mercredi 1 février 2017

Retour de l’informel dans les villes : échec avéré ou un laisser-aller latent ?

L’informel est de retour un peu partout dans les communes a constaté le reporter de la radio Chaine 3, Hcène Chemache, qui a enquêté au cœur d’Alger où les trottoirs sont réinvestis. Des cités sont squattées et pas uniquement par des étals de fruits et légumes. Familles et commerçant, qui payent leurs impôts, s’en plaignent vainement, hélas !   A la capitale, à titre d’exemple, comme à Khelifa Boukhalfa, non loin de marchés couverts la vente de vivres est mêlée aux effets vestimentaires et cosmétiques. A Bach Djarrah, où les grands les premiers bazars d’Alger ont vu le jour,  tables d’or et armes blanches font bon ménage au su et au vu de tous. En 2012, l’Etat s’en est pris au phénomène, devenu national, et déployé d’énormes efforts pour l’éradication de ces activités parallèles. Des compagnes d’interdiction de ventes au noir et à la sauvette fussent orchestrées partout à travers la République à coups de force publique. Il a fallu une année d’efforts additionnels pour en arriver à libérer quartiers et cités du joug de l’informel et redonner à nos villes leurs blasons d’or. Mais, 4 ans plus tard, le constat de ce retour à l’ombre d’un laxisme qui ne dit pas son nom semble montrer un échec frappant ou un laisser aller étouffant. Comment en finir avec, une fois pour toute ? Hcène Chemache a posé la question aux concernés. Les réponses sont plausibles mais dans la pratique les faits ne suivent pas.  Reportage. 


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