Une distillerie clandestine de boissons alcoolisées découverte à Ghardaïa Agissant suite à des informations fiables faisant état d’une distillerie clandestine de fabrication de boissons alcoolisées traditionnelles à base de certaines plantes et de dattes écrasées , les éléments de la police judiciaire de la deuxième sûreté urbaine de Sidi Abbaz, appuyés par une équipe de la brigade de recherche et d’investigation (BRI) de la police judiciaire de la sûreté de wilaya de Ghardaïa, munis d’un mandat de perquisition délivré par le procureur de la République près le tribunal de Ghardaïa, ont, en fin de semaine, investi une vieille bâtisse isolée, nichée au fin fond de la luxuriante palmeraie du ksar de Bounoura, au lieudit Azouil. Les policiers ont surpris un individu, au milieu de dizaines de bonbonnes et de plusieurs mètres linéaires de tuyauterie en cuivre et en aluminium, en train de remplir des bouteilles en plastique d’un liquide ocre, en fait une boisson artisanale fermentée, appelée localement Tassarant. Arrêté, l’individu, âgé d’une quarantaine d’années, a reconnu s’adonner à la fabrication et à la commercialisation de cette boisson alcoolisée et a balancé ses complices au nombre de quatre. Présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Ghardaïa, il a été déféré devant le magistrat instructeur. Des fonctionnaires des impôts dénoncent leur système de notation Dans une lettre adressée au directeur régional des impôts de Chlef, dont une copie est en notre possession, des fonctionnaires des impôts affectés auprès des recettes communales et des hôpitaux de la wilaya dénoncent la «hogra et l’ humiliation dont ils font l’objet de la part de la direction des impôts de Chlef en matière de notation pour l’attribution de la prime de revenus complémentaires». Les plaignants, qui dépendent du Trésor public, estiment que les notations envoyées par leurs responsables hiérarchiques directs à la direction de wilaya des impôts sont anormalement revues à la baisse au niveau de cette administration. Et de s’interroger : «Au regard de quel droit peut-on changer ou réduire de moitié une notation dûment arrêtée et validée par nos responsables directs conformément à la convention liant les deux parties ?» Par conséquent, ils demandent l’intervention du directeur régional des impôts pour les rétablir dans leurs droits . Dons de livres à l’occasion du 19 Mars à Tiaret Abdeslam Bentouati, wali de Tiaret, a offert, hier, en marge des festivités du 56e anniversaire du 19 Mars, des attestations de remise symbolique de dons de livres d’histoire à la sûreté de wilaya et à la direction de la culture de Tiaret. Des livres offerts par le ministère des Moudjahidine, en application d’une promesse faite par Tayeb Zitouni lors de sa visite dans la wilaya il y a quelques semaines. S’agissant du secteur de la culture, son directeur, M. Benali, a fait savoir que «les 1080 titres qui nous ont été remis vont être distribués à 11 bibliothèques, dont celle ambulante». Le public empêché de suivre le Championnat d’Afrique de cross- country à Chlef Les sportifs de Chlef, adeptes du cross-country, sont très remontés contre les organisateurs du 5e Championnat d’Afrique de cross-country, qui s’est déroulé samedi dernier à Chlef. Et pour cause, les nombreux citoyens venus assister au spectacle ont été contraints de suivre les courses à partir d’un grand canal, heureusement asséché, et ce, avec toutes les contraintes que cela induisait .Selon eux, les responsables en charge de l’organisation ont carrément négligé, voire délaissé, ce volet important de la compétition, à savoir la dimension populaire de l’événement. Pourtant, il y avait suffisamment d’espaces autour du parcours, qui pouvaient allègrement contenir les centaines de personnes venues assister à cette manifestation africaine. Malheureusement, les organisateurs,obsédés par l’excès de zèle, en ont décidé autrement. Le mépris affiché à l’égard du public l’a été aussi envers les journalistes et correspondants de presse écrite,contrairement à leurs confrères des médias publics. C’est donc un grand point noir qui n’honore nullement les auteurs de ces comportements d’un autre âge.
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