Dans cet entretien audio que nous a accordé Sadek Dziri, président de l'union nationale des professionnels de l'éduction et de la formation (UNPEF), une union qui compte dans ses rangs 154 000 adhérents ,il nous explique les raisons qui ont poussé son syndicat à faire grève. "La goutte qui a fait débordé le vase :c'est l'effet rétroactif des salaires que le département de Nouria Benghebrit a signé pour qu'il soit appliqué à partir de juin 2012 alors que dans son application, le texte signé entre en vigueur seulement à partir de décembre 2014. Donc ils ont fait perdre aux enseignants concernés 30 mois d'effet rétrocatif" nous dira-t-il.
Les questions que nous lui avons posé sont axés essentiellement sur la grève du 10 et 11 février, le sort des élèves Algériens ainsi que les assurances de la tutelle concernant l'ouverture des voies du dialogue avec eux , surtout que le ministère assure avoir eu avec eux 500 heures de dialogue. "Elles sont vaines car elles ne sont pas aboutissantes!"regrette-t-il.
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