- Le provisoire perdure à l’ENSO de Sétif... L’Ecole nationale des sports olympiques (ENSO) de Sétif fonctionne sans directeur attitré depuis décembre 2016, date du limogeage injustifié de son premier responsable, nommé, depuis, directeur de la jeunesse et des sports (DJS) à Laghouat. Faisant dans la facilité, le ministre de la Jeunesse et des Sports a confié la gestion des affaires courantes de cette grande institution, créée, faut-il le rappeler, par décret exécutif 12-118 du 11 mars 2012, au DJS. Avec son plan de charge, ce dernier ne peut être au four et au moulin. Oubliant que l’Etat a investi plus de 3 milliards de dinars pour la réalisation de cette structure devant former l’élite de demain, le ministre de la Jeunesse et des Sports, qui avait pourtant promis de désigner un nouvel ordonnateur, veut non seulement faire de l’ENSO un petit service de la DJS, mais aussi mettre en «quarantaine» une belle et rentable acquisition. Celle-ci n’est ni baptisée ni officiellement réceptionnée … - La mégazone industrielle en stand-by Lors d’un point presse, tenu à l’issue de sa visite de travail à Sétif le 5 janvier dernier, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, avait clairement déclaré que le cahier des charges de la mégazone industrielle de Ouled Saber (Sétif), qui a fait couler beaucoup d’encre, sera prêt avant la fin du premier trimestre de l’année en cours. S’apparentant à de la consommation médiatique, les déclarations du ministre n’ont pas été matérialisées sur le terrain, au grand dam de plus de 300 opérateurs économiques, obligés de prendre leur mal en patience. Tout comme les gros investissements devant générer plus de 20 000 postes de travail sur un site s’étendant sur une superficie de 700 hectares. Aux dernières nouvelles, le dossier, qui a été pensé, étudié et lancé par quatre walis ( Noureddine Bedoui, Abdelkader Zoukh, Mohamed Bouderbali et actuellement Nacer Maskri ), est à l’étude au niveau de l’Agence nationale de l’intermédiarité et de la régulation foncière (Aniref), il risque de moisir dans les tiroirs des commissions d’arbitrage, les principales causes de la «disparition» du complexe sportif de 50 000 places , sont toujours d’actualité du côté de Aïn Fouara …
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