dimanche 29 janvier 2017

On vous le dit

11 morts et 31 blessés sur les routes en 48 heures Onze personnes ont perdu la vie et 31 autres blessées dans 13 accidents de la circulation survenus au cours des dernières 48 heures à travers le territoire national, indique la Protection civile dans un communiqué rendu public hier. La wilaya de M’sila déplore le bilan le plus lourd avec 3 décès, suite à 3 accidents de la route. Par ailleurs, deux personnes sont décédées, asphyxiées par l’inhalation de monoxyde de carbone émanant d’un appareil de chauffage, une dans la wilaya de Médéa et l’autre à Tlemcen. Les secours de la Protection civile sont en outre intervenus pour prodiguer les soins de première urgence à 41 personnes incommodées par le monoxyde de carbone émanant d’appareils de chauffage et chauffe-bains dans les wilayas de Tiaret, Bordj Bou Arréridj, Sidi Bel Abbès, Alger, Djelfa, Aïn Defla, El Oued et Médéa. Blida et le «Made in Algeria» Dans le but de promouvoir le produit algérien, la page facebook «Blida Services» a sollicité ses membres pour qu’ils citent les produits Made in Algeria qui les rendent fiers. Dans les commentaires, des membres ont défendu leurs choix, en citant les noms d’entreprises algériennes qui proposent des produits de qualité, selon eux. Dernièrement, la page en question avait affiché les résultats, en se basant sur les commentaires. «Le but de cette initiative est de promouvoir le produit local. On essaye de faire ancrer dans les mentalités le patriotisme en matière de consommation, et ce, afin de favoriser la création de richesse et d’emplois, notamment pour faire face à la crise», précise l’administrateur de Blida Services. Les entreprises les mieux classées sont : Venus Sapeco, Hamoud Boualem, Bimo, Condor, Force Express, Cevital, Soummam, Sonacom, Sim, Orangina, Eniem, Rouiba, Caprice, Aigle et Saidal. Le Japon a accueilli un million de travailleurs étrangers en 2016 Le Japon a accueilli un million de travailleurs étrangers en 2016, a annoncé vendredi le gouvernement, alors que le pays est confronté à une population vieillissante et à un manque de main- d’œuvre. Près de 1,08 million d’étrangers travaillaient dans l’archipel à fin octobre, un chiffre en hausse de 19,4% sur un an et un record, a indiqué le ministère du Travail. Ce sont en priorité des Chinois (345 000 personnes, en hausse de 6,9% sur un an), devant les Vietnamiens (172 000, un bond de 56,4%) et les Philippins (128 000, en progression de 19,7%). Le ministère a précisé que cette progression reflète essentiellement une arrivée plus importante d’étudiants étrangers et de travailleurs très qualifiés. Le Japon a peu fait jusqu’à présent pour assouplir ses règles concernant les travailleurs étrangers, très strictes, malgré des appels en ce sens depuis des années. Mais le Premier ministre, Shinzo Abe, a annoncé qu’il compte réformer la législation, en particulier pour répondre aux besoins du secteur de la construction avant les Jeux olympiques de 2020. Le gouvernement a aussi révisé les lois migratoires pour accueillir plus d’infirmiers et de soignants dans le secteur de la santé. Alors que la population vieillit à une vitesse jugée inquiétante par les pouvoirs publics, le Japon reste très réticent à l’accueil en masse d’étrangers. Ceux-ci ne totalisent que 1,75 million des habitants du Japon, soit 1,38% de la population. Faute de place, Mounia souffre en silence ... Evacuée en urgence aux UMC de l’hôpital de Boufarik le 18 janvier à 14h, la jeune Mounia, âgée de 13 ans, a eu une fracture diaphysaire avec déplacement du fémur, après avoir heurté violemment un portail en fer dans le domicile familial. Ziat Mounia, cette collégienne de 13 ans, souffre le martyre depuis son admission où elle a reçu les soins nécessaires pour son cas, sachant qu’il n’existe aucun pôle de garde en chirurgie infantile, alors on l’a évacuée en urgence vers l’hôpital Ben Boulaïd, mais c’est à partir de cet instant que le calvaire de Mounia a commencé, car on a refusé son admission faute de place ! Depuis le 18 janvier, Mounia est clouée sur un lit aux urgences de l’hôpital de Boufarik en attendant des jours meilleurs. Les larmes aux yeux, son père nous confie : «Ma fille souffre, toute la famille souffre, pourquoi ? Cela fait déjà 5 jours que ma fille est là, on l’a évacuée plus de 7 fois sur Ben Boulaïd et on la refuse à chaque fois, faute de place . Pourquoi ? Pourquoi elle ?» La jeune Mounia et sa famille souffrent en silence dans l’une des chambres d’observation des urgences de l’hôpital de Boufarik. Alors où sont les responsables  ? Est-ce que le DSP est au courant de cet acte ? Beaucoup de questions peuvent être posées. «Je lance un appel pressant à tout un chacun pour trouver une solution à ma fille qui souffre», finit par dire le père, en sanglots.

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