mardi 10 novembre 2015

On vous le dit

Une figure du banditisme nantais impliquée dans l’enlèvement d’Amine Yarichène L’enquête sur la disparition du petit Amine Yarichène a permis de mettre au jour des liens avec le grand banditisme en France.  Le journal régional français Ouest France revient sur l’affaire de l’enlèvement en octobre dernier d’Amine Yarichène à Alger, séquestré à l’initiative d’un proche de la famille pendant près de quinze jours avant d’être délivré par des gendarmes et des policiers. Selon notre confrère qui relaie des informations proches de la police nantaise, parmi les auteurs présumés du kidnapping présentés à la justice algérienne, figurerait, «un certain Saïd Ahmed Yousfi, un Algérien de 44 ans, bien connu de la police nantaise et recherché par Interpol depuis treize ans». Selon le quotidien, il s’était évadé de la maison d’arrêt de Lorient-Ploemeur en septembre 2002 avec Salah Ghemit, une autre figure du milieu nantais. Si ce dernier avait été rapidement interpellé quinze jours plus tard à Marseille, Saïd Ahmed Yousfi avait disparu des écrans radar pendant treize ans avant de réapparaître comme un des instigateurs de cet enlèvement, qui avait fait la une de tous les médias algériens jusqu’à la délivrance, au début de novembre en cours. En janvier 2004, c’est par contumace que l’homme avait été jugé par la cour d’assises de Loire-Atlantique et condamné à quinze ans de réclusion criminelle pour tentative de braquage d’une banque en janvier 2002. Le wali de Bouira ordonne d’enlever le portail d’une cité Bonne nouvelle pour les enfants scolarisés à l’école primaire Larbi Tebessi. Le portail métallique érigé par les habitants de la cité des 50 Logements attribués aux agents de police a été enlevé, a-t-on constaté. Interdits d’accès à leur établissement, après que les habitants de cette cité aient érigé un portail, bloquant l’accès aux élèves, les parents d’élèves et les enseignants ont exprimé leur indignation en observant une journée de protestation. Selon une source bien informée, c’est le wali de Bouira en personne, Nacer Maaskri, qui a ordonné d’enlever cette barricade. La décision a été prise le jour même de la publication de notre papier traitant de cette affaire, intitulé «Pour sécuriser sa cité, la police en interdit l’accès aux élèves», a-t-on protesté. La réaction du premier responsable de la wilaya a été saluée par les parents d’élèves. Le P/APC de Bouira, quant à lui, est invité donc à «réfléchir» prochainement quant à ses prises de décision parfois intempestives et irréfléchies, dès lors que c’est ce dernier qui a autorisé ces habitants policiers à ériger ce portail, mettant ainsi la vie des 900 élèves en danger.   Des opérateurs locaux rattrapent le retard dans l’hôtellerie à Chlef Le chef-lieu de wilaya de Chlef a pu combler son retard en matière d’hôtellerie grâce aux investissements privés réalisés par des opérateurs locaux. Il dispose désormais de sept hôtels, dont deux ont été récemment inaugurés et deux autres sont en voie d’achèvement. Cela porte désormais la capacité d’accueil à près de 2000 lits, ce qui permet de combler le manque constaté dans le domaine. Néanmoins, ce nombre reste insuffisant aux yeux du ministre de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat, qui  a estimé que les besoins s’élèveraient à 10 000 lits pour répondre à la demande des visiteurs. Rappelons que le premier responsable du secteur avait, lors de la visite effectuée dernièrement à Chlef, indiqué que le développement du secteur de l’hôtellerie est à même de hisser la région au rang de pôle touristique par excellence, compte tenu des riches potentialités naturelles que recèle la région, notamment son splendide littoral resté à l’état naturel. Il avait, dans ce cadre, insisté sur le lancement des investissements prévus au niveau des dix zones d’expansion touristique que compte la façade maritime,longue de 120 km.

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