Un brûlé ne trouve pas où se soigner ! La négligence dans le milieu hospitalier a encore de beaux jours devant elle en Algérie. Cette fois-ci, c’est le jeune Meftah Walid, 28 ans, habitant la wilaya de Laghouat, qui en paye les fâcheuses conséquences. Hospitalisé depuis plus d’un mois à l’hôpital Ahmed Benadjila de Laghouat, après avoir été grièvement brûlé, et vu l’absence d’un service des brûlés dans cette wilaya, Meftah n’a pas reçu de soins adéquats. Sa santé se dégrade de jour en jour, ce qui a poussé les responsables de l’hôpital de Laghouat à contacter l’hôpital de Douéra (Alger) pour son hospitalisation. Mais il a été refusé faute de places. Cette situation a suscité une prompte réaction du mouvement associatif, qui a organisé, vendredi dernier, une protestation devant l’hôpital de Laghouat pour demander l’intervention du wali afin d’intervenir et aider la victime à bénéficier d’une prise en charge d’urgence au service des brûlés de l’hôpital de Douéra. «Meftah Walid est en train de mourir devant nous et devant le silence des responsables qui doivent assumer leurs responsabilités», lancent des protestataires. La police et les nouvelles technologies Durant la saison estivale 2017, les policiers de la wilaya de Blida ont eu à traiter 1040 affaires, dont 18 liées à la cybercriminalité, 135 la détention et la commercialisation de stupéfiants, 231 pour des crimes et délits contre les biens, 492 pour crimes contre les personnes, 32 cas d’atteinte aux mœurs, 53 cas de crimes et délits économiques, 53 affaires relatives au port d’armes blanches, 24 affaires de coups et blessures et 02 touchant à la protection du patrimoine ( les objets d’art et l’archéologie). Lors d’un point de presse tenu récemment par le chef de la sûreté de wilaya, le contrôleur Chakour Mohamed a précisé que ses services maîtrisent de plus en plus les nouvelles technologies de recherche, notamment l’internet et la télésurveillance, qui ont permis d’aider les policiers à mener des recherches rapides et efficaces. Il cite l’exemple d’une jeune fille de 16 ans, entraînée par des jeunes vers la débauche hors wilaya. Elle a été sauvée à temps et localisée en un court laps de temps grâce à une méthode utilisant l’internet et le téléphone portable. Inscriptions au doctorat à Blida 1 La date des épreuves de concours de formations doctorales offertes par l’université Sâad Dahleb, toutes spécialités confondues, au titre de l’année universitaire 2017/2018, est fixée au 7 novembre prochain à partir de 13 heures. Les spécialités ouvertes au titre de cette année universitaire sont la mécanique (6 postes), les énergies renouvelables (6 postes), les sciences et le génie de l’environnement (6 postes), la biotechnologie (8 postes), les sciences et les technologies alimentaires (6 postes), l’architecture (5 postes), la physique (4 postes), l’automatique (3 postes), le génie biomédical (4 postes) et l’agronomie (8 postes). Les offres en résidanat des sciences médicales, en cours de validation, selon la représentante de la faculté de médecine de Blida, tournent entre 150 et 200 postes de résidanat en médecine, entre 30 et 40 postes en médecine dentaire, 15 postes en pharmacie et 5 postes en spécialités mixtes (médecines et pharmaceutiques). Les inscriptions au concours de doctorat se font par dépôt des dossiers à l’université. Les corps des deux filles emportées par les eaux retrouvés Les éléments de la Protection civile, en collaboration avec les services de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Djelfa, ont retrouvé dans la nuit de vendredi à samedi les cadavres des deux filles qui avaient été emportées par les eaux à El Mdjabra (25 km de la wilaya), selon le responsable de la cellule de communication de la Protection civile . «Le cadavre de la mère des deux filles (32 ans) a été retrouvé vendredi emporté par les eaux à H’naniche» a précisé la même source, qui a jouté que «les recherches se sont poursuivies afin de retrouver les deux filles». Le cadavre de la première fille (18 mois) a été retrouvé à 22h, tandis que le corps sans vie de la deuxième victime a été retrouvé dimanche matin. Selon les premières informations, la mère et ses deux filles se promenaient lorsqu’elles ont été surprises par des eaux torrentielles.
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