samedi 22 octobre 2016

On vous le dit

Algérie Poste n’est pas près d’être une banque Iman Houda Feraoun, ministre de la Poste et des Technologies de l’information  et de la communication (TIC), a indiqué, jeudi à Alger, que le projet de Banque-Poste n’est pas pour demain, arguant que les 3700 bureaux de poste que compte le pays n’ont pas tous le même niveau offert par les banques. Elle a relevé d’autres lacunes enregistrées dans les bureaux de  poste, à l’instar de la non-disponibilité de bureaux et de caisses sécurisées. Elle a divulgué le fait qu’Algérie Poste imprime 40 000 chèques postaux quotidiennement pour 18 millions  d’abonnés. Mais l’entreprise se trouve dans l’obligation de détruire 15% des chèques postaux par mois en raison du changement d’adresse des abonnés sans en informer  Algérie Poste, précisant que la majorité des abonnés  ont ouvert leur compte postal lorsqu’ils étaient étudiants à l’université. Des directeurs de radios locales en formation à Tipasa Un cycle de formation au profit  des  radios locales vient d’être achevé au Center Training Radio and TV de Tipasa dirigé par Cheniouni Mohamed. «Comment configurer une plate-forme Web pour sa station radio locale», tel était le thème de cette formation encadrée par des experts de la BBC. Il fallait inviter chaque directeur de la station radio locale pour expliquer ce qu’il fait à l’aide de ses équipements. Les experts de la BBC avaient conçu le programme pédagogique. A la suite des exposés des responsables de radio, les experts de la BBC avaient expliqué aux directeurs la manière de créer un site Web  propres à  leur stations locales respectives. Lors de cette formation, seulement à titre expérimental, les responsables des radios locales  d’Oran, Adrar, Sétif, Tipasa et El Bahdja (Alger) avaient bénéficié de ce cycle de formation. La  réforme de l’audiovisuel tourne à la guerre politico-médiatique en Grèce   Les principales chaînes de télévision grecques se livrent actuellement à une guerre judiciaire acharnée pour faire   annuler la loi sur la réforme de l’audiovisuel du gouvernement Tsipras, les partis d’opposition et la presse se joignent allègrement à cette controverse. Au moins une quarantaine des recours en référé déposés par une dizaine de chaînes de télé ont déjà été rejetés par la justice depuis l’adoption de cette loi en février, selon une source judiciaire.  Adoptée grâce aux seules voix des députés de la coalition gouvernementale (Syriza à gauche et  parti souverainiste Grecs Indépendants à droite), la réforme a comme objectif d’attribuer pour la première fois des licences de diffusion nationale, quatre au total.  Terrain de conflit de vastes intérêts politico-financiers, les télés en   Grèce ne possédaient en effet depuis leur apparition fin des années 1980 que des licences de diffusion temporaires. «Aucun gouvernement ne s’était jusqu’ici aventuré à réglementer le paysage   audiovisuel, ce qui favorisait le clientélisme et l’étatisme (...) une situation inacceptable», rappelle Persa Zeri, professeur en théorie des médias à l’université de Pantion, à Athènes.      L’UE annonce un soutien de 45 millions d’euros à la recherche sur le virus Zika La Commission européenne a annoncé, hier,  un soutien de 45 millions d’euros à la recherche sur le virus Zika et d’autres  infections émergentes transmises par les moustiques. Cet investissement, qui s’inscrit dans le cadre du programme de recherche  Horizon 2020, renforcera la recherche sur les traitements, les diagnostics et  les vaccins, ainsi qu’une meilleure évaluation des risques pour Zika. «Ce financement sera un important coup de pouce à l’effort international  pour arrêter l’épidémie du virus Zika et protéger les nouveau-nés et les adultes»,  a souligné Carlos Moedas, commissaire européen à la Recherche, la Science et  l’Innovation, dans une déclaration de presse. Selon lui, cette recherche est un «exemple de la façon dont nous pouvons  mobiliser des fonds rapidement pour faire face à de grandes menaces ». La majorité du financement (30 millions d’euros) ira à trois consortiums  de recherche, ZikaPlan (11 millions d’euros), financement coordonné par l’université d’Ume  en Suède, ZikAction (7 M), mené par la fondation Penta en Italie et ZikAlliance  (12 M), coordonné par l’INSERM en France. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire