Des logements pour les «riches» à Blida Au moment où le nombre de personnes en quête d’un toit décent ne cesse de croître de jour en jour, des bénéficiaires de logements sociaux, sans doute pas dans le besoin, se permettent de sous-louer leur logement ou carrément de les fermer ! Dans la wilaya de Blida, ce ne sont pas les exemples qui manquent, mettant en doute l’objectivité des commissions chargées d’étudier les cas des nécessiteux. A la cité des 750 Logements de Sidi El Madani (commune de La Chiffa), plusieurs appartements distribués il y a plus de six ans restent toujours fermés. Des résidents dans la cité en question attestent que rien qu’au niveau du bloc A5, trois appartements sont vides, alors qu’ils ont officiellement leurs locataires. Il s’agit, selon des riverains, des appartements portant les numéros 09, 01 et 13.«Les soi-disant locataires viennent très rarement voir leur appartement pour changer d’air !», ironise un riverain. Sonatrach tarde a régulariser 6000 retraités Les retraités de Sonatrach pensaient que l’arrivée du nouveau PDG, Abdelmoumen Ould Kaddour, était consideré comme un espoir pour régulariser leur situation vis-à-vis de la Mutuelle de l’industrie du pétrole (MIP), Mais voilà que rien n’y fit, dans la mesure où 6000 retraités attendent depuis plus d’une année leur pension complémentaire de retraite (PCR). Au niveau de la MIP de Chéraga, on entend toujours le même discours, «on n’a pas d’argent, allez voir avec Sonatrach pour débloquer la situation. La MIP n’est pas à l origine du gel de la PCR>>, nous a affirmé un groupe de retraités, qui s’est présenté au journal. Les retraités ne croient pas à la thèse selon laquelle les caisses de Sonatrach sont vides. <<Il y en a marre d’entendre des discours populistes et démagogiques à longueur d’année. On ne demande pas l’aumône, ni l’augmentation, mais nos droits>>, soutient un vieux dépassant la soixantaine. La Protection civile appelle les citoyens à la prudence La Protection civile a appelé les citoyens, en prévision de l’Aïd El Adha, à faire preuve de prudence, eu égard aux innombrables cas d’accidents de blessures, de brûlures et d’incendies, dont sont victimes de nombreuses personnes chaque année. Elle a appelé, également, à la prudence dans la manipulation des couteaux, haches et tabounate, entres autres. La Protection civile recommande de respecter les normes de sécurité concernant l’utilisation de ces outils, «en les plaçant en premier lieu hors de portée des enfants, de ne jamais laisser les objets tranchants comme les couteaux et les haches à même le sol et de les conserver dans leur étui». Parmi les consignes de sécurité à suivre, «ne jamais utiliser une meuleuse pour affûter et affiler les couteaux en présence d’enfants, en raison du risque de projection d’éclats, et de bien entreposer les chalumeaux, tabounas, allumettes et briquets, en veillant à les garder hors de la portée des enfants». Il s’agit, également, «de vérifier la conformité du tuyau et du détendeur de gaz utilisés pour relier la bouteille de gaz butane à la tabouna et de ne jamais laisser les chalumeaux et les tabounas allumés, sans surveillance».
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