Les travailleurs de la radio et de la télévision célèbrent, aujourd’hui, le 54ème anniversaire du recouvrement, le 28 octobre 1962, de la souveraineté nationale sur ces deux institutions médiatiques. A l’occasion, et comme à l’accoutumé, une cérémonie commémorative, avec dépôt de gerbes de fleurs à la mémoire des animateurs et des techniciens de la radio de la révolution, « la voix de l’Algérie combattante », a été organisée. En plus des premiers responsables de la radio, de la télévision et de l’entreprise de télédiffusion d’Algérie (TDA), la cérémonie a réunie le ministre du secteur, Hamid Grine ; la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Houda-Imane Feraoun et le directeur général d’Algérie Poste, Nacer Sayah. Le SG de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, un habitué de ce rendez-vous commémoratif, était, également, présent. La cérémonie commémoratif du 28 octobre, a été marqué, également, par l’annonce officielle, faite par Houda-Imane Feraoun, de l’édition d’un timbre postale à l’effigie de Aissa Messaoudi, l’animateur, durant la guerre de libération nationale, de la célèbre émission « la voix de l’Algérie combattante ». Aujourd’hui, 54 ans après l’indépendance, la Radio Algérienne compte un réseau de 55 chaines nationales, thématiques et régionales. Elle a, également, une présence active sur Internet, grâce à sa direction multimédia qui assure la publication instantanée des news, et la diffusion directe, via le streaming, des bulletins d’information et des programmes de ses chaines. Les médias, la radio en particulier, sont un pilier des systèmes politiques démocratiques. Ils remplissent une triple mission d’information, d’éducation et de divertissement. C’est grâce aux médias que les citoyens sont informés et c’est grâce au débat que le pays avance. La Radio publique Algérienne à une mission de service publique, celle d’informer de la manière la plus complète et la plus objective possible le public Algérien. Quel rôle de la Radio Algérienne dans l'information des citoyens ? Réponse dans le reportage de Noureddine Himed, journaliste à la radio chaine 3.
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