- Des citoyens mécontents du service de Seaal Après avoir épuisé toutes les voies pour résoudre leurs problèmes, des citoyens ont préféré faire part de leurs difficultés par voie de presse. Pour les uns, c’est le problème du raccordement de leur maison en eau potable, pour d’autres, c’est le branchement de leur local commercial à l’eau. Ils avaient payé la Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (Seaal) et l’APC de Cherchell, afin de bénéficier de l’alimentation en ce précieux liquide. L’autre fait encore plus grave, c’est lorsqu’une fuite d’eau se produit durant le week-end, il faut attendre la journée de dimanche pour que des mesures soient prises. C’est le déficit en sous-traitants qui semble à l’origine de tous ces problèmes, selon des interlocuteurs de Seaal. Les citoyens sont mécontents du service de l’entreprise. Le ministère des Ressources en eau a investi des dizaines de millions de centimes pour alerter les citoyens sur les dégâts des fuites en eau. Entre les discours et la réalité du terrain, le fossé ne cesse de se creuser. - La justice brésilienne autorise l’interrogatoire du président Temer La Cour suprême fédérale (STF) du Brésil a donné son feu vert, mardi, pour que le président Michel Temer puisse être interrogé dans le cadre des enquêtes pour corruption le visant et qui ont déclenché une tourmente politique dans le pays. Rapporteur de l’opération «Lavage-Express» au STF, le juge Edson Fachin a ordonné que l’interrogatoire soit «effectué par écrit», selon un communiqué de la plus haute juridiction du pays, précisant que M. Temer aura 24 heures pour répondre aux questions formulées par les enquêteurs. L’opération «Lavage-Express», lancée il y a trois ans, a révélé un vaste réseau de corruption orchestré par des entreprises du bâtiment pour truquer systématiquement les marchés publics, notamment ceux du géant pétrolier étatique Petrobras. Cette enquête tentaculaire a déjà mis des dizaines de chefs d’entreprise et politiciens de tous bords sous les verrous. Un an après avoir succédé à Dilma Rousseff (gauche), destituée pour maquillage des comptes publics, le mandat de Michel Temer ne tient pourtant qu’à un fil, depuis la révélation il y a deux semaines d’un enregistrement compromettant dans lequel il semble donner son accord pour acheter le silence d’un ex-député aujourd’hui en prison.
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