mercredi 28 décembre 2016

On vous le dit

La mission délicate mais réussie de Berraf Au cours d’un  long déplacement’effectué à Moroni  du 20 au 25 décembre, Mustapha Berraf, représentant du CIO et de l’Acnoa, a réussi à régler le conflit relatif à l’élection du Comité olympique des Comores, qui s’est  soldée par un succès. Le ministre des Sports et le vice-président  de la République des Comores n’ont pas manqué de transmettre à cette occasion leurs sentiments de fraternité à l’Algérie. M. Berraf, dont la mission a été délicate, a réussi dans cette opération grâce à  l’application de la charte olympique. Un vote qui a vu la réélection d’Ibrahim Ben Ali à la tête du Comité olympique des Comores avec 9 voix contre 6 pour son adversaire.   Le wali de Blida charge les secrétaires généraux Lors de sa dernière visite à Boufarik, le wali de Blida, Abdelkader Bouazghi, a instruit les secrétaires généraux des APC à faire preuve de plus de professionnalisme et de sérieux dans leur mission. «Il faut que vous assumiez votre responsabilité et ne pas vous cacher derrière les présidents d’APC. Certes, pour le citoyen, le maire est le premier accusé en cas de blocage et de bureaucratie au  sein d’une quelconque commune. Mais la démission du SG peut provoquer beaucoup de dégâts entraver le bon fonctionnement administratif de l’institution en question», a-t-il insisté, en constatant des retards dans le payement d’un entrepreneur. Et de poursuivre en direction du secrétaire général de l’APC de Boufarik : «Veillez au respect de la législation en matière d’octroi des marchés, faites le suivi du payement des entreprises chargées des travaux et ne laissez pas la situation s’envenimer au point que les chantiers soient abandonnés. Cela ressort de votre travail, le président d’APC a d’autres missions.» L’instruction de Sellal ne s’applique pas chez Bouchouareb L’instruction du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, relative à l’annulation du recours au recrutement des cadres retraités par les groupes et les entreprises publiques économiques n’est pas respectée par le ministère de l’Industrie et des Mines. En effet, on dénombre plusieurs retraités à la tête d’entités économiques relevant du département de Abdessalem Bouchouareb qui, sans invoquer de motif valable, a souvent donné son accord préalable. Il en est ainsi, entre autres, des PDG d’Agenor, de Manal, d’Enamarbre et d’Imetal. Des vieux cadres, qui ont déjà perçu  leurs indemnités de départ à la retraite qui se chiffrent en centaines de millions de dinars, sans pour autant libérer l’accès à ces postes au profit d’une nouvelle génération, impatiente de faire ses preuves. Au moment où ces retraités perçoivent un  double salaire conséquent, le Premier ministre a décrété l’interdiction, à partir du  1er janvier 2017, de surseoir à tout recrutement dans la Fonction publique. Cette seconde décision sera, vraisemblablement, vite appliquée au détriment de la première qui, malgré l’austérité, a toujours de beaux jours devant elle.      

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