mercredi 5 juillet 2017

Djamel Azzizi. Réalisateur

«Faire des films historiques, obéit à la version officielle. Elle est même dictée et édictée par de la Présidence. Il y a des non-dits pour falsifier. Montrer Ben Badis tel un ‘‘prophète’’… Une image angélique. C’est de la propagande. Un être humain intouchable. Montrer une image parfaite dans une fiction. J’adhère à ce qu’a dit Mme Djamila Bouhired… Au nom de l’histoire, on prend l’argent des autres pour des impostures…Mais des films sur l’histoire, il en faut. Il faut encourager les jeunes cinéastes comme Karim Moussaoui…Le film historique peut avoir une place et de choix.»

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