samedi 28 novembre 2015

On vous le dit

- Chlef perd un humaniste hors pair La wilaya de Chlef perd un psychologue de la société, un humaniste hors pair en la personne de Maâmar Aït Saâda, décédé subitement, mercredi, à l’âge de 66 ans. Il a été enterré jeudi, au cimetière de Sidi M’hamed Benabdallah, à Oum Drou, près de Chlef. Le défunt a été accompagné à sa dernière demeure par une foule nombreuse composée de confrères, de ses voisins et de simples citoyens, à qui il donnait des conseils pour prévenir et soigner le stress et la dépression, entre autres. Il était présent sur tous les fronts, à savoir la sensibilisation à la violence en milieu scolaire,les violences faites aux femmes et les risques de la toxicomanie. Il était membre actif de l’Association d’aide aux inadaptés mentaux et éducateur-psychologue au sein du service d’observation et d’éducation en milieu ouvert (Soemo). Il était également sollicité par les médias pour des interviews et des tables rondes sur les sujets en question. «Maâmar Aït Saâda avait, pour ainsi dire, ses empreintes partout, il aimait contribuer à construire une société saine et harmonieuse sans aucune contrepartie», témoignent ses confrères et voisins, les docteurs Sofiane Tahraoui et Benali Fellague. - Hommage sous le signe de la solidarité à Blida A l’occasion du quatrième anniversaire du décès de Abdelkrim Daïdi, ancien moudjahid et cadre de la nation, ses amis et sa famille ont organisé, mercredi à Blida, sa ville natale et d’origine, un vibrant hommage pour perpétuer la mémoire de cette personnalité qui a tant donné à son pays. Ainsi, son parcours au sein de l’ALN dès l’âge de 17 ans, sa carrière professionnelle dans le corps préfectoral et diplomatique, entre autres, ont été relatés avec beaucoup d’émotion. Lors de cette rencontre, le côté humain de Abdelkrim Daïdi a été aussi évoqué avec les larmes par plus d’un. A cette occasion, un appel a été lancé, notamment aux industriels présents à la rencontre, pour venir en aide à un petit garçon malade, dont le cas, compliqué, nécessiterait une prise en charge à l’étranger. - Coupures récurrentes de courant à Bouchaoui Les résidants du quartier Bouchaoui forêt 1,2 et 3 crient leur colère, suite aux coupures récurrentes du courant électrique deux à trois fois par jour. «Ces coupures durent des heures, sans que les services compétents de Sonelgaz daignent intervenir», dénonce un résidant du quartier, qui cite à titre d’exemple la coupure du 21 novembre qui a duré de 18h30 à 1h. «Cette situation dure depuis près de 5 ans, sans que l’appel des habitants du quartier soit entendu par le fournisseur de courant», indiquent les résidants. - Les Saoudiennes se lancent dans la bataille électorale Des candidates se lanceront demain pour la première fois dans une campagne électorale en Arabie Saoudite, pays ultra-conservateur du Golfe, où les femmes restent soumises à de nombreuses restrictions. Précédées d’une campagne de douze jours, les élections municipales du 12 décembre sont les premières à être ouvertes aux femmes en tant qu’électrices et candidates. Ce scrutin «va nous donner confiance», car «si nous voulons développer ou réformer notre pays, il faudra mettre une femme à tous les niveaux de décision», affirme Nassima Al Sadah, candidate à Qatif, dans l’Est saoudien. Le défi est de taille dans le royaume qui, appliquant une version rigoriste de l’islam, ne compte aucune femme ministre et est le seul pays au monde où les femmes n’ont pas le droit de se mettre au volant d’une voiture. Les femmes ne sont autorisées à sortir en public qu’à la condition d’être couvertes de la tête aux pieds. Et elles ne peuvent pas travailler, se marier ou voyager sans autorisation de leur mari ou d’un homme de leur famille, ni manger seules dans un restaurant. Mais un timide processus d’ouverture a été initié par le roi Abdallah durant les dix ans de son règne (2005-2015).

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