mercredi 23 août 2017

On vous le dit

Un lycée et une polyclinique baptisés des noms de chouhada à Birtouta Un établissement scolaire et une structure sanitaire ont été baptisés dimanche à Birtouta des noms de chouhada à l’occasion des festivités officielles commémorant la Journée nationale du moudjahid. Il s’agit du lycée de la commune de Birtouta, baptisé du nom du chahid Ahmed Serrir, et de la polyclinique sise à la rue Bouhadja Ali, baptisée du nom du chahid Tahar Telidjane. La cérémonie organisée à cet effet a été marquée par la présence du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh. Le secrétaire général de la wilaya d’Alger, Ben Omar Mohamed, a indiqué dans une allocution que cette halte était l’occasion de faire connaître à la nouvelle génération deux événements phares de la Guerre de Libération, en l’occurrence l’offensive du Nord-Constantinois, du 20 Août 1955, dirigée par le chahid Zighoud Youcef, et le Congrès de la Soummam, le 20 Août 1956. Un grand défilé a été organisé dans la rue principale de Birtouta, avec comme point d’orgue l’exhibition d’anciens véhicules militaires et de motocyclettes.   18 mois de prison ferme pour un salut nazi au stade en Autriche   Un supporter du Rapid Vienne a été condamné à 18 mois de prison ferme pour avoir fait le salut nazi en tribune lors d’un match de foot dans la capitale autrichienne, a rapporté, hier, la presse autrichienne. L’homme, un «ultra» âgé de 39 ans, avait été immédiatement frappé par une interdiction de stade à la suite des faits, qui s’étaient déroulés le 13 août 2016, lors d’une rencontre de première division opposant le Rapid à Mödling. Le supporter, qui arbore un tatouage portant le chiffre «88», un code signifiant «Heil Hitler», avait déjà été condamné en 2013 pour avoir souhaité sur Facebook un «bon anniversaire» à Hitler, hymne du parti nazi NSDAP à l’appui. A l’audience, à Vienne, lundi, il a toutefois nié avoir voulu faire un geste politique lors du match, ce qui n’a pas convaincu les jurés, selon la presse autrichienne.   L’architecte, le juriste et l’expertise internationale Les conflits autour du foncier ne cessent de prendre de l’ampleur, notamment auprès des instances judiciaires. Cela se passe au moment où les spécialistes experts dans le domaine du foncier et de l’évaluation immobilière sont rares. Afin de répondre aux besoins urgents exprimés notamment par les administrations et les tribunaux, l’Institut des sciences expertales d’Alger lance, pour la rentrée, une formation d’expert international en foncier et évaluation immobilière. Cette formation est proposée en partenariat avec l’Ordre des experts internationaux, dont le siège est à Genève (Suisse). Elle s’adresse notamment aux juristes, ingénieurs ou architectes. «Notre diplôme est mondialement reconnu, puisqu’il est délivré par l’Ordre des experts internationaux. Les cours sont assurés 4 jours/mois, et ce, afin de donner leur chance aux salariés de poursuivre notre formation qui dure 9 mois», assure M. Boumaâza, cofondateur de l’institut en question. Pour s’inscrire, contacter le 0771 11 41 22, ou envoyer votre demande sur l’E-mail suivant : ise.consultingetformation@hotmail.com   Le mur de glace souterrain de 1,5 km bientôt à Fukushima L’opérateur de la centrale accidentée de Fukushima (nord-est du Japon) a commencé hier de geler le dernier tronçon d’un mur de glace souterrain de 1,5 km destiné à empêcher la contamination radioactive des flux d’eau. L’opération consiste à couler un réfrigérant sur une profondeur de 30 mètres, dans des tuyaux placés à la verticale autour de quatre des six réacteurs du site, les plus endommagés de la centrale mise en péril le 11 mars 2011 par un gigantesque tsunami. Il s’agit d’éviter que l’eau souterraine venant de la montagne et descendant vers la mer ne coule dans les sous-sols des réacteurs, où elle est contaminée par les débris radioactifs. D’après Tokyo Electric Power (Tepco), il reste 7 mètres non gelés. Le chantier avait débuté en mars 2016, mais avait été suspendu, dans l’attente d’autres dispositions, afin de faire face à un éventuel afflux trop important d’eau (en cas de très fortes pluies par exemple) qui n’aurait pas eu d’échappatoire. Les mesures ayant été prises, l’Autorité de régulation nucléaire a donné son accord pour achever les travaux. Auparavant, jusqu’à 400 tonnes d’eau passaient chaque jour à travers les installations, une quantité réduite à 140 tonnes actuellement et qui devrait descendre sous les 100 tonnes une fois les derniers mètres gelés.

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