Le scandale qui a touché, cette semaine, le géant allemand de l’automobile Volkswagen aux Etats-unis vient d’avoir un impact sinon sur le marché algérien, mais au niveau des autorités politiques du pays. Invité par la presse à répondre sur les répercussions de cette affaire en Algérie, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, a estimé que ce qui est arrivé récemment au constructeur allemand Volkswagen «conforte la position de l’Algérie sur cette question». Le ministre est allé jusqu’à se justifier sur les raisons du blocage des véhicules du groupe Volkswagen : «Quand je disais que Volkswagen devait se soumettre aux normes, comme l’ensemble des concessionnaires, on disait de moi que je voulais contrôler Volkswagen et la voiture allemande.» «La loi, lorsqu’elle sort dans la République algérienne, elle s’applique à tout le monde. Et aujourd’hui, Dieu merci, ce qui s’est passé confirme nos positions», a-t-il indiqué, hier, lors d’une conférence de presse.
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