Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aïssa, a présidé, mardi au Palais des expositions des Pins maritimes (Alger), l'ouverture du 2e Salon du hadj et de la Omra, aux côtés du ministre de l'Aménagement du territoire, du Tourisme et de l'Artisanat, Nouri Abdelwahab, et du wali d'Alger, Abdelkader Zoukh. "L'Etat envisage sérieusement de prendre en charge les citoyens qui n'ont jamais été tirés au sort pour pouvoir effectuer leur pèlerinage aux Lieux saints de l'Islam malgré de nombreuses participations au tirage au sort", a déclaré M. Aïssa à la presse en marge de l'ouverture du salon, précisant "avoir soumis au gouvernement des propositions en ce sens". Le Salon du hadj et de la omra vise à "permettre aux agences de tourisme et autres opérateurs concernés par le hadj de faire connaître leurs prestations pour que les visiteurs puissent choisir celles qui leur conviennent", a souligné le ministre. Concernant le coût du hadj estimé cette année à 500.000 DA, le ministre l'a lié à la forte valeur du Rial saoudien et aux prestations supplémentaires proposées en termes de restauration, de transport et de prise en charge sanitaire des hadjis. Le représentant d'Air Algérie, Houaoui Zoheir, a, pour sa part, fait savoir que la vente des billets d'avion aux futurs hadjis débutera en mai, précisant que 69 vols vers les Lieux saints étaient programmés à raison de trois (3) ou quatre (4) vols quotidiens au départ de cinq (5) aéroports. APS
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