Un Algérien tué dans une fusillade à Marseille Un homme, Naïm Fetimi, âgé de 26 ans, originaire de la wilaya de Khenchela, a été tué avant-hier soir vers 19h30 de 3 balles de calibre 9 mm, dans un café situé dans le 15e arrondissement de Marseille, d’après des informations qui circulaient dans plusieurs médias français. Le représentant du parquet de Marseille a indiqué qu’«un véhicule avec deux hommes à bord s’est garé devant un café du 15e arrondissement de Marseille, l’un d’eux, encagoulé, a ensuite pénétré dans l’établissement et ouvert le feu». Il ajoute que «l’homme est mort à l’arrivée des marins pompiers, il a reçu deux balles dans le thorax et une dans la nuque. Les deux autres victimes, de 23 et 39 ans, ont été hospitalisées, mais leurs jours ne sont pas en danger». La même source a précisé que «les premières constatations peuvent laisser penser qu’il s’agit d’un règlement de comptes», La victime «sera inhumée au cimetière de sa ville natale à Chechar dans les jours qui viennent», à 50 km du chef-lieu de la wilaya de Khenchela, confirme une source proche de sa famille. Pas de communication à la direction de l’éducation Apparemment, la communication et la direction de l’éducation de la wilaya de Blida, ça fait deux ! Et pour cause, la grève déclenchée par des enseignants affiliés au Cnapeste depuis un mois, dans cette wilaya, n’a pas poussé cette direction à communiquer sur ce mouvement, et à expliquer à l’opinion publique, surtout les parents d’élèves, ce qui se passe dans le secteur de l’éducation. Et dire que les portes de l’Académie sont hermétiquement fermées pour les enseignants, pour les parents d’élèves et même pour les journalistes. La situation est grave, d’autant que plusieurs élèves, notamment de terminale, n’ont pas fait de compositions au premier trimestre, ce qui risque de se répercuter sur leur scolarité, et du coup, sur l’examen décisif du bac. Mais, une fois n’est pas coutume, la directrice de l’éducation a décidé d’organiser une conférence de presse lundi dernier, soit un mois après le début de la grève, pour minimiser son ampleur ! Pendant ce temps-là, la grève risque de se généraliser après les vacances scolaires faute de dialogue…et l’Académie reste muette. Seule victime : l’élève !
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