lundi 28 septembre 2015

On vous le dit

- Vaste recrutement à VitaJus Moins de deux mois après son rachat, la nouvelle équipe de VitaJus, une usine de boissons située dans la zone industrielle d’Ouled Yaïch (Blida), lance un vaste mouvement de recrutement. Selon Riad Berik-Chaouch, DG de cette entreprise, une cinquantaine de postes d’emploi sont à pourvoir immédiatement. «Nous avons besoin de machinistes, de commerciaux et d’ouvriers pour renforcer notre effectif fort de 300 salariés. Ces derniers ont été tous maintenus après le rachat de VitaJus», a-t-il insisté. Mais certains travailleurs veulent l’instauration d’une section syndicale au sein de leur entreprise. A la veille de l’Aïd, ils ont organisé un mouvement de protestation, à l’intérieur de l’usine, pour exiger de l’administration de leur octroyer le droit de créer un mouvement syndical à VitaJus. Mais l’administration de cette dernière semble refuser la proposition de certains travailleurs et veut favoriser le recours au comité de participation. «Commençons, tout d’abord, par la délégation du personnel et le comité de participation», conclut notre interlocuteur. - Le corps découvert près d’El Eulma n’est pas celui d’Anès Le corps sans vie découvert vendredi à Djermane, près d’El Eulma (Sétif), n’est pas celui du petit Anès Berdjem, porté disparu depuis le 15 septembre, selon une source proche du dossier. L’enquête est en cours en vue d’identifier l’enfant retrouvé par un berger dans une petite forêt proche de la localité de Djermane, située à 7 km à l’est d’El Eulma, et en vue d’établir les circonstances de ce décès qui remonte à plusieurs jours au vu de l’état de décomposition du cadavre, a indiqué cette source. Le fait qu’il ne s’agisse pas d’Anès Berdjem a redonné de l’espoir à ses parents et à ses proches qui ne désespèrent pas de voir l’enfant de 5 ans retourner chez lui sain et sauf. Les services de sécurité, aidés de la population de la wilaya de Mila, poursuivent les recherches pour le retrouver. Le petit Anès, qui réside à Chelghoum Laïd, a été vu pour la dernière fois au quartier d’El Kouf, à Mila, jouant non loin de la demeure de ses grands-parents. - Un entraîneur driver entre la vie et la mort au Caroubier Un grave accident survenu mercredi dernier à l’hippodrome du Caroubier, dont a été victime l’entraîneur driver, S. Nasreddine, a jeté l’émoi et la consternation au sein de la famille des professionnels des courses hippiques en Algérie. La raison est due à l’absence d’ambulance au niveau de cet hippodrome, ce qui a fait que l’entraîneur est resté presque inerte en perdant connaissance à plusieurs reprises pendant plus de trois quarts d’heure. Autre raison de cette colère, ni le directeur de l’hippodrome ni le directeur de l’organisation des courses par intérim fraîchement nommés n’étaient sur place au moment des faits. Evacué dans un véhicule de la SCHPM au risque de lui causer des blessures plus graves, il est actuellement entre la vie et la mort à l’hôpital Mustapha avec deux côtes fracturées et un traumatisme crânien. - Mark Zuckerberg et Bill Gates pour un accès universel à internet La patron de Facebook, Mark Zuckerberg, et le fondateur de Microsoft, Bill Gates, ont annoncé samedi à l’ONU mettre leurs ressources au service d’un objectif qui leur tient à cœur : développer un accès universel à internet d’ici 2020. Leur action entre dans le cadre des efforts des Nations unies pour éradiquer l’extrême pauvreté d’ici 2030, un des 17 objectifs du développement durable fixés par l’ONU. Internet est courant dans les pays développés depuis la fin des années 1990, mais l’ONU estime que la moitié de la planète n’a pas un accès fiable au web, notamment les femmes et les jeunes filles, dont l’éducation est vitale dans l’optique du développement. «Quand les gens ont accès aux outils et au savoir d’internet, ils ont accès à des moyens de rendre la vie meilleure pour nous tous», indique une déclaration signée par Mark Zuckerberg et Bill et Melinda Gates, qui ont dévolu leur fortune à la philanthropie. - Un échange d’espions au parfum de guerre froide La Russie a libéré samedi, dans le cadre d’un échange d’espions sur un pont digne de la guerre froide, un agent estonien arrêté, selon elle, sur son sol mais enlevé en Estonie, selon Tallin, dont la condamnation avait provoqué l’indignation des Occidentaux. La remise en liberté surprise d’Eston Kohver, à deux jours d’une visite de Vladimir Poutine à New York, où il doit présenter un plan pour la Syrie devant l’Assemblée générale de l’ONU et rencontrer Barack Obama, a été saluée par Bruxelles et Washington. Un mois après avoir été condamné à 15 ans de prison par un tribunal russe, l’agent du contre-espionnage estonien a été rendu aux autorités de son pays au milieu d’un pont sur la rivière Piusa séparant la Russie de l’Estonie, ont annoncé les services spéciaux russes (FSB) dans un communiqué cité par les agences russes. Il a été échangé contre Aleksei Dressen, ancien responsable de la sécurité estonienne, qui purgeait depuis 2012 une peine de 16 ans pour avoir espionné au profit de Moscou.

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