jeudi 14 juillet 2016

On vous le dit

Nomination d’un DG du développement durable Abdelkader Ouali, ministre des Ressources en eau et de l’Environnement, a procédé, lundi dernier, à l’installation de Taher Tolba, en qualité de directeur général de l’environnement et du développement durable. Lors de la cérémonie d’installation, le ministre a donné des directives au nouveau directeur général, afin de redynamiser le secteur dans toutes ses dimensions, par le biais de l’élaboration et de la mise en œuvre à très court terme d’un plan d’action à la hauteur des enjeux du secteur sur le plan national et international. Cette nomination devrait insuffler une nouvelle dynamique au secteur de l’environnement. Campagne de don de sang de la police à Tizi Ouzou Dans le cadre du lancement de la deuxième phase de la campagne de don de sang, initiée par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), la sûreté de wilaya de Tizi Ouzou, en collaboration avec le CHU Nedir Mohamed, a organisé, mardi au niveau du siège de la sûreté de wilaya, une opération de collecte de sang. A noter, que les sûretés de daïra sont également concernées par cette action humanitaire qui vise à contribuer à sauver des vies humaines. La République narguée à Sétif Dans le but de régulariser la situation administrative d’un «logement» rural à Guedjal (chef-lieu de daïra situé à 15 km de Aïn Fouara), Marouane B. demande le 10 novembre 2013 l’intervention des autorités locales qui ne restent pas de marbre. Le wali de Sétif instruit le P/APC de Guedjal usant de divers subterfuges pour imposer un «veto» ne disant pas son nom. Le niet du «chef» de Guedjal ne décourage pas pour autant le demandeur. Conforté par deux nouvelles correspondances de la wilaya (la 388 du 12 avril 2015 et la 826 du 10 novembre 2015) celui-ci revient à la charge. Malheureusement, les instructions de la tutelle sont une nouvelle fois narguées par le «shérif» de la localité précitée. Fort d’une impunité, l’homme de Guedjal réserve le même sort à la correspondance transmise le 20 juin 2016 par le chef de daïra, ne faisant pas apparemment le poids devant Superman. Les coupures d’eau reprennent à Blida… Les habitants de plusieurs quartiers du sud de la ville de Blida, Hamleli, Mimeche, Rmel et Sanaoubar, souffrent depuis quelques jours de coupures d’eau et d’électricité. «Nos quartiers sont abandonnés, oubliés. Chaque mois ou presque, il y a des coupures d’eau en raison de pannes récurrentes. A chaque fois, il faut attendre plus d’une semaine pour que les services techniques de l’ADE viennent réparer la panne. Un mois après, la même panne est détectée dans les conduites. Il faut qu’on nous explique ce qui se passe», proteste un représentant des habitants. Selon lui, les services techniques de la rue Ibn Badis disent que c’est une question de manque de pièces. «Mais à chaque fois c’est le même problème. Cela dure depuis au moins deux ans. Ce n’est pas normal», dit-il. Il a indiqué que ces mêmes quartiers connaissent depuis le début de l’été des pannes d’électricité liées, semble-t-il, à l’état désastreux du réseau. «Qu’il fasse chaud ou froid, qu’il pleuve, qu’il vente ou pas, les coupures électriques touchent nos quartiers. Il faut trouver une solution à cette situation», relève-t-il. …Protestation à l’Urbab Hier en début d’après-midi, un jeune topographe n’a pas trouvé mieux pour contester son licenciement de l’Urbab de Blida, bureau d’études public, que de monter sur la terrasse de cette entreprise et de menacer de se suicider. Le jeune trentenaire, ayant à son actif trois ans d’expérience au sein de l’Urbab, est même allé jusqu’à enlever ses vêtements en plein public. Les éléments de la police et de la Protection civile ont tout fait pour éviter le pire. Mais la scène choquante a duré presque une heure. Il a fallu la venue du père du protestataire pour que ce dernier décide de descendre avant qu’il ne soit conduit par les policiers au commissariat. «Il y a trop de hogra au sein de l’Urbab. Des salariés sont abusivement licenciés et remplacés par leurs connaissances. Moi-même, j’ai été victime d’un licenciement après deux ans de travail dans cette société. Il y a une mafia à l’Urbab et on demande une enquête», insiste Abassi Smaïl, ancien peintre à l’Urbab, père de cinq enfants.  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire