jeudi 17 août 2017

On vous le dit

Un citoyen privé de son passeport à cause du NIN à Oran Un citoyen de Aïn El Turck (Oran) désespère d’avoir son passeront biométrique depuis plus deux ans, en raison d’une erreur administrative, le dossier ayant été déposé le 30 septembre 2015. Après une longue attente, les services de la daïra expliquent à B. Abdelkader que son numéro d’identification national (NIN) a été attribué à un autre, dénommé Salah A., natif de la même commune et résidant à la cité Djamel Eddine (Oran). Dans un recours envoyé au ministre de l’Intérieur, dont El Watan détient une copie, le citoyen informe s’être adressé à toutes les autorités de la wilaya pour corriger l’erreur (procureur de la République, wali d’Oran), mais sans résultat. Selon le plaignant, le chef de la daïra a refusé de le recevoir, le privant ainsi d’un droit garanti par la loi au profit du citoyen algérien, à savoir l’obtention d’un passeport, pour lui permettre de voyager, et, précise-t-il, accomplir le hadj et la omra. Le citoyen réclame l’intervention du ministre de l’Intérieur pour instruire les services chargés de la délivrance du passeport de corriger l’erreur et lui permettre ainsi d’obtenir son document.   Un cadre de la santé condamné pour corruption à Tiaret Le tribunal pénal de Tiaret a condamné en audience publique K. B., un cadre de l’EPSP Tiaret (établissement public de soins de proximité) âgé de 60 ans à une année de prison assortie d’un sursis, car reconnu coupable de corruption par les enquêteurs qui agissaient sur ordre du procureur après une plainte déposée par un fournisseur en produits pharmaceutiques. La victime, à qui il a été exigé 3000 DA en contrepartie de la délivrance de sa situation financière, avait filmé la scène avant de remettre la rançon exigée et avertir les services de sécurité. Le mis en cause, chef de service et préparateur en pharmacie de son état, allait déposer son dossier de retraite. Des sources informées font savoir que le cadre incriminé va aussi passer en conseil de discipline. Une chasse au trésor se termine mal en Arabie Saoudite   Des adeptes de la chasse au trésor risquent la prison en Arabie Saoudite, où les autorités ont arrêté trois hommes qui avaient entrepris des fouilles sur des sites archéologiques à la suite de rumeurs, ont rapporté hier des médias. La commission pour le tourisme et le patrimoine national a déclaré hier avoir déféré devant le parquet trois citoyens saoudiens, qui s’étaient lancés dans des recherches après la diffusion en ligne d’«informations erronées sur un trésor caché». La commission a mis en garde contre le phénomène des fouilles, «basé sur de fausses informations et qui endommagerait des sites archéologiques». Selon des journaux proches du gouvernement saoudien, les trois hommes risquent des peines de 1 mois à 1 an de prison.

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