lundi 19 juin 2017

On vous le dit

Le maire de Tlemcen sous contrôle judiciaire Le président de l’APC de Tlemcen est placé sous contrôle judiciaire et est interdit de quitter le territoire national, a-t-on appris de la sûreté de wilaya de Tlemcen. Il est accusé de favoritisme, dilapidation des deniers publics et faux et usage de faux de documents officiels. L’enquête qui a été ouverte par les éléments de la police financière et économique de la sûreté de wilaya concernant l’octroi douteux par la commune de Tlemcen de 13 projets de développement local, d’une valeur budgétaire de plus 13 milliards de centimes, entre 2013 et 2014, a révélé l’attribution des marchés publics d’une façon obscur à des entreprises privées ayant des influences sur les autorités locales de la commune, notamment le président de l’APC. L’enquête a entraîné dans son sillage 20 autres personnes, des élus et des employés concernés par cette affaire, qui repose essentiellement sur la dilapidation des deniers publics, octroi des marchés non conforme à la réglementation en vigueur, abus de pouvoir et faux et usage de faux de documents officiels.   Deux migrants africains arrêtés à Chlef pour transfert illicite d’argent Deux migrants africains, un homme et une femme, ont été récemment arrêtés par les éléments de la brigade économique et financière de la PJ de la sûreté de wilaya de Chlef en possession d’une importante somme d’argent destinée à être transférée vers leur pays par des moyens illégaux . Ils appartiennent, selon la police, à un réseau national de collecte et de transfert d’argent recueilli auprès de leurs ressortissants qui mendient dans les rues algériennes . Ils ont été appréhendés à Chlef en possession d’une somme de 4 120 000 DA (412 millions de centimes) qu’ils s’apprêtaient à convertir en devises. Les mis en cause, qui exploitaient la misère de leurs compatriotes, ont été présentés au magistrat du tribunal de Chlef , Hocine Necib demandé à Sétif Le ministre des Ressources en eau et de l’Environnement , Hocine Necib, est invité par de nombreux citoyens de Sétif à faire un tour dans les différents quartiers de la capitale des Hauts-Plateaux pour constater les dégâts occasionnés au réseau routier, transformé en un véritable bourbier par l’entreprise chargée de la rénovation de l’adduction de l’eau potable. Devant toucher un linaire de 130 km pour un montant de plus de 2 milliards de dinars (plus de 200 milliards de centimes), l’opération, qui n’a pourtant pas dépassé les 30%, est un fiasco. En plus du travail bâclé et inachevé, l’entreprise, qui jouit, paraît-il d’un «appui» en haut lieu, n’a pas jugé utile de remettre en l’état la chaussée défoncée. Forte d’un «soutien» invisible, l’entreprise défaillante n’a pas, nous dit-on, tenu compte des mises en demeure des autorités locales. L’Algérienne des eaux —maître de l’ouvrage qui, nous avait-on dit, a promis de remettre de l’ordre dans ce marécage empoisonnant la vie à une grande partie de la population sétifienne — a failli, elle aussi…

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