- L’ouverture d’Uno Sétif reportée Occupant une superficie de 6625 m2 au niveau du premier Park Mall algérien, l’hypermarché Uno de la société Numidis, filière du groupe Cevital, n’ouvrira pas ses portes à la date prévue. Devant être inaugurée ce mois-ci, l’enseigne ne sera fonctionnelle qu’en décembre prochain. Des problèmes techniques sont à l’origine du décalage de la mise en exploitation de la grande surface devant fonctionner avec 300 agents, dont certains poursuivent actuellement des stages de formation au niveau des hypermarchés Uno de Bouira et Aïn Defla. Notons, par ailleurs, que le Park Mall, qui métamorphose le cœur de Sétif, créera non seulement pas moins de 1500 postes de travail directs, mais une autre dynamique du côté de l’antique Sitifis, un carrefour économique de premier plan. - 52 élèves dans une classe à Sétif Des centaines d’élèves de différents paliers de la wilaya de Sétif étudient dans des conditions difficiles. Pour l’illustration, les troisième année «langues» du lycée Ibn Rachik s’entassent à 52 élèves dans une seule classe. Leurs camarades de la filière «gestion» du même établissement poursuivent leurs cours à 46 dans une salle. Les terminale «langues» du lycée Malika Gaïd se trouvent eux aussi à l’étroit. Le calvaire de la surcharge n’épargne pas les élèves des collèges Ahmed Guedoudj et Mohamed Galous de Aïn Azel, chef-lieu de daïra situé à 52 km au sud-est de Sétif où l’on fait tout pour «masquer» ce problème, influant négativement sur la scolarité des élèves, en fin de cycle de surcroît. Paradoxalement, l’école Ghozli Ramdane de Mechta-Lamris de Aïn Roua, une commune située au nord de la ville de Aïn Fouara, fonctionne avec uniquement… 9 petits écoliers. - Aucun centimètre carré ne sera dorénavant cédé complaisamment «Je ne céderai pas un centimètre carré pour la promotion immobilière au niveau des zones urbaines à forte concentration humaine», il faut «s’inscrire dorénavant dans la légalité», a déclaré lors du premier forum presse/wali tenu jeudi lors du forum de la radio locale, Abdeslem Bentouati, wali de Tiaret. La mise au point a été faite au lendemain de la grosse polémique qui a suivi l’attribution de lots de terrain à bâtir au profit de promoteurs ayant pignon sur administration. Certains de ces grosses légumes se sont fait délivrer au mépris du bon sens et surtout des instruments d’urbanisme des permis de construire. Saisi par certains riverains, le chef de l’exécutif a orienté les plaignants vers la justice, car face à ce fait accompli, le nouveau locataire du château Rousseau a signifié qu’«il ne s’emploiera pas trop à regarder le rétroviseur». Entendre qu’«il n’est pas comptable des actes de gestion de son prédécesseur». Prenant acte de ces déclarations, l’opinion publique, jusque-là impuissante face à la prédation du foncier urbain et même agricole, lorgne désormais du côté de la justice.... - Vouloir approcher le roi est un délit au Maroc Cinquante citoyens marocains ont été condamnés de un à deux mois de prison ferme pour «avoir guetté le roi Mohammed VI afin d’obtenir quelque avantage», selon un arrêt de la chambre criminelle du tribunal de première instance de Casablanca. Selon le journal Assabah (Le Matin) «les guetteurs» ont été débusqués par les renseignements généraux. L’organe de presse précise que «lors de leur procès, ils ont pour la plupart nié les faits et affirmé qu’ils se trouvaient ‘‘là par hasard’’ (…) Un seul des prévenus a avoué sa présence à Casablanca dans l’espoir de rencontrer le roi Mohammed VI et lui demander soit un agrément, soit un quelconque avantage pour lui ou pour un membre de sa famille». Assabah croit expliquer que «c’est une véritable traque du roi qui est opérée par le groupe. Ils avaient pour but de surveiller ses déplacements officiels ou privés et de se donner ensuite rendez-vous pour s’approcher au plus près du souverain». - Elle avait un diamant de 245 000 euros dans le ventre Une Chinoise qui avait tenté, jeudi, de quitter la Thaïlande avec dans le ventre un diamant de 245 000 euros a été opérée pour extraire la pierre précieuse avant d’être présentée à un juge, a indiqué hier la police thaïlandaise. La femme, âgée de 39 ans, aurait dérobé jeudi le diamant d’une valeur de 10 millions de bahts dans une bijouterie de Bangkok en l’échangeant contre une fausse pierre. Elle aurait ensuite tenté de prendre un vol à l’aéroport international de Bangkok, mais la police l’a interpellée avant. Un Chinois qui voyageait avec elle a également été arrêté. Il a fallu 12 minutes pour extraire le diamant.
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