Enquête épidémiologique sur l’origine de cas de paludisme à Ghardaïa Une enquête épidémiologique et entomologique pour déterminer les réservoirs et les vecteurs de cas de paludisme décelés récemment dans la wilaya de Ghardaïa vient d’être lancée, selon une source médicale. Une équipe locale composée de médecins et de techniciens de la santé, formés au préalable dans les maladies dites «tropicales», entame cette enquête pour déterminer l’origine et la chaîne de transmission de cette maladie, suite à l’apparition de cinq cas confirmés de paludisme, dont une femme, dans les localités de Hassi Lefhal, El Ménéa et El Atteuf, a-t-on fait savoir. Un dépistage actif et une prospection sur le terrain viennent d’être également lancés pour rechercher éventuellement d’autres cas, des porteurs de parasites et les gîtes d’anophèles dans ces localités. Journées du marketing hôtelier à Alger Les 3es journées du marketing hôtelier se tiendront les 16 et 17 novembre prochains à Alger sous le patronage du ministre de l’Aménagement du territoire, du Tourisme et de l’Artisanat. Le programme proposera aux décideurs les meilleures pratiques d’hôtellerie et les nombreux enjeux qui modifient les modes de communication, de gestion et d’interaction. Il sera question, à travers les communications des experts internationaux et nationaux, de savoir comment attirer l’attention des personnes, au moment où elles sont le plus réceptives à l’attrait d’une destination, de connaître la place des TIC dans le développement du tourisme et comment mieux positionner la destination Algérie sur les marchés mondiaux du tourisme. Selon les experts, on ne vend plus un produit ou un service mais une émotion. Cet événement annuel est organisé par RH International Communication. Abderrahmane Benkhelfa, grand mélomane Le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhelfa, a créé la surprise dans la soirée de jeudi dernier, au Théâtre régional de Constantine, en s’invitant au Festival international du malouf. Mais ce qui a encore plus surpris les présents a été la décision du ministre, qui était accompagné de son épouse, de «bouder» la loge d’honneur située à l’étage, réservée d’habitude aux invités de marque, et de descendre s’installer parmi le public, tout près de la scène, et sans aucun protocole. Une marque d’humilité que tous les Constantinois présents ont bien appréciée. Benkhelfa a aussi montré des qualités de grand mélomane et de fin connaisseur de la musique andalouse, dont il est un passionné. Tout le monde a remarqué qu’il répétait par cœur les partitions chantées par une troupe marocaine, invitée durant cette soirée. Très à l’aise, l’argentier du pays et son épouse ont même échangé des amabilités et des discussions avec leurs voisins dans les premières rangées du théâtre de Constantine, avant de quitter les lieux, juste avant la fin de la soirée, sous les applaudissements du public. L’enseignement de l’histoire a connu des «manipulations», selon Hassan Remaoun L’enseignement de l’histoire a connu des «manipulations» et des «dérapages» par le passé, déplore l’universitaire et historien, Hassan Remaoun, estimant néanmoins que cette situation se redresse «lentement» et «progressivement». «L’histoire est une source de connaissance méthodique de soi et des autres, pour s’enrichir, se comprendre et échanger. De ce point de vue, l’enseignement de l’histoire a pu connaître beaucoup de manipulations et de dérapages par le passé», soutient M. Remaoun, professeur à l’université d’Oran 2 et chercheur au Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc). A la question de savoir si cet enseignement, tel que dispensé depuis l’indépendance, était fidèle à la «vérité historique», le chercheur en histoire ajoute que «les enjeux de mémoire présents dans toute société ne tendent pas à remplacer une recherche historique fondée académiquement et dont les résultats peuvent ne pas plaire à tous les segments de la société». Reconnaissant également l’existence, toujours par le passé, d’un «manque flagrant de pédagogie et de professionnalisme, pas seulement à propos de l’enseignement de l’histoire», il relève que «les arrière-pensées politiciennes ou rétrogrades y sont en effet pour beaucoup» dans cet état de fait.
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