jeudi 27 juillet 2017

Rezzag Bara accompagné à sa dernière demeure

Décédé mardi suite à un grave malaise, Kamel Rezzag Bara été inhumé hier, au cimetière El Alia, en présence de plusieurs membres du gouvernement, de hauts responsables civils et militaires et de personnalités publiques. Parmi ceux qui ont pris part aux obsèques, il y a en première ligne le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Saïd Bouhadja, le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, et le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci. Etaient également présents à l’enterrement le ministre d’Etat, le directeur de cabinet à la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, le ministre d’Etat, conseiller spécial du président de la République, Tayeb Belaïz, le conseiller auprès de la présidence de la République, Saïd Bouteflika, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, ainsi que des membres du gouvernement, le commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Menad Nouba, le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, le secrétaire général de l’Organisation nationale des moudjahidine (ONM), Saïd Abadou, des chefs de parti politique, des représentants de la société civile, d’anciens ministres, la famille du défunt, ainsi que de nombreux citoyens. Dans une déclaration à la presse telle que rapportée par l’agence officielle APS, le ministre de la Culture, Azeddine Mihoubi, a mis en exergue les qualités du défunt, soulignant qu’il était connu pour «sa profondeur d’analyse et sa culture riche et diversifiée» et qu’il défendait les intérêts de l’Algérie concernant des questions sensibles, à l’instar de la lutte antiterroriste. Né en janvier 1948 à Aïn Beïda, dans la wilaya d’Oum El Bouagui, le défunt, avocat de formation, a occupé plusieurs fonctions et responsabilités au sein des institutions de l’Etat, dont notamment celles de président de l’Observatoire national des droits de l’homme (ONDH-1992) et de conseiller des droits de l’homme auprès de l’ex-président de la République, Liamine Zeroual.

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