jeudi 5 novembre 2015

On vous le dit

Une association pour les médecins généralistes à Blida Organisation de manifestations scientifiques dans le cadre de la formation continue au profit de l’ensemble du corps médical, promotion du rôle central du médecin généraliste dans le système national de santé en sa qualité de médecin de famille, renforcement de la bonne pratique médicale conformément aux standards internationaux, établissement des voies de dialogue avec les caisses de Sécurité sociale en vue d’assurer une meilleure couverture médicale aux patients. Tels sont les principaux axes autour desquels s’articulera le programme d’action de la nouvelle Association blidéenne des omnipraticiens libéraux (ABOL), agréée le 1er octobre 2015 sous le n°21/2015 par les autorités compétentes de la wilaya de Blida. Elle est présidée par le docteur Djaouida Chabane Sari, née Boukhadra, installée à La Chiffa. Ce nouveau-né dans l’espace scientifique et médical est le couronnement d’efforts, de réflexion et de dialogue consentis par un groupe de médecins généralistes privés exerçant dans la wilaya de Blida. «Avec mes collègues, nous avons conclu à la nécessité de créer un cadre de concertation, d’échange et de renforcement des connaissances entre confrères et consœurs», souligne le Dr Chabane Sari. Et d’ajouter : «Régie par les mêmes dispositions professionnelles et soumise aux mêmes  contraintes, l’Association est réservée aux seuls médecins généralistes libéraux.» Rappelons qu’une rencontre conviviale d’information est prévue le 28 novembre à la maison de jeunes Bounaâma Djilali à Blida, à partir de 17h. La rencontre, à laquelle l’ensemble des médecins généralistes libéraux de la wilaya de Blida sont invités, servira, selon notre interlocutrice, à discuter, entre  autres, du programme d’action de l’exercice 2016. Pour adhérer, Tél./fax : 025 400 184. Mobile : 0770 606 705.Mail : association.abol@yahoo.com Un pilote algérien reconnu par les Etats-Unis «C’est un exemple !», a déclaré l’Administration fédérale de l’aviation (FAA) des Etats-Unis au sujet du pilote algérien Mohand-Saïd Oulkhiari. Ce pilote, résidant à Bir Mourad Raïs, à Alger, a été inclus dans la prestigieuse base de données de certification de la FAA Airmen. D’après cette agence de renommée mondiale, M. Oulkhiari répond aux normes éducatives et médicales internationales avec un niveau d’instruction et de maîtrise le pilotage sain et sécurisé d’un avion. Signalons que les normes fixées par la FAA sont les plus strictes et les plus élevées dans le monde. Pour M. Oulkhiari, cette distinction est un honneur pour l’Algérie qui, malheureusement, n’arrive toujours pas à reconnaître les compétences de ses enfants. Il raconte à demi-mot son expérience contraignante au sein de la compagnie Air Algérie : «Nous devons toujours partir à l’étranger pour être valorisés. Toujours est-il, je ne quitterai pas l’Algérie et continuerai à la représenter dans mon domaine du mieux que je peux.» Un discernement qui vient à un moment où le monde assiste à un nombre important de crashs d’avion, faisant régner un climat de panique générale dans les rangs des voyageurs.   L’ancien président de l’athlétisme mondial mis en examen en France L’ex-président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), le Sénégalais Lamine Diack, a été inculpé lundi par la justice française dans un dossier de corruption lié à la lutte antidopage, a indiqué hier une source judiciaire. Son conseiller juridique, Me Habib Cissé, a également été inculpé par deux juges financiers parisiens. Un médecin chargé de la lutte antidopage à l’IAAF a été placé en garde à vue, a précisé la même source. Lamine Diack, qui n’a pu être joint, a été remplacé cet été à la présidence de l’IAAF par le Britannique Sebastian Coe. Il est mis en examen pour «corruption passive» et «blanchiment aggravé», tandis que Habib Cissé ne l’a été que du premier chef. Ils ont été laissés libres sous contrôle judiciaire. A la fin de son mandat, plusieurs affaires sont venues ternir le bilan de Lamine Diack, 82 ans. Son fils, Pape Massata Diack, chargé de mission marketing au sein de l’IAAF, a été contraint de quitter l’instance, accusé d’être impliqué dans une affaire de corruption visant à couvrir des cas de dopage en Russie.

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