Les textes organisant l’activité de bijouterie traditionnelle en Algérie doivent être «actualisés», ont estimé hier des artisans participant à une journée d’information sur l’imposition de cette activité, organisée au Centre culturel islamique de Batna. Le cadre juridique actuel «freine l’essor de cette activité qui a connu, ces dernières années, un net développement», ont-ils estimé durant cette rencontre initiée par la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) avec le concours de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (Onudi) et la direction des Impôts. La coordinatrice des projets de l’Onudi en Algérie, Meriem Torki, a souligné l’importance de cette rencontre d’information autour du système fiscal qui constitue une «dimension vitale dans la mise sur pied du projet de cluster des bijoutiers de la wilaya de Batna dans le cadre du programme de l’Onudi pour les pays du sud de la Méditerranée». Les mesures fiscales simplifiées contenues dans la loi de finances 2016 et le régime d’imposition en vigueur ont été exposés à l’occasion de cette rencontre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire