jeudi 23 novembre 2017

On vous le dit

Une employée de l’hôpital de Ténès en grève de la faim L’état de santé de la responsable du service des ressources humaines à l’hôpital Ahmed Bouras de Ténès, en grève de la faim depuis trois jours, s’est détérioré. La femme a été admise hier au service des urgences,selon des sources locales, qui déplorent l’absence d’intervention des responsables concernés pour mettre fin à cette situation dramatique. Selon le préavis de grève transmis le 19 novembre au directeur de l’EPH Ahmed Bouras de Ténès , la gréviste dénonce la décision prise par la direction de l’établissement de la décharger du poste de responsable des ressources humaines sans aucun motif valable. Elle qualifie cette décision de «représailles», suite à ses dénonciations de dilapidation de l’argent de l’hôpital et à sa demande adressée aux autorités concernées d’envoyer une commission d’enquête pour faire la lumière sur cette affaire . Accaparement de terrains à l’ombre des élections locales à Chlef De nouvelles constructions privées, apparemment incontrôlées, ont proliféré ces derniers temps au chef-lieu de wilaya de Chlef, particulièrement dans les cités périphériques. Des terrains censés être des espaces verts, ont été carrément clôturés et intégrés dans les habitations mitoyennes. Le phénomène, qui est visible un peu partout, s’est accentué à l’approche des élections locales, encouragé sans doute par la fin de mandat des élus locaux et la mobilisation des autorités pour l’organisation de ce rendez-vous électoral. Mais que font les services de l’Etat chargés de l’urbanisme pour dissuader les auteurs de telles infractions? Ces constructions sont-elles autorisées et par qui ? Autant de questions qui restent pour le moment sans réponse. Il faut signaler que les atteintes au foncier public ont tendance à devenir fréquentes durant les dernières semaines du mandat électoral. Un citoyen attaqué et mordu par des chiens errants à Ghardaïa L’attaque a eu lieu, de nuit, au niveau de la zone industrielle de Gar Ettâam, dans la commune de Bounoura, face au ksar de Beni Izguène, lorsque la victime, targuie d’origine et résidant avec sa famille dans une baraque de fortune, est sortie pour faire quelques achats de dernière minute dans une espèce de boutique fourre-tout, située à proximité. Il n’a pas fait cent mètres qu’il s’est fait attaquer par une meute de chiens errants, déboulant subitement de l’obscurité où ils étaient tapis et il n’a dû son salut qu’à l’intervention rapide et énergique de ses voisins gardiens, qui ont réussi à repousser, à coups de pierres, les quadrupèdes agresseurs. Le chef de daïra de Bounoura, les responsables de cette zone industrielle et ceux de l’APC de Bounoura, en étroite coopération avec les services de sécurité, sont interpellés à l’effet de prendre les mesures idoines avant que ne survienne l’irréparable.  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire