La fille kidnappée échappe à son agresseur à Chlef La fille de 16 ans qui a été kidnappée mardi dernier par un repris de justice a réussi à échapper à son agresseur à Ouled Farès, à 20 km au nord de Chlef, indique la cellule de communication du groupement de gendarmerie de la wilaya de Chlef. Aussitôt informés, les éléments de la brigade territoriale de gendarmerie d’Ouled Farès se sont rapidement déployés dans la région et ont réussi, en un temps record, à mettre la main sur le dangereux malfaiteur âgé de 26 ans. Selon la même source, la victime a été surprise devant son domicile avant d’être traînée de force par son ravisseur vers le garage familial dans l’intention d’abuser d’elle. La fille a eu le réflexe de crier au secours et de fuir par une porte donnant sur la rue, ce qui a poussé l’accusé présumé à prendre la fuite vers une destination inconnue. Néanmoins, les recherches entreprises par les gendarmes ont abouti rapidement à l’arrestation du mis en cause qui a été placé sous mandat de dépôt par le juge du tribunal de Chlef pour«enlèvement de mineure et tentative d’agression sexuelle». Aïssa Draoui enfin reconnu chez lui à Skikda Le 1er novembre prochain, la piscine olympique de Ben M’hidi sera baptisée du nom de la gloire nationale du football Aïssa Draoui. L’information, confirmée par les proches du défunt Aïssa, a été bien accueillie à Skikda, ville qui a vu naître et grandir le lutin du football local et national. «C’est vrai qu’on a tout entrepris pour convaincre la commission locale chargée des baptisations de penser à un sportif qui, à ce jour, continue d’être le digne ambassadeur de l’antique Rusicade», dira Karim Draoui, un de ses proches. Le choix porté sur la piscine s’explique, a priori, par le manque d’infrastructures sportives dignes de ce nom dans une ville qui a été pourtant une grande pépinière des sports en enfantant tant de gloires sportives de renommée nationale. C’est cette disette qui mine Skikda, qui a conduit au choix de la piscine de Ben M’hidi qui vit depuis plusieurs années une grande décrépitude au point de risquer de tomber en ruine. A défaut de bâtir de réelles infrastructures sportives, on se rabat à Skikda sur d’anciennes enceintes construites dans les années 1930. Certains estiment à juste titre, que le nom de Draoui mérite plutôt d’être au fronton d’un stade ou d’un complexe sportif, alors que d’autres, et ils sont nombreux, jugent qu’il vaut mieux donner à cette piscine le nom de la coqueluche du football de Skikda, avant que les responsables n’importent un nom d’ailleurs. Mobilisation générale des élèves de Dar El Gharnatia à Koléa Une importante armada de volontaires, issue de l’association musicale Dar El Gharnatia de Koléa, s’est mobilisée autour du staff de son association présidée par Hadj Boualem Kherrous. Les élèves, filles et garçons, se sont montrés disponibles pour assurer le succès de leur événement. La 7e édition de Koléandalouse se limitera à trois soirées uniquement à la maison de la culture Ahmed Aroua de Koléa, du 31 octobre au 2 novembre. Certains mélomanes avaient regretté le retard dans l’organisation de cet événement musical, qui devait avoir lieu en mars dernier. Avec les temps difficiles qui courent et les réticences de nombreux sponsors, les responsables de Dar El Gharnatia de Koléa avaient du mal à organiser leur Koléandalouse comme à l’accoutumée. Justement, cet élan de volontariat des élèves et la contribution de quelques sponsors mélomanes, sans oublier le soutien de Ghellaï Moussa, wali de Tipasa, et les élus de l’APC de Koléa, ont permis à Hadj Boualem Kherrous de donner rendez-vous au public, notamment les familles, à assister à ces soirées de musique andalouse à la maison de culture de Koléa. «Il n’y aura pas de soirée au centre culturel de l’ONCI du Chenoua, mais nous avons entamé la formation en musique andalouse dans ce complexe culturel», conclut-il.
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