
Cela fait pas moins de 11 ans depuis l’énonciation, en octobre 2012, d’une directive prise en CIM (Conseil inter-ministériel) tenu au siège de Saidal et visant à une prise en charge plus efficiente des malades cancéreux. Celle-ci préconisait, entre autres, l’autorisation des pharmacies à la vente directe aux malades cancéreux de certains médicaments dont la morphine, qui fait partie de tout un arsenal thérapeutique, pour soulager leurs douleurs. Dans les faits, les malades restent livrés à eux-mêmes et l’accès à ces médicaments demeurent des plus improbables. Invité de la rédaction de la Radio Algérienne ce matin, le docteur Lotfi Benbahmed, président du Conseil national de l’Ordre des pharmaciens, ne fait que le confirmer.
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