Yennayer, coïncidant avec le 12 janvier du calendrier universel. Yennayer, l'une des fêtes populaires les plus anciennes de l'humanité, encore célébrée au 21ème siècle sur une vaste sphère géographique, est, désormais, réhabilité et consacré fête nationale. Le drame de Boufarik : A la mémoire des martyres Le 11 avril 2018, les algériens se sont réveillés par le drame de Boufarik. Le crash de l'avion militaire qui s’est produit à 7h45 dans la wilaya de Blida, a fait 257 victimes dont 10 membres de l'équipage. Affectés par cette tragédie, les Algériens se sont montrés solidaires avec les familles des victimes et unis, sous l’emblème national, pour rendre hommage à ces martyres victimes du devoir national. L’ANP, le rempart contre la menace : Depuis maintenant plus de cinq ans, l’Algérie est cernée par des zones de conflits. La menace sur ses frontières vient s’ajouter à l’activité des groupes terroristes résiduels. En dépit de cet environnement, le déploiement des détachements de l’ANP sur le terrain et le renforcement de sa présence sur les frontières se sont avérés efficaces dans la protection du pays.      Rien que durant le premier semestre de l’année 2018, Cent dix-sept (117) terroristes ont été neutralisés et des quantités d'armes et de munitions ont été récupérées. 20 terroristes ont été abattus, 18 autres ont été arrêtés et 3 cadavres ont été découverts durant le premier semestre de l'année en cours qui a été marqué par la reddition de 66 terroristes et d'une famille de dix membres. Production agricole : L’année de la bonne récolte 2018 était aussi une année de la bonne récolte. La production nationale du blé a dépassé les taux enregistrés durant les années précédentes ce qui a contribué à la réduction de la facture d'importation de céréales. La production céréalière réellement obtenue durant la campagne 2017-2018 a été estimée à 60,5 millions de quintaux, contre 34,7 millions de quintaux durant la compagne précédente, soit une hausse de 74,4%. La production arboricole a atteint, également, 16.892.480 quintaux (qx) au titre de l’année 2018, soit une hausse de l’ordre de 273% par rapport à l’année 2000 laquelle avait enregistré une production arboricole de 4,52 millions qx. Toute cette production a engendré une croissance des exportations des produits agricoles de 50% durant les 7 premiers mois de 2018. En revanche, cette croissance n’a pas profité au consommateur local. Les prix sur le marché n’ont pas cessé d’augmenter au détriment des petites bourses. Poste frontalier terrestre : un lien d’amitié et d’échange algéro-mauritanien Le nouveau poste frontalier terrestre "Chahid Mustapha Benboulaid" (point kilométrique PK-75 au Sud de Tindouf) entre l’Algérie et la Mauritanie, constitue un apport qualitatif aux relations de coopération bilatérale, dont l'ouverture s'est notamment matérialisée par une première opération d'exportation par voie terrestre de 400 tonnes de produits nationaux vers Nouakchott. La première cargaison de plusieurs produits algériens est  arrivée à Nouakchott dans un délai de 10 jours. Habitat : plus d’un millions de logement distribués  1.128.424 logements sur un total de 2.153.668 unités inscrites au titre du programme quinquennal 2015-2019 ont été réceptionnés jusqu'au 24 décembre 2018 à l'échelle nationale. Transport : extensions des réseaux et modernisations des moyens Le secteur des transports s’est distingué une nouvelle fois avec un bilan positifs et de nombreuses réalisations. Les investissements ont permis la réalisation d'un réseau routier, la modernisation des ports et aéroports, métro, tramway et le réseau ferroviaire qui ne dépassait pas les 1.000 km en 2000. Ce dernier atteint aujourd'hui  4.200 Km et ira jusqu'à 6.300 Km à l'horizon 2022, a-t-il précisé. Aujourd’hui, le pays compte 36 aéroports et 48 ports et une autoroute d’une longueur de 1200 km avec 13 échangeurs d'une longueur de 1009km. Le ministère a fait également l’acquisition de 12 nouvelles rames de métro pour l’extension de la ligne jusqu’à Bab el Oued et Baraki. Cette violence qui gâche le plaisir du sport Pour énième année consécutive, la violence s’invite dans les stades pour gâcher le plaisir du sport. Les stades et l’environnement immédiat de ces enceintes sont devenus des arènes de déchainement de violence. En football, les années passent et se ressemblent à travers cette violence récurrente dans les stades qui est devenue une façon de s'exprimer du supporter lequel ne trouve plus d'autres moyens de prouver qu'il est partie prenante de l'évènement que par ces actes dépassant le cadre purement sportif.  


Le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière fait état d’une notable baisse du nombre de victimes d’accidents

Huit à douze tués sont relevés, quotidiennement, sur les routes du pays, une situation que d’aucuns pensent qu’elle a tendance à perdurer mais que le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière tempère, bilans chiffrés à l’appui. Accueilli, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, ce dernier rappelle que l’Etat a déployé d’énormes efforts « pour juguler le phénomène de l’accidentalité ». En témoignent, dit-il, les chiffres en baisse des accidents mais également celui du nombre de victimes, depuis l’année 2016. Durant cette période lors de laquelle, signale-t-il, on a comptabilisé 4.500 morts, est passé à 3.600 morts, l’année d’après. Durant les 11 premiers mois de 2018, M. Ahmed Naït El Hocine, d’autre part, fait état de 21.568 accidents s’étant soldés par la mort de 3.091 personnes et de 30.561 blessés. Celui-ci tient à souligner que la baisse des sinistres routiers et de celle des pertes humaines a lieu au moment où est observée une « croissance effrénée » du parc automobile, en même temps qu’une augmentation de la population. Ce constat,  déclare-t-il, témoigne du travail de sensibilisation et de contrôle entrepris pour faire baisser le nombre des victimes de la route. Selon lui, près de 90% des causes d’accidents sont dus à des facteurs humains, notamment au non respect des règles de circulation routière, « dont celles liées à l’excès de vitesse » (25% du nombre des sinistres). Il explique, en outre, que dans 45% des cas, les auteurs d’accidents sont essentiellement des jeunes de moins de 29 ans d’âge, parmi lesquels 23,49% sont titulaires d’un permis de conduire datant de moins de 2 années. Commentant, par ailleurs, les accidents impliquant des autobus de transport de passagers et l’implication de camions, à l’origine d’un grand nombre de tués, M. Naït El Hocine fait état de mesures obligeant, « depuis une année », les conducteurs à fractionner leur trajet et, de plus, à s’adjoindre une doublure, lorsqu’ils doivent effectuer de longues distances, « en attendant l’introduction du chrono tachygraphe performants ».   De l’introduction du permis biométrique à points, dont il indique qu’elle a   débuté en avril 2018 dans la wilaya d’Alger, l’intervenant annonce qu’elle commencera à être étendue aux autres régions du pays, à partir du premier semestre de 2019.       


Le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière fait état d’une notable baisse du nombre de victimes d’accidents

Huit à douze tués sont relevés, quotidiennement, sur les routes du pays, une situation que d’aucuns pensent qu’elle a tendance à perdurer mais que le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière tempère, bilans chiffrés à l’appui. Accueilli, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, ce dernier rappelle que l’Etat a déployé d’énormes efforts « pour juguler le phénomène de l’accidentalité ». En témoignent, dit-il, les chiffres en baisse des accidents mais également celui du nombre de victimes, depuis l’année 2016. Durant cette période lors de laquelle, signale-t-il, on a comptabilisé 4.500 morts, est passé à 3.600 morts, l’année d’après. Durant les 11 premiers mois de 2018, M. Ahmed Naït El Hocine, d’autre part, fait état de 21.568 accidents s’étant soldés par la mort de 3.091 personnes et de 30.561 blessés. Celui-ci tient à souligner que la baisse des sinistres routiers et de celle des pertes humaines a lieu au moment où est observée une « croissance effrénée » du parc automobile, en même temps qu’une augmentation de la population. Ce constat,  déclare-t-il, témoigne du travail de sensibilisation et de contrôle entrepris pour faire baisser le nombre des victimes de la route. Selon lui, près de 90% des causes d’accidents sont dus à des facteurs humains, notamment au non respect des règles de circulation routière, « dont celles liées à l’excès de vitesse » (25% du nombre des sinistres). Il explique, en outre, que dans 45% des cas, les auteurs d’accidents sont essentiellement des jeunes de moins de 29 ans d’âge, parmi lesquels 23,49% sont titulaires d’un permis de conduire datant de moins de 2 années. Commentant, par ailleurs, les accidents impliquant des autobus de transport de passagers et l’implication de camions, à l’origine d’un grand nombre de tués, M. Naït El Hocine fait état de mesures obligeant, « depuis une année », les conducteurs à fractionner leur trajet et, de plus, à s’adjoindre une doublure, lorsqu’ils doivent effectuer de longues distances, « en attendant l’introduction du chrono tachygraphe performants ».   De l’introduction du permis biométrique à points, dont il indique qu’elle a   débuté en avril 2018 dans la wilaya d’Alger, l’intervenant annonce qu’elle commencera à être étendue aux autres régions du pays, à partir du premier semestre de 2019.       


dimanche 30 décembre 2018

Meilleurs athlètes 2018 (Sondage APS) : Oussama Sahnoune et Lamya Matoub sacrés

Le nageur Oussama Sahnoune et la karatéka Lamya Matoub ont été sacrés meilleurs sportifs algériens de l’année 2018, à l’issue du traditionnel sondage Brahim-Dahmani organisé par l’agence Algérie-Presse-Service (APS). Sahnoune, médaillé d'or au 100m nage libre (NL) et d'argent au 50m NL aux Jeux méditerranéens de Tarragone (Espagne), a remporté 57,14% des suffrages, devançant Lyes Boughalem (powerlifting) avec 16,66% et Abdelmalik Lahoulou (athlétisme) qui a eu 11,90%. "Je suis très content et fier de cette distinction qui vient récompenser une année 2018 très positive pour ma carrière et marquée par plusieurs titres et records. Cette consécration prouve également qu'il n'y a que le travail qui paye", a déclaré Sahnoune à l'APS, remerciant tous les journalistes qui ont voté pour lui. De son côté, Lamya Matoub (kumité), médaillée de bronze aux Championnats du monde à Madrid (Espagne) et championne d'Afrique à Kigali (Rwanda), a raflé 65,85% des suffrages, devant Amina Mezioud (échecs) avec 24,39%, alors que Rania Hamida Nefsi (natation) a remporté 9,75% des voix exprimées. "Je suis très honorée. C’est une distinction à laquelle je ne m’attendais absolument pas. Cela représente énormément pour moi car les journalistes ont estimé que j’étais en 2018 la meilleure sportive toutes disciplines confondues. C’est incroyable et inimaginable, cela me permet de rendre fière ma famille une nouvelle fois", a réagi Matoub dans une déclaration à l'APS. Oussama Sahnoune et Lamya Matoub succèdent respectivement au palmarès du sondage au boxeur Mohamed Flissi et à la judokate Kaouthar Ouallal. Les résultats de l’édition 2018 : Messieurs (Prix Brahim-Dahmani): 1- Oussama Sahnoune   57,14%  (24 voix) 2- Lyes Boughalem         16,66%  (7 voix) 3- Abdelmalik Lahoulou  11,90%  (5 voix) 4- Sid-ali Midoun              9,52%   (4 voix) 5- Adem Boudjemline      4,76%  (2 voix) Total des voix : 42 Dames (Prix Abdelkader-Hammani): 1- Lamya Matoub     65,85%  (27 voix) 2- Amina Mezioud    24,39%  (10 voix) 3- Rania Hamida Nefsi  9,75% (4 voix) Total des voix : 41, 1 abstention Espoirs (Prix Mokhtar-Chergui): 1. Farid Douibi                     28,20%  (11 voix) --. Mohamed-Amine Hacid  28,20%  (11 voix) 3. Moncef Balamane           15,38%  (6 voix) 4. Fateh Benferdjallah         10,25 %  (4 voix) --. El-Hocine Zourkane       10,25 %  (4 voix) 6. Oussama Cherrad           7,69 %   (3 voix) Total des voix : 39, 1 abstention et 2 votes annulés Equipes (Prix Abdellah-Benyekhlef): 1. EN handi-basket (dames)  57,89% (22 voix) 2. USM Bel-Abbès (football/messieurs) 34,21%  (13 voix) 3. GS Pétroliers (handball/messieurs) 2,63%  (1 voix) --. EN Basket-ball (messieurs)  2,63%  (1 voix) --. ES Sétif (football/messieurs)  2,63%  (1 voix) Total des voix : 38, 2 abstentions et 2 votes annulés


Articles de militaires en retraite : le MDN se réserve le droit d'appliquer les "mesures légales appropriées"

Le ministère de la Défense nationale (MDN) se réserve le droit de faire appliquer les mesures légales appropriées à l'encontre des auteurs d'articles de presse écrits par des militaires en retraite "ayant fait abstraction de toute considération à l'obligation de réserve à laquelle ils sont astreints", selon des précisions publiées dimanche sur le site du MDN. "A l'approche de l'échéance électorale présidentielle, certains individus mus par des ambitions démesurées et animés par des intentions sournoises tentent, par tous les moyens, notamment les médias, de préjuger des prises de positions de l'institution militaire vis-à-vis des élections présidentielles et s'arrogent même le droit de parler en son nom", note la même source. "En agissant ainsi, ces individus, aigris et sans envergure, qui ne lésinent pas sur l'emploi des moyens les plus déloyaux, visent sans succès à influencer l'opinion publique et de s'affubler de la crédibilité qui leur fait énormément défaut", poursuit le MDN, ajoutant que les auteurs de ces écrits "n'ayant pas trouvé d'échos à leurs interventions récurrentes, diffusées dans les médias, se sont improvisés, pour la circonstance, en experts pluridisciplinaires et ont été, à priori, instruits de s'adresser au Haut Commandement de l'Armée nationale populaire, comme ultime recours". "Ce faisant, ils oublient que les principes immuables qui ont, de tout temps, guidés l'Armée nationale populaire, digne héritière de l'Armée de libération nationale, font d'elle une institution au service du seul peuple algérien, lequel voit en elle ce rempart inébranlable qui protège l'Algérie contre tous les dangers et lui assure la sérénité et la quiétude", indique le MDN. "C'est d'autant plus regrettable que ces faits sont l'œuvre de certains militaires à la retraite qui, après avoir servi longtemps dans les rangs de l'Armée nationale populaire, rejoignent des cercles occultes et ce, dans le seul but d'assouvir des ambitions personnelles démesurées, qu'ils n'ont pu réaliser à l'intérieur de l'institution", note la même source, soulignant que "pour parvenir à leur fin, ces gens-là qui ont fait abstraction de toute considération à l'obligation de réserve à laquelle ils sont astreints, en vertu de la loi 16-05 du 03 août 2016 et sous peine de laquelle ils peuvent être poursuivis en justice, s'essayent à la politique, avec comme seul attribut l'esprit revanchard et se permettent, sans respect de toute forme d'éthique et de déontologie, de s'ériger en donneurs de leçons". Le MDN écrit, en outre, que "perdant le sens de la mesure, ces individus s'accordent une vocation et une dimension qui ne sont pas les leurs, et se lancent, sans aucun scrupule, dans des affabulations débridées, découlant d'un narcissisme maladif, qui les pousse jusqu'à prétendre bien connaitre le Haut Commandement de l'ANP, pour prévoir sa position vis-à-vis des élections présidentielles, grave dérive qui dénote d'un seuil inquiétant d'inconscience que seule l'ambition aveugle peut provoquer". Le MDN note, à ce propos, que l'Armée nationale populaire, dont la démarche est dictée par son caractère éminemment légaliste et républicain, respectueux de l'ordre constitutionnel, n'a pas de leçons à recevoir d'individus qui n'existent que par les cercles qui les commanditent". "L'incohérence du discours développé par ces derniers, notamment concernant la question lancinante d'accorder la chance aux jeunes pour assumer des responsabilités au sommet de l'Etat, qui leur est, vraisemblablement, dicté par leur mentors, trahit leurs véritables intentions et leur approche maladroite, en ce sens que cette question n'a absolument pas lieu d'être posée et, pour cause, la quasi-totalité des hautes fonctions de l'Etat sont occupées à l'heure actuelle par des cadres, issus de la période post-indépendance", relève la même source.      S'agissant de l'Armée nationale populaire, le MDN affirme que "ce principe est consacré dans la pratique, où seuls les critères de mérite et de compétence sont pris en ligne de compte lors des désignations dans les différentes responsabilités". "D'autre part et feignant méconnaitre les missions constitutionnelles de l'Armée nationale populaire, ces individus demandent publiquement au Vice-ministre de la Défense nationale, Chef d'Etat-Major de l'Armée nationale populaire, à prendre ses responsabilités pour, selon eux, consolider les acquis démocratiques, dans un discours à la fois alarmiste et malintentionné. Il ressort, malheureusement, de l'acharnement de ces individus contre l'institution qui les a vu grandir, aux sens propre et figuré, que leur démarche, qui ne saurait être individuelle tant les arguments qui la sous-tendent sont fallacieux, et semble obéir à une machination fomentée par des cercles occultes", ajoute-t-on. "Dans une tentative ratée de se faire prévaloir d'un soi-disant pragmatisme et réalisme, l'analyse développée sur le statut de l'Algérie au niveau régional par ces apprentis analystes révèle, à bien des égards, que la connaissance dans le domaine géostratégique, dont ils se targuent sans en maitriser les contours, ne les prédisposent, même pas, à saisir le sens du concept +Etat pivot+, et trahit leur intention de minimiser les acquis réalisés à la faveur de la stratégie sécuritaire adoptée par le Haut Commandement, y compris en termes de coopération régionale et internationale, qui est mise en œuvre dans le cadre du strict respect des dispositions de la législation nationale", souligne le MDN. "Cette stratégie clairvoyante, qui a permis de relever les multiples défis auxquels fait face notre région, notamment dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, où la contribution de notre pays et de ses forces armées dans la stabilité de la région lui a valu la reconnaissance à l'échelle internationale, notamment dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, dont la stratégie et les modes d'action sont devenus un cas d'école", rappelle-t-on. "Enfin, compte tenu de ces agissements récurrents qui ont dépassé, par leur indécence, le seuil de l'intolérable, notre institution se réserve le droit de faire appliquer à l'encontre de leurs auteurs, les mesures légales appropriées", conclut le MDN.  


Le néphrologue Tahar Rayan : la transplantation rénale en butte aux difficultés de prélèvement d'organes sur des personnes décédées

Environ 25.000 personnes souffrant d’insuffisante rénale sont en attente d’une problèmatique greffe d’un rein en Algérie, où seulement 250 transplantations sont effectuées chaque année. Pour le chef du service de néphrologie à l’hôpital d’Hussein Dey (Alger), « le gros problème » qui se pose en matière de greffe rénale, est constitué par la difficulté à prélever cet organe sur des personnes décédées. Accueilli, dimanche, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le professeur Tahar Rayan explique que toutes les greffes effectuées, « depuis plus de 30 ans », l'ont été à partir de donneurs vivants apparentés. Commentant la loi qui vient d’être adoptée, laquelle confirme l'autorisation de pratiquer des greffes d’organes, de tissus et de cellules souches, il estime qu’elle a ouvert de nouveaux horizons, en permettant des prélèvements sur des personnes décédées qui ne se sont pas opposées, de leur vivant, à cette possibilité, ce qui n’exclut pas, relève-t-il, le consentement préalable de leur famille. Concernant ces prélèvements sur cadavres, il annonce que l’Agence nationale des greffes en collaboration avec le ministère de la Santé, est en train de multiplier la création de centres habilités à faire ce type d’opération, dont trois ont déjà été agréés à Blida, Batna et Alger   Revenant aux prélèvements d’organes sur des personnes apparentées au malade, ce praticien précise que la nouvelle loi autorise désormais d’élargir « le cercle des donneurs » potentiels, c'est-à-dire aux conjoints, aux frères, aux sœurs, aux pères aux mères, aux cousins, aux tantes, aux neveux et nièces et jusqu’aux membres de la belle famille. En matière de transplantations rénales, à propos desquelles il fait état d’un taux de réussite de 90 à 95%, il signale qu’il ne s’agira plus de se contenter de « faire du chiffre », mais d’accorder un plus grand intérêt à  l’aspect qualitatif de ces types d'interventions.  Annonçant, par ailleurs, l’élaboration en cours d’une liste des personnes en attente d’une greffe rénale, le professeur Rayan indique que celle-ci va regrouper tous les malades dialysées, les enfants en priorité, parmi lesquels, précise-t-il, seront sélectionnées sur des « bases équitables » et dans le plus strict anonymat, ceux susceptibles d’être « greffables ».  


Le néphrologue Tahar Rayan : la transplantation rénale en butte aux difficultés de prélèvement d'organes sur des personnes décédées

Environ 25.000 personnes souffrant d’insuffisante rénale sont en attente d’une problèmatique greffe d’un rein en Algérie, où seulement 250 transplantations sont effectuées chaque année. Pour le chef du service de néphrologie à l’hôpital d’Hussein Dey (Alger), « le gros problème » qui se pose en matière de greffe rénale, est constitué par la difficulté à prélever cet organe sur des personnes décédées. Accueilli, dimanche, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le professeur Tahar Rayan explique que toutes les greffes effectuées, « depuis plus de 30 ans », l'ont été à partir de donneurs vivants apparentés. Commentant la loi qui vient d’être adoptée, laquelle confirme l'autorisation de pratiquer des greffes d’organes, de tissus et de cellules souches, il estime qu’elle a ouvert de nouveaux horizons, en permettant des prélèvements sur des personnes décédées qui ne se sont pas opposées, de leur vivant, à cette possibilité, ce qui n’exclut pas, relève-t-il, le consentement préalable de leur famille. Concernant ces prélèvements sur cadavres, il annonce que l’Agence nationale des greffes en collaboration avec le ministère de la Santé, est en train de multiplier la création de centres habilités à faire ce type d’opération, dont trois ont déjà été agréés à Blida, Batna et Alger   Revenant aux prélèvements d’organes sur des personnes apparentées au malade, ce praticien précise que la nouvelle loi autorise désormais d’élargir « le cercle des donneurs » potentiels, c'est-à-dire aux conjoints, aux frères, aux sœurs, aux pères aux mères, aux cousins, aux tantes, aux neveux et nièces et jusqu’aux membres de la belle famille. En matière de transplantations rénales, à propos desquelles il fait état d’un taux de réussite de 90 à 95%, il signale qu’il ne s’agira plus de se contenter de « faire du chiffre », mais d’accorder un plus grand intérêt à  l’aspect qualitatif de ces types d'interventions.  Annonçant, par ailleurs, l’élaboration en cours d’une liste des personnes en attente d’une greffe rénale, le professeur Rayan indique que celle-ci va regrouper tous les malades dialysées, les enfants en priorité, parmi lesquels, précise-t-il, seront sélectionnées sur des « bases équitables » et dans le plus strict anonymat, ceux susceptibles d’être « greffables ».  


samedi 29 décembre 2018

Résultats provisoires du renouvellement partiel du Sénat : le FLN majoritaire avec 29 sièges (liste des élus)

Le Front de libération national (FLN) a remporté plus de 50% des sièges lors du scrutin organisé, ce samedi, pour le renouvellement partiel du conseil de la nation. Le parti historique a remporté 29 sièges sur 48, suivi par le Rassemblement national démocratique (RND) avec 11 sièges, selon les résultats provisoires recueillis par les correspondants des différentes Chaines nationales et les stations locales de la radio Algérienne.    Les deux organisations majoritaires, sont suivies de loin par les indépendants avec 4 élus. Le Front des forces socialistes (FFS) et le Front El Moustakbel (FM) ont obtenu 2 sièges chacun. Après l’annonce des résultats provisoires, les candidats disposent de 24h pour le dépôt de recours. «Le recours doit être déposé par le candidat requérant directement auprès du greffe du Conseil constitutionnel dans les vingt-quatre (24) heures qui suivent la proclamation des résultats provisoires par le Conseil constitutionnel", avait précisé le Conseil constitutionnel.


Renouvellement partiel du Sénat : clôture du scrutin, début des opérations de dépouillement

Après une journée d’élection pour le renouvellement partiel du Sénat, qui s’est déroulée dans de bonnes conditions, selon les correspondants de la radio Chaine 3 déployés à travers les différentes wilayas, l’heure est, désormais, au comptage des voix. Dans la plupart des wilayas, les bureaux de votes ont été fermés à l’heure prévue (17h). Seuls les bureaux des wilayas de Djelfa et Sidi Bel Abbès ont reporté d’une heure la clôture du scrutin. L’opération de dépouillement des voix se poursuit et l’annonce des résultats provisoires est imminente.  


Le président Bouteflika salue le long parcours de militantisme du défunt Abdelmalek Benhabylès

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. Ph.DR

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a adressé ce samedi un message de condoléances à la famille du défunt Abdelmalek Benhabylès, décédé vendredi soir, dans lequel il salue les qualités du regretté et sa longue expérience puisée de son militantisme au sein du Mouvement national et de la Guerre de libération. «C'est avec tristesse et affliction que j'ai appris la disparition du regretté, ami et frère, Abdelmalek Benhabylès, que Dieu ait son âme, et il  me peine que l'Algérie perde un militant d'une immense culture et un homme aux idées pertinentes et judicieuses acquises grâce à son sérieux et à ses efforts, ainsi qu'une longue expérience puisée de son militantisme au sein du Mouvement national et de la Guerre de libération», a indiqué le chef de l'Etat dans son message. Le président de la République a souligné que le défunt avait mis, après l'indépendance, toutes ses potentialités au service des différents postes supérieurs qu'il avait occupés et autres missions dont il s'était acquittées haut la main, avec ses compagnons, pour l'édification d'un Etat algérien moderne. Rappelant «les vertus et qualités qui ont valu au défunt l'estime et la considération de tous ceux qui ont eu à l'approcher et de ses compagnons qui appréciaient tant son discours pondéré et ses remarques succinctes, mais ô combien pertinentes,  le président Bouteflika a ajouté que le défunt Benhabylès était vertueux, attentionné, prévenant à l'égard de ses compagnons et des gens et fidèle à sa patrie. «Comme toutes créatures, le défunt est allé rejoindre son Créateur, laissant des nuées de chagrins dans le ciel de sa famille et ses proches, que les larmes et le deuil ne peuvent consoler, mais le croyant ne peut que se résigner à la volonté de Dieu et faire montre de patience, autant que ses compagnons de lutte et ses amis, dont le chagrin et la compassion ne peuvent que vous réconforter», a poursuivi le président de la République. «Je prie Dieu d'accorder au défunt Sa sainte miséricorde et de l'accueillir en Son vaste paradis aux côtés de ceux qu'Il a comblés de Ses bienfaits et entourés de Sa grâce éternelle, de même que je prie Dieu d'accorder le courage et la patience à tous les membres de sa famille et de les rétribuer pour cette épreuve», a-t-il conclu.


Tamanrasset : lancement de la 4ème édition de «l’Algérie au cœur de son Sahara» sous le signe du « Vivre ensemble en paix »

Ph.DR

Le coup d'envoi de la 4e édition de la manifestation «l’Algérie au cœur de son Sahara» a été donné vendredi depuis Tamanrasset par le ministre de la Jeunesse et des sports, Mohamed Hattab en présence du ministre du Tourisme et de l'artisanat, Abdelkader Benmessaoud. Organisée sous le slogan «Vivre ensemble en paix» avec la participation de 600 jeunes venus de toutes les wilayas, cette manifestation a connu une ambiance festive animée par de jeunes au niveau de la place du 1er novembre au chef lieu de la wilaya de Tamanrasset où des présentations artistiques et folkloriques reflétant la richesse du patrimoine culturel algérien ont été organisées par les wilayas participantes. Accompagné du président du Comité olympique et sportif algérien (COA) et de l'Association des comités nationaux olympiques d'Afrique (ACNOA),  Mustapha Berraf, le ministre de la Jeunesse et des sports a affirmé dans son allocution d'ouverture que «cette grande manifestation qui constitue une occasion pour la valorisation de  l'héritage culturel de toute l'Algérie, contribue à la promotion de l'artisanat et des métiers des habitants de la région mais reflète également la richesse du patrimoine national et contribue à l'exploration des zones touristiques». A cette occasion, le ministre a appelé les jeunes à se solidariser dans le cadre de cette évènement qui «revête une grande importance d'autant qu'il a pu réunir tous les jeunes algériens». «L'Algérie au cœur de son Sahara» vise, a-t-il ajouté,  «l'approfondissement ainsi que la concrétisation des relations fraternelles entre les algériens». Il a exhorté les jeunes, également à «être à la hauteur des défis auxquels fait face l'Algérie»  et à contribuer «à la préservation de la stabilité et des acquis réalisés tout en s'inspirant des sacrifices payés par les jeunes pendant la révolution nationale». De son côté, M. Benmessaoud s'est félicité du développement réalisé dans cette région grâce à la politique judicieuse du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, indiquant que cette manifestation juvénile qui constitue une tournée touristique et culturelle au profit des jeunes, contribue à la promotion du tourisme local. Outre le renforcement des relations fraternelles et amicales entres les enfants de la patrie, cet évènement (28 décembre-2 janvier) constitue une occasion pour valoriser l'héritage culturel algérien.  Une variété d'activités sportives, culturelles, artistiques et éducatives a été programmée au profit des hôtes de la région de Hoggar. Cette manifestation sera également une occasion pour découvrir cette région à travers des excursions qui seront organisées à plusieurs régions, outre des soirées artistiques et culturelles, des expositions et des campagnes de boisement. La délégation ministérielles a inauguré une piscine, un stade gazonné au complexe de proximité de Tafssit et un stade de proximité à la cité Serssouf. A cette occasion le ministre a appelé à l'utilisation des énergies renouvelables au niveau des structures sportives en vue préserver l'écosystème et rationnaliser les dépenses. Après avoir inspecté le projet de réalisation d'un stade semi olympique à la cité Adriane et un parc de loisir au profit des enfants au square El-Istiklal, le ministre a exhorté les spécialistes à sélectionner les talents sportifs au niveau des régions du Sud qui constituent «un vivier en ces compétences dans les différentes disciplines». M. Hattab poursuivra sa visite à Tamanrasset samedi où il posera la première pierre d’un projet  de réalisation d'un complexe sportif. APS  


vendredi 28 décembre 2018

Renouvellement partiel des membres du Sénat : les élus locaux appelés ce samedi aux urnes

C’est demain, 29 décembre 2018, qu’aura lieu le scrutin portant renouvellement pariel des membres du Conseil de la Nation conformément au décret présidentiel portant convocation du collège électoral, composé de l'ensemble des membres de l'Assemblée populaire de wilaya (APW) et des membres des Assemblées populaires communales (APC) de chaque wilaya.   Les résultats du scrutin seront proclamés par le Conseil constitutionnel dans les 72 heurs qui suivent le dépôt des procès verbaux qui concernent les 48 wilayas. Ce renouvellement intervient ainsi à moins de quatre mois de la très attendue élection présidentielle prévue pour avril 2019. Au bout de ce scrutin, 48 sénateurs siégeront au Conseil de la nation pour un mandat de six ans, ils seront  alors choisis par les élus des 48 APW et 1541 communes et ils devront  être choisis parmi plus des 200 candidats représentant les partis politiques et candidats indépendants.   Les élections sénatoriales, c’est tout un processus, comment voter ? Qui est concerné par ce vote qui demeure obligatoire pour tous les élus locaux ? Qui a droit de se présenter ? Où se déroule le scrutin ? Ryadh Lahri fait intervenir M. Walid Lagoune, professeur agrée en droit public.   


jeudi 27 décembre 2018

Plusieurs projets de loi adoptés par le Conseil des ministres

Plusieurs projets de loi et décrets présidentiels ont été adoptés jeudi par le Conseil des ministres qui s'est réuni sous la présidence du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Il s'agit notamment du projet de loi complétant la loi de 2006 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption, un projet de loi relatif aux activités spatiales, un domaine qui revêt une "importance stratégique" pour l'Algérie, et un autre projet de loi relatif aux activités nucléaires civiles, indique un communiqué rendu public à l'issue de la réunion du Conseil des ministres.  D'autre part, le Conseil des ministres a examiné et adopté un projet de loi portant amendement de la loi fixant les règles générales relatives à l'aviation civile, avec pour objectif d'instituer une Agence nationale de l'aviation civile conformément aux recommandations de l'Organisation de l'aviation civile internationale qui a invité les Etats membres à se doter d'une instance autonome pour la gestion de la sureté et de la sécurité de l'aviation civile. Le Conseil des ministres a, par la suite, examiné et adopté un projet de loi amendant la législation en vigueur relative à l'activité de médecine vétérinaire et à la protection animale, qui énonce l'ancrage légal pour la création d'un Ordre national des vétérinaires. Le Conseil des ministres a également validé, conformément à la loi, deux opérations de déclassement de terres agricoles, liées à la réalisation d'un important investissement d'exploitation et de transformation de phosphates dans l'Est du pays, dans le cadre d'un partenariat algéro-chinois. Par ailleurs, une série de décrets présidentiels validant des contrats ou avenants à des contrats relatifs à l'exploration et l'exploitation des hydrocarbures ont été adoptés par le Conseil des ministres. APS


Création de 14 nouvelles circonscriptions administratives dans les grandes wilayas

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a signé un décret présidentiel portant création de 14 nouvelles circonscriptions administratives dans les wilayas suivantes: Alger, Blida, Constantine, Annaba et Oran, a-t-on appris jeudi auprès du ministère de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire. «Dans le cadre de la politique judicieuse du président de la République, Abdelaziz Bouteflika en matière d'aménagement du territoire et de réalisation d'un développement équilibré et global, et convaincu que l'avenir de notre pays repose sur une vision stratégique prospective globale pour un aménagement du territoire qui réponde aux aspirations des citoyens à un véritable développement de leurs villes et wilayas, le décret présidentiel n 18-337 du 25 décembre 2018 portant création de circonscriptions administratives dans les grandes villes et certaines nouvelles villes a été signé», lit-on dans le communiqué qui fait état de «l'entrée en vigueur de ce décret suite à sa publication dans le journal officiel». Les nouvelles circonscriptions administratives incluent «les grandes agglomérations ayant connu, récemment, un développement urbanistique considérable, à savoir Bouinan (Blida), Sidi Abdellah (Alger), Draa Errich (Annaba) et Ali Mendjeli (Constantine)», ajoute la même source. «Dans le souci de placer les grandes villes classiques au cœur de cette approche, il a été convenu de classer les villes d'El Khroub, Zighoud Youcef, Hamma Bouziane, Constantine ville (Constantine), et Aïn El Turk, Arzew, Bir El Djir, Es-Senia, Oued Tlélat et Oran ville (Oran) sous forme de circonscriptions administratives territorialement compétentes, ce qui leur permettrade surmonter les problèmes soulevés dans l'encadrement et la gestion des grandes agglomérations», a indiqué la même source. «L'organisation de ces sites devant prendre en charge les préoccupations de la population de façon plus efficiente sera installée en amenant les villes en question vers la modernité et le véritable développement durable», selon la même source. Cette réalisation coïncide avec «la décision du chef de l'Etat à classer les deux communes de Debdeb et de Bordj Omar (Illizi) en tant que daïras, ce qui constitue une promotion du rôle stratégique de ces deux agglomérations dans le développement de cette région frontalière importante». Cette mesure s'inscrit dans la complémentarité de «la stratégie homogène décidée par le président de la République en Conseil des ministres restreint en 2015, un point de départ pour la création de 10 wilayas déléguées dans le Sud qui avancent assurément vers le développement soutenues par ses habitants». «Le président de la République a donné des instructions précises pour renforcer l'effort de développement des circonscriptions et daïras créées, les accompagner pour être au même niveau que les autres institutions régionales de l'Etat et leur permettre d'assurer leurs missions de façon ordinaire, selon un plan bien ficelé et coordonné qu'il avait lui-même mis en place», a précisé la même source avant d'ajouter que «le chef de l'Etat est déterminé à parachever cette action en passant vers les étapes suivantes ciblant les wilayas des hauts plateaux et du Nord conformément aux orientations contenues dans le plan nation d'aménagement du territoire».  


Le Président Bouteflika signe la Loi de finances 2019

Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a signé jeudi à Alger la loi de Finances 2019. Le Chef de l`Etat a apposé sa signature sur le texte portant Loi de Finances 2019 au siège de la présidence de la République, en présence de hauts responsables de l'Etat et les membres du gouvernement. Le cadrage macroéconomique retenu pour l'exercice 2019 table sur un prix de pétrole à 50 dollars le baril, un taux de croissance de 2,6% et un taux d’inflation de 4,5%. Sur le plan budgétaire, la loi prévoit des recettes de 6.508 milliards DA (mds DA) dont 2.714 mds DA de fiscalité pétrolière. Quant aux dépenses budgétaires, elles s’élèveront à 8.557 mds DA, en légère baisse par rapport à celles de 2018. Concernant le Budget de Fonctionnement, il est estimé à 4.954 mds DA. Répartition du budget de fonctionnement La Loi de finances 2019 prévoit des dépenses de fonctionnement de 4.954,47 milliards DA (contre 4.584,46 milliards DA en 2018). La répartition de ce budget par département ministériel est comme suit (les chiffres entre parenthèses sont ceux de la Loi de finances 2018 / Unité : milliards DA) : - Présidence de la République: 8,22 (7,86) - Services du Premier ministre: 4,49 (4,45) - Défense nationale: 1.230 (1.118,3) - Intérieur et Collectivités locales: 418,4 (425,57) - Affaires étrangères: 38,06 (35,21) - Justice: 75,86 (74,54) - Finances: 86,98 (86,82) - Energie: 50,8 (50,8) - Industrie et Mines: 4,72 (4,61) - Agriculture, dév. rural et pêche: 235,29 (211,81) - Moudjahidine: 224,96 (225,17) - Affaires religieuses et Wakfs: 25,28 (25,24) - Commerce: 18,38 (19,98) -Ressources en eau: 14,14 (14,01) - Environnement et énergies renouvelables : 2,13 (2,13) -Travaux publics et transports: 49,96 (25,98) - Habitat, urbanisme et ville: 16,28 (16,62) - Education nationale: 709,55 (709,55) - Enseignement sup. et recherche sc. : 317,33 (313,33)


Entretien Messahel-Kono : "l'Algérie contribue à la stabilité de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient" déclare le ministre japonais des Affaires étrangères

Le ministre japonais des Affaires étrangères, Taro Kono a assuré jeudi à Alger que l'Algérie "contribuait à la stabilité de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient", soulignant que son pays prêtait une "grande attention" à son potentiel économique. Intervenant au terme de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, M. Kono  a affirmé que le Japon accordait une "importance particulière" aux relations avec l'Algérie qui contribue à la stabilité de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, soulignant qu'elle est la 4ème puissance économique en Afrique, à laquelle le Japon prête "une grande attention". M. Kono a ajouté que les deux parties se sont mises d'accord pour "renforcer le dialogue politique à différents niveaux et rehausser ainsi les relations bilatérales à un niveau supérieur", rappelant que le Japon et l'Algérie ont de "très bonnes relations" traditionnelles depuis l'ouverture du bureau de la représentation du Front de libération nationale (FLN historique) en 1958 à Tokyo et l'établissement des relations officielles diplomatiques en 1962. Le chef de la diplomatie japonaise a exprimé la volonté de son pays d'élargir davantage l'implantation des entreprises japonaises en Algérie afin de contribuer à la diversification industrielle, qui est "une grande priorité" pour l'Algérie.    "Nous avons convenu de faire avancer les dossiers de l'accord dans le domaine des investissements ainsi que celui du domaine de la non double imposition des taxes", a-t-il ajouté. Faisant savoir qu'il a été décidé de "tenir un 2ème dialogue l'année prochaine", il a indiqué que les deux parties ont également convenu de renforcer le dialogue et la coopération sur la lutte contre le terrorisme et les mesures contre l'extrémisme violent qui sont "une clé" pour la stabilité de la région de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Pour M. Kono, au sein de la communauté internationale, l'Algérie est "un facteur important" pour le Japon, espérant une "participation active" de l'Algérie lors du sommet de la conférence internationale de Tokyo sur le développent de l'Afrique (TICAD) au mois d'août prochain à Yokohama. De son côté, M. Messahel a indiqué avoir passé en revue l'état de la coopération entre les deux pays, ajoutant que "nous avons constaté ensemble qu'on peut encore beaucoup et mieux faire, en raison du potentiel qui existe de part et d'autre". "Nous avons un certain nombre de projets d'accords qui sont en négociations, mais nous avons convenu durant le premier trimestre de l'année prochaine de lancer le comité mixte économique. Il sera un grand rendez vous, avec la finalisation des documents qui sont en négociations pour être certainement signés à Tokyo", a-t-il dit, relevant que le lancement de ce comité mixte permettra de "donner de l'élan et de booster la coopération bilatérale". M. Messahel a dit voir beaucoup insisté sur la présence des investissements japonais Algérie, eu égard au potentiel économique, les infrastructures, la position géographique et stratégique de l'Algérie mais également sa stabilité et la sécurité, des facteurs "essentiels qui encouragent une plus grand" présence japonaise en Algérie.      La coopération dans le domaine de la lutte antiterroriste a été abordée, a noté M. Messahel soulignant que "nous avons un mécanisme qui existe, mais qui gagnerait à être renforcé". "Nous avons prochainement des rendez-vous pour essayer de faire en sorte que cette relation dans le domaine de la coopération en matière de lutte antiterroriste prenne la place qu'il faut dans la coopération globale de l'Algérie avec le Japon", a-t-il dit. Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué avoir évoqué la TICAD, relevant que nous "avons au sein de l'UA nos propres décisions et que les formas avec nos partenariats comme nous l'avons fait avec l'UE doivent se faire dans l'esprit et la lettre de nos chefs d'Etats qui définissent le caractère ou le forma des partenariats que nous avons avec certains partenaires dans le monde". La coopération pays arabes-Japon a été par ailleurs évoquée, a dit M. Messahel, ajoutant que le Japon s'apprête à réunir l'année prochaine la 2 session de ce dialogue à laquelle "nous allons prendre part".      D'autres questions ont fait également objet d'un échange de vue, la situation en Libye, au Sahel et au Moyen Orient, la concertation entre les deux pays concernant la réforme du système de l'ONU, et  particulièrement la réforme du Conseil de sécurité, a souligné M. Messahel, précisant que les Africains comme les Japonais y "tiennent beaucoup". APS


Le Président Bouteflika préside, ce jeudi, un Conseil des ministres

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, préside, ce jeudi à Alger, une réunion du Conseil des ministres et la cérémonie de signature de la loi de finances 2019. Au cours de ce Conseil, sera examiné le projet de loi relative à la prévention et à la lutte contre la corruption. Plusieurs points sont inscrits également à l'ordre du jour, notamment des projets de lois relatifs aux activités nucléaires civiles, à l'activité de médecine vétérinaire, à la protection animale ainsi qu'aux règles générales relatives à l'aviation civile. Un communiqué sera rendu public à l`issue de cette réunion. 


Relogement: 3.000 unités distribuées à Alger

3.000 logements seront distribués, aujourd’hui, dans le cadre de la troisième phase de la 24e opération de relogement. Le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, a fait savoir, lundi dernier, qu'il tiendra mardi soir une réunion de travail avec les cadres concernés par le dossier de relogement pour "définir les sites concernés par le relogement à même de fixer la date du lancement de la troisième étape de la 24e opération à laquelle 3.000 logements ont été consacrés". "L'élimination de l'habitat précaire et des bidonvilles à Alger est imminente" a-t-il souligné, ajoutant que "la 25e opération qui est en cours de préparation éliminera définitivement ce genre de logements". "Plus de 30.000 logements réservés aux Algérois sont en cours de réalisation", a encore précisé le wali d'Alger. Par ailleurs, M. Zoukh a estimé que les opérations de relogement précédentes avaient permis de "récupérer 350 hectares de foncier ayant été transformés en espaces de loisirs". A l'issue des vacances d'hiver, les élèves des circonscriptions administratives de Rouïba, Dar El Beida, Bir Mourad Rais et Baraki, bénéficieront de nouveaux établissements dont le nombre est de 24 groupements scolaires, 2 CEM et 2 lycées. Le responsable a fait savoir que le secteur de l’Education bénéficierait de 117 groupements scolaires, 27 collèges et 14 lycées en cours de réalisation, devant être "prêts" lors de la rentrée scolaire 2019/2020. D'autres projets de réalisation de 72 groupements scolaires, 40 collèges et 27 lycées, des structures dont les travaux ont débuté ou en voie de lancement seront réceptionnées prochainement, a ajouté la même source. M. Zoukh a estimé que "le dégel" des structures scolaires et la consécration, par le Gouvernement, d’une importante enveloppe financière ont permis de "relancer le taux de réalisation" à travers plusieurs communes et "rattraper" le retard accusé lors des dernières années qui ont connu une pénurie en matière de ressources financières.


Le professeur Ouarid Lagoun : la création du Sénat relève du souci d’assurer une meilleure représentativité des composantes de la Nation

A quelques jours du scrutin, prévues samedi prochain, destiné à élire les nouveaux membres du Sénat, le professeur agrégé en Droit public, Ouarid Lagoun, estime que 20 années après la création de cette institution, le 2 janvier 1998, il est judicieux de procéder à une évaluation du chemin parcouru depuis. Intervenant, jeudi, à la chaine 3 de la Radio Algérienne, il rappelle que cette tendance de créer une deuxième Chambre relève du souci d’assurer une meilleure représentativité des composantes sociales de la Nation.   Cette décision, déclare-t-il, se voulait une réponse institutionnelle à la crise qu’a connue l’Algérie durant les années 90, afin de mettre un terme au système mono caméral lequel, ne prévoyait notamment pas une représentation des collectivités territoriales. La particularité, relève-t-il, c’est que « nous avons une mixité » dans la composante du Sénat. Il explique ainsi que les deux tiers des sénateurs sont constitués de membres des APC et des APW et qu’un tiers est désigné par le président de la république (tiers présidentiel). Il note, par ailleurs, qu’alors que les membres du Parlement sont élus pour un mandat de cinq années, ceux du Sénat le sont pour un mandat de six années, renouvelable « partiellement »  tous les trois ans. Du rôle assumé par cette institution, « aux prérogatives assez larges », le professeur Lagoun observe qu’elle possède un « droit d’amendement et d’initiative », en ce sens où tous les projets de textes loi concernant, par exemple, le découpage, l’aménagement territorial où administratif, lui sont soumis en priorité.   Contrairement au Parlement, la deuxième chambre, précise-t-il d’autre part, ne peut être dissoute « parce qu’elle assure la continuité de l’Etat ». Il rappelle à ce propos que le président du Conseil de la nation possède un statut spécifique parce que c’est lui, signale-t-il, « qui assure l’intérim » en tant que second personnage de l’Etat. Selon lui, aujourd’hui, la « démocratie participative » est en crise, une situation qu’il impute au fonctionnement du système majoritaire, mais également au choix  de scrutin, lequel qu’il soit « uninominal ou à deux listes »  peut donner lieu à un système de représentation différent.  


Le professeur Ouarid Lagoun : la création du Sénat relève du souci d’assurer une meilleure représentativité des composantes de la Nation

A quelques jours du scrutin, prévues samedi prochain, destiné à élire les nouveaux membres du Sénat, le professeur agrégé en Droit public, Ouarid Lagoun, estime que 20 années après la création de cette institution, le 2 janvier 1998, il est judicieux de procéder à une évaluation du chemin parcouru depuis. Intervenant, jeudi, à la chaine 3 de la Radio Algérienne, il rappelle que cette tendance de créer une deuxième Chambre relève du souci d’assurer une meilleure représentativité des composantes sociales de la Nation.   Cette décision, déclare-t-il, se voulait une réponse institutionnelle à la crise qu’a connue l’Algérie durant les années 90, afin de mettre un terme au système mono caméral lequel, ne prévoyait notamment pas une représentation des collectivités territoriales. La particularité, relève-t-il, c’est que « nous avons une mixité » dans la composante du Sénat. Il explique ainsi que les deux tiers des sénateurs sont constitués de membres des APC et des APW et qu’un tiers est désigné par le président de la république (tiers présidentiel). Il note, par ailleurs, qu’alors que les membres du Parlement sont élus pour un mandat de cinq années, ceux du Sénat le sont pour un mandat de six années, renouvelable « partiellement »  tous les trois ans. Du rôle assumé par cette institution, « aux prérogatives assez larges », le professeur Lagoun observe qu’elle possède un « droit d’amendement et d’initiative », en ce sens où tous les projets de textes loi concernant, par exemple, le découpage, l’aménagement territorial où administratif, lui sont soumis en priorité.   Contrairement au Parlement, la deuxième chambre, précise-t-il d’autre part, ne peut être dissoute « parce qu’elle assure la continuité de l’Etat ». Il rappelle à ce propos que le président du Conseil de la nation possède un statut spécifique parce que c’est lui, signale-t-il, « qui assure l’intérim » en tant que second personnage de l’Etat. Selon lui, aujourd’hui, la « démocratie participative » est en crise, une situation qu’il impute au fonctionnement du système majoritaire, mais également au choix  de scrutin, lequel qu’il soit « uninominal ou à deux listes »  peut donner lieu à un système de représentation différent.  


Le ministre japonais des Affaires étrangères se recueille à la mémoire des martyrs de la Révolution

Le ministre japonais des Affaires étrangères, Taro Kono, s'est recueilli jeudi au sanctuaire des martyrs (Alger) à la mémoire des martyrs de la Révolution du 1er novembre 1954. Accompagné du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, M. Taro Kono a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative et observé une minute de silence à la mémoire des martyrs de la Glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954. Le chef de la diplomatie japonaise effectue une visite officielle de trois jours en Algérie, dans le cadre du renforcement des relations de coopération et de partenariat entre l'Algérie et le Japon.


Renouvellement partiel du Conseil de la nation : le Conseil constitutionnel rappelle les modalités de recours

Le Conseil constitutionnelle a rappelé mercredi, dans un communiqué, les conditions et modalités de présentation de recours à l'occasion de l'élection en vue du renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la nation, prévue le 29 décembre 2018. "Le Conseil constitutionnel rappelle aux candidates et aux candidats à l'élection portant renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation, prévue samedi 29 décembre 2018, qu'en vertu des dispositions de l’article 130 de la loi organique relative au régime électoral, qu’ils ont le droit de contester les résultats du scrutin en introduisant un recours par simple requête déposée au greffe du Conseil constitutionnel suivant les conditions découlant des règles de forme et de fond contenues à l'article 130 susvisé, aux articles 49  et 50  du Règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel ainsi qu’à l’article 28 du décret exécutif n  18-293 du 21 novembre 2018 relatif à l’élection des membres élus du Conseil de la Nation", indique la même source. Concernant les conditions de forme, le Conseil constitutionnel souligne que "le requérant doit être candidat à l’élection portant renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation qui aura lieu le 29 décembre 2018 dans la wilaya concernée". "Le recours doit être déposé par le candidat requérant directement auprès du greffe du Conseil constitutionnel dans les vingt-quatre (24) heures qui suivent la proclamation des résultats provisoires par le Conseil constitutionnel", relève-on, ajoutant que "dans le cas où le requérant délègue un représentant pour déposer le recours en son nom et place auprès du greffe du Conseil constitutionnel, il est impératif, sous peine de rejet du recours en la forme, que le dépositaire soit muni d’une délégation l’habilitant à cet effet". Le Conseil constitutionnelle rappelle que la requête doit être présentée en langue arabe et comporter le nom, prénom (s), profession, domicile et signature du requérant, la mention de l’Assemblée populaire communale ou de l’Assemblée populaire de wilaya à laquelle appartient le requérant. S'agissant des conditions de fond, le Conseil constitutionnelle indique que le requérant "est tenu d'exposer dans sa requête, l’objet ainsi que les moyens et les motifs au soutien de son recours, de joindre les documents justificatifs à l'appui de son recours, tout en signalant que le Conseil constitutionnel statue sur les recours dans un délai de trois (3) jours francs conformément à l’article 131 alinéa 1er de la loi organique relative au régime électoral". Le Conseil constitutionnel invite, en outre, les candidats à consultez son site internet "http://bit.ly/1JC630X" ou appeler aux numéros de téléphone 021790088, 021790041 pour avoir de plus amples informations.  


mercredi 26 décembre 2018

Le ministre du Commerce, Saïd Djellab : l’année 2019 inaugurera la promotion des exportations à grande échelle

Le gouvernement en a exprimé la volonté : l’année 2019, sera celle de la promotion des exportations, a annoncé, ce mercredi, le ministre du Commerce.   Sexprimant, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Saïd Djellab rappelle qu'à l'effet de faire connaitre la large panoplie des produits Algériens, des déplacements d’un grand nombre d’entreprises ont été organisés vers des marchés à l’étranger, notamment en Amérique, au Moyen Orient et en Afrique en particulier. Il signale que durant ces visites, il est apparu que nombre de ces produits peuvent concurrencer aisément ceux d’autres pays, tant au plan de la qualité que des coûts.  D’une étude élaborée en coopération avec le Centre du commerce international de Genève, il explique que celle-ci a permis de cibler distinctement les secteurs susceptibles d’être investis sur ces marchés et, dans le même temps, de cerner les aspects pouvant contribuert à promouvoir les exportations, tels ceux relatifs à la qualité, la logistique ou encore l’information commerciale. Entre autres actions allant dans le même sens, il souligne l'important apport que constituent les institutions d’appui à l’exportation, dont il annonce, par ailleurs, le prochain redéploiement et parmi lesquelles il cite l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex), la Société Algérienne des foires et exportations (Safex) et l’Organisme Algérien d’accréditation (Algerac).. Tout cet ensemble d’activités va nous permettre, déclare-t-il, d’élaborer, à partir de janvier 2019, « une feuille de route » tendant à donner corps aux exportations, laquelle, indique-t-il, constituera le  « sujet central » de tous les débats économiques, durant les années à venir. L’un des aspects que M. Djellab tiendra à relever est relatif au financement des exportations sans lequel, dit-il, celles-ci se trouveront handicapées. A ce titre, il annonce qu’en plus de soutenir le transport des marchandises, le système déjà existant va être réformé, afin de le rendre efficient et palpable les activités d’exportation. Le ministre du Commerce observe, d'autre part, qu’un regain de confiance s’est désormais créé au sein des opérateurs économiques, dont il assure qu’une majorité parmi eux souhaitent faire connaitre leurs productions sur les marchés à l’extérieur du pays.


Plus d'un million de logements réceptionnés jusqu'à décembre 2018

Le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a affirmé, mardi à Alger que 1.128.424 logements sur un total de 2.153.668 unités inscrites au titre du programme quinquennal 2015-2019 ont été réceptionnés jusqu'au 24 décembre 2018 à l'échelle nationale. Lors d'un exposé devant les membres de la commission de l'habitat, de l'équipement, de l'hydraulique et de l'aménagement du territoire de l'APN, M. Temmar a indiqué que 1.128.424 logements sur un total de 2.153.668 unités inscrites au titre dudit programme quinquennal, ont été réceptionnés jusqu'au 24 décembre 2018, précisant que 733.440 autres unités étaient actuellement en cours de réalisation, contre 291.804 autres à l'arrêt. Le ministre a souligné que l'état d'avancement des projets était "considérable" durant les quatre premières années (2015-2018), précisant que ledit programme a été réceptionné à 52%. Il a ajouté que 34% des logements sont en cours de réalisation, alors que les chantiers n'ont pas encore démarré pour les 14% restants. La cadence de réalisation des logements a connu un bond qualitatif, avec une moyenne annuelle de réalisation de 280.000 unités, a-t-il poursuivi. Le budget consommé durant la période 2015-2018 était de 2.065,43 milliards de dinars, à raison de 550, 78 milliards de dinars/an, a précisé le ministre. M. Temmar a dévoilé un autre programme de réalisation de 180.000 logements pour l'exercice 2019, dont les travaux de réalisation débuteront durant le premier semestre 2019, notant qu'il s'agit de la réalisation de 90.000 logements AADL, 40.000 logements ruraux et 50.000 logements promotionnels aidés (LPA). Le programme de logements pour la période 2015-2019 comprend 698.739 logements publics locatifs (LPL) (32%) et 470.000 logements AADL (22%), auxquels s'ajoutent 90.000 unités inscrites au titre du programme de 2019 et 681.898 logements ruraux (40.000 unités supplémentaires pour l'année 2019) et 253.031 logements promotionnels aidés (LPA) (50.000 unités supplémentaires pour l'année 2019) et 50.000 logements promotionnels publics (LPP).  


mardi 25 décembre 2018

Le Haut Conseil islamique honore le président Bouteflika

Le Haut Conseil islamique (HCI), qui a célébré mardi à Alger le 20ème anniversaire de sa création, a honoré, à cette occasion, le président de la République "en reconnaissance de ses efforts et sa grande contribution au service de l'Islam et du pays". La distinction a été remise au Conseiller auprès du président de la République, Saad Eddine Nouiouat. Les intervenants, dont le président du HCI, Bouabdellah Ghlamallah,  ont rappelé la "priorité" qu'a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à la promotion de ces concepts et valeurs lors de l'organisation de la semaine nationale du Saint Coran et le Prix international d'Alger de récitation, de psalmodie et d'exégèse du Coran. M. Ghlamallah a ajouté que le président Bouteflika "n'a de cesse d'appeler à la modération, à la tolérance et à la préservation de l'identité religieuse et culturelle de la société algérienne". Le président du HCI s’est également félicité des efforts consentis par les Oulémas et les Chouyoukhs au service du Conseil, de l'islam et du pays, tel que Abdelmadjid Meziane, cheikh Bouamrane, cheikh Mohamed Cherif Kaher, soulignant qu'il "poursuivra son oeuvre conformément aux instructions du président de la République en vue de protéger les jeunes contre l'extrémisme violent, le désespoir et le fanatisme". APS


Le ministre japonais des Affaires étrangères en visite officielle en Algérie du 26 au 28 décembre

Le ministre japonais des Affaires étrangères, Taro Kono, effectuera une visite officielle en Algérie du 26 au 28 décembre, dans le cadre du renforcement des relations de coopération et de partenariat entre l'Algérie et le Japon, indique mardi un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Lors de cette visite qui s'inscrit "dans le cadre des relations d'amitié et de coopération qu'entretiennent l'Algérie et le Japon, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, s'entretiendra avec son homologue japonais sur les relations bilatérales dans leurs différents volets, notamment économique, ainsi que sur les voies et moyens à même de donner une nouvelle dynamique aux échanges et au partenariat économiques entre les deux pays", précise le communiqué. Cette visite "permettra également aux deux ministres de poursuivre les consultations politiques et de procéder à un échange de vues et d'analyses sur des questions d'intérêt commun", ajoute la même source. APS


Gaïd Salah met en avant l'intérêt accordé par le Haut commandement de l'ANP au maintien d'une "interopérabilité étroite" entre les Forces Armées

Le général de Corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'Etat-major de l'Armée nationale populaire (ANP), a mis en avant mardi à Biskra, l'intérêt accordé par le Haut Commandement de l'ANP au maintien d'une "interopérabilité étroite" entre les composantes des Forces Armées, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). Au 3ème jour de sa visite à la 4ème Région militaire à Ouargla, le général de Corps d'armée a réitéré que le Haut Commandement de l'ANP "accorde un intérêt particulier au maintien d'une interopérabilité étroite entre les composantes de nos Forces Armées, afin de garder le haut niveau atteint en termes d'état-prêt opérationnel de nos unités, et ce, à travers la conjugaison de tous les aspects didactique, de formation, de préparation, de sensibilisation et de moral", précise le communiqué. Dans une allocution prononcée à l'Ecole Supérieure des Troupes Spéciales, le chef d'Etat-major de l'ANP a souligné que "la sérénité et la quiétude d'un pays quant aux présent et au futur de ses enfants, émane de la force de son armée dans tous les sens du terme. A ce titre, je tiens à rappeler et réitérer que la puissance de l'ANP, digne héritière de l'Armée de libération nationale repose sur la force de sa composante humaine qui œuvre, sans répit, à réunir tous les facteurs de l'expérience professionnelle conforme avec les missions assignées, tout en veillant à donner l'exemple en termes de patriotisme et de sacrifice". "Telles sont les qualités et les caractéristiques que nos institutions de formation contribuent à imprégner dans les esprits et les cœurs des hommes. Elles ne se contentent pas uniquement de cela, mais poursuivent leurs nobles missions de développement et de promotion de ces valeurs comme référentiel immuable et critère décisif sur lequel nous pouvons compter lors de l'évaluation scolaire voire même professionnelle", a-t-il relevé. Pour le vice-ministre de la Défense nationale, "ceci est une mission voire une responsabilité majeure dont l'Ecole Supérieure des Troupes Spéciales et tous les autres établissements du système de formation, doivent veiller au parfait accomplissement". "Je tiens toujours à chaque visite que j'effectue à la 4ème Région militaire, à visiter l'Ecole Supérieure des Troupes Spéciales et à m'enquérir des conditions pédagogiques, de vie et de travail de ses cadres, élèves et stagiaires", a-t-il ajouté. Le général de Corps d'armée a souligné, à cet égard, que "cette Ecole constitue une véritable pépinière des hommes et une source inépuisable qui procure à notre Armée une élite hautement qualifiée, armée d'un sincère patriotisme, à l'instar de l'ensemble des établissements de notre système de formation que nous considérons comme étant le berceau d'une ressource humaine apte, habile et consciente de la nature et de l'importance des missions assignées". "Ainsi, donner de l'importance à la qualité de formation du militaire promu représente, sans doute, l'importance que revêtent cet élément et sa contribution efficace dans le raffermissement de la défense de nos Forces Armées qui jouissent du soutien permanent de Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef Suprême des Forces Armées, Ministre de la Défense nationale", a-t-il soutenu. Le chef d'Etat-major de l'ANP a prononcé cette allocution lors d'une réunion d'orientation avec les cadres, les élèves et les personnels de l'Ecole ainsi que les représentants des différents corps de sécurité, portant sur "les efforts consentis pour l'optimisation des potentiels de l'ANP à travers une conception réaliste qui s'accorde avec la capacité de la gestion des réalisations sur le terrain dont témoignent les résultats concrétisés et le développement technologique atteint par les différentes composantes de nos Forces Armées qui demeurent à jamais le protecteur de nos frontières nationales et le garant de leur sécurité et leur stabilité". Le général de Corps d'armée a consacré la troisième journée de sa visite à la 4ème Région militaire, à l'inspection de quelques unités du Secteur Militaire de Biskra. A l'Ecole Supérieure des Troupes Spéciales et après la cérémonie d'accueil, le général de Corps d'armée, accompagné du général-major Hassan Alaïmia, Commandant de la 4ème Région militaire, a suivi un exercice démonstratif exécuté par un détachement des stagiaires de l'Ecole. L'exercice portait sur le thème: "Un détachement des Troupes Spéciales en mission de libération d'otages détenus dans un bus et de neutralisation de leurs ravisseurs", où ils ont utilisé tous les moyens et les équipements spéciaux requis par ce genre d'opérations sensibles y compris le largage aérien de parachutistes de ce détachement, précise la même source. Cet exercice a été marqué par un "haut professionnalisme, qui dénote de l'efficacité de la formation de qualité, dispensée au profit des hommes de l'Ecole Supérieure des Troupes Spéciales, et qui leur permet d'accomplir leurs missions avec un total engagement et une ferme détermination et en toutes conditions et circonstances", relève la même source. A l'issue de la rencontre, le général de Corps d'armée a écouté les interventions des personnels qui ont "réitéré leur aptitude et leur engagement à accomplir leurs missions jour et nuit et dans toutes les circonstances", ajoute le communiqué. APS