mercredi 5 juillet 2017

Lotfi Bouchouchi. Cinéaste

«Réaliser un film sur une figure, un personnage de la Révolution de Novembre 1954 ou sur la lutte anticoloniale n’est pas évident. Car certains sont encore vivants. Et les protagonistes aussi. Et puis l’aval, la condition sine qua non pour le faire. Déposer le projet au ministère de la Culture, mais l’approbation émane du comité de lecture du ministère des Moudjahidine. Une validation portant sur la véracité des faits du scénario… Un héros peut pleurer. Ce n’est pas un intouchable. Je trouve que tous les films algériens historiques sont didactiques. Sans dramaturgie ni émotion.»  

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