samedi 28 mai 2016

On vous le dit

Le corps d’une fillette repêché d’un puits à Chlef Le corps sans vie d’une fillette de 5 ans a été repêché, avant-hier, d’un puits d’une habitation à El Karimia, au sud-est de Chlef. Selon certaines sources, l’enfant aurait fait une chute dans ce puits de 13 mètres de profondeur.Alertés par des proches, les éléments de la Protection civile se sont immédiatement rendus sur les lieux pour  y retirer le corps. Une enquête a été ouverte par les services de sécurité.  A signaler que ce drame est le troisième du genre enregistré dans la wilaya depuis le début de l’année en cours, où  un mineur et un adolescent sont morts noyés dans des points d’eau. A l’approche de l’été, les services de la Protection civile invitent les citoyens, notamment les parents d’enfants, à la plus grande vigilance. Encore 7 morts et 10 blessés dans une collision entre un bus et un camion à In Salah Encore une hécatombe routière sur la RN1. Un grave accident de la circulation s’est produit, hier, à 120 km au nord d’In Salah, faisant 7 morts et 10 blessés, dont 4 ressortissants subsahariens. Selon une source auprès du groupement de gendarmerie de Tamanrasset, le drame est survenu à 2h30, suite à une collision frontale entre un bus de transport de voyageurs de marque Higer, assurant la liaison Ouargla-Tamanrasset, et un camion de gros tonnage. La cause de cet accident est, selon les premiers éléments de l’enquête, imputée au conducteur du bus qui roulait à vive allure, avant d’être surpris par un chameau traversant la route. En essayant de l’éviter, le chauffeur aurait fait une fausse manœuvre avant de percuter le poids lourd, un Isuzi immatriculé dans la wilaya de Blida, qui roulait en sens opposé. Aussitôt alertés, les éléments de la Protection civil de l’unité de Tiguentourine, 150 km d’In Salah, sont intervenus. Le wali délégué d’In Salah, Seddas Lakhdar, s’est également déplacé sur les lieux de l’accident pour veiller à la prise en charge des passagers en vie et s’assurer de l’accomplissement des  formalités liées au transfert des victimes. Les blessés  ont été ainsi transportés à l’établissement public hospitalier d’In Salah où ils sont placés en observation médicale, tandis que les dépouilles mortelles étaient déposées à la morgue du même hôpital. Il s’agit de Fatouh Sabri (25 ans), Abaoub Mohammed Sayeh (23 ans), Hadj Otmane Mohamed (27 ans), Mansour Amara (26 ans), Bassaïd Elaïd (24 ans), Zaid Abdelmalek ( 41 ans) et Hamadi Mohamed El Aïd (23 ans).   Le chauffeur de Mandela parmi les premiers bénéficiaires de son héritage Le chauffeur de Nelson Mandela, sa secrétaire personnelle et plusieurs écoles chères au cœur de l’ancien Président sud-africain ont reçu, hier, leur part de l’héritage du prix Nobel de la paix, conformément à ses dernières volontés de Mandela, deux ans après sa mort. Au total, Mandela a laissé une somme de de 22 millions de rands (1,2 million d’euros), dont certains bénéficiaires, non membres de sa famille, ont touché leur part lors d’une cérémonie symbolique à Johannesburg. L’héritage de Nelson Mandela a donné lieu à de très fortes tensions, et sa maison de Qunu, dans la province du Cap-Oriental (sud), est toujours l’objet d’une bataille judiciaire engagée par son ex-épouse, Winnie Madikizela-Mandela. Hier, l’ancien chauffeur de Nelson Mandela, Mike Maponya, qui a travaillé pour lui pendant 23 ans, a reçu un chèque de 50 000 rands (2 800 euros ou 3 200 dollars). Il s’est dit «profondément peiné et heureux» de ce legs. «C’est typique de la gentillesse et de la générosité de Madiba», a-t-il estimé, en faisant référence au nom de clan de Mandela affectueusement repris par la plupart des Sud-Africains. «Je ne suis pas surpris qu’il ait laissé quelque chose à tant d’entre nous. Peu de gens auraient fait ça», a-t-il encore ajouté. La secrétaire de Nelson Mandela, Zelda la Grange, qui n’était pas présente vendredi, a aussi reçu 50 000 rands. Parmi les autres bénéficiaires, qui ont reçu leur chèque vendredi, figurent l’université sud-africaine de Fort Hare, où Mandela a étudié, l’école primaire de Qunu, sa première école, et le lycée Orlando West, dans le towsnhip de Soweto où il a vécu.  

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