dimanche 25 mars 2018

On vous le dit

Journées marques et contrefaçon à Alger Lutter contre la contrefaçon est plus que jamais d’actualité. Une entreprise sur deux en est victime. La réalité de ce fléau a cependant longtemps été cachée ou biaisée. Dans ce contexte et pour expliquer les enjeux, les 4es Journées marques et contrefaçon, organisées par RH International communication, auront lieu les 28 et 29 mars à Alger, avec la participation d’experts nationaux et internationaux. Près de 15 intervenants représentant divers organismes spécialises tenteront de décrypter les multiples facettes de ce fléau et mettre en lumière ses fâcheuses conséquences. Il ne s’agit pas de défendre des marques, des marges ou des marchés, mais plutôt l’innovation, l’originalité et les métiers. Ce fléau  cause une perte de 500 milliards d’euros et coûte  plus  de 200 000 emplois dans le monde, dont 100 000 en Europe. La contrefaçon menace tous les secteurs d’activité : alimentaire, bâtiment, automobile, textile et cosmétiques.   Une journée de formation pour les élus RND à Chlef Le bureau de wilaya du RND à Chlef, sous l’égide du bureau national du parti, a organisé, hier, à la maison de la culture de la ville, une journée de formation pour les élus des APC et de l’APW de cette formation politique. Les travaux, animés par un député membre du bureau national chargé des élus, a porté sur les questions concernant au premier chef les élus locaux, comme le code communal et de wilaya, la réglementation régissant les marchés publics et bien d’autres sujets liés à la gestion des collectivités locales. Les organisateurs ont souligné l’importance qu’accorde la direction du parti à la formation et à la définition du rôle que doivent jouer les élus locaux dans cette conjoncture économique et financière difficile. Il faut rappeler que le RND a obtenu la majorité à l’APW et dans la plupart des communes de la wilaya de Chlef. Un pilote d’avion en Allemagne interpellé en état d’ivresse, avant le décollage Le copilote d’une compagnie aérienne portugaise a été interpellé, vendredi soir, à l’aéroport de Stuttgart, peu avant le décollage de l’avion, car il était en état d’ébriété dans le cockpit, ont annoncé la police et le parquet allemands. L’homme de 40 ans, qui a été placé en détention provisoire, avait attiré l’attention d’un employé de l’aéroport en «raison d’une odeur d’alcool et d’une démarche incertaine». Celui-ci avait prévenu les autorités aéroportuaires et la police, selon un communiqué. Des policiers, qui ont pénétré dans le cockpit de l’avion sur le point de décoller pour Lisbonne, ont également constaté «un fort état d’ébriété» et ont procédé à une prise de sang. Le parquet de Stuttgart a immédiatement suspendu la licence de vol du pilote portugais et fixé une caution de 10 000 euros pour sa libération. Des pseudo-muftis poursuivis pour diffamation à Mila Une plainte pour diffamation vient d’être déposée contre de faux muftis au commissariat de police de la commune de Sidi Merouane. Les pseudo-religieux, au nombre de trois, avaient répandu, le 15 mars, une intox, selon laquelle le nommé F. Maâmar, décédé ce jour-là, était «un apostat et un charlatan», en demandant aux fidèles de ne pas effectuer la prière du Mort à sa mémoire. Beaucoup de fidèles ont alors suivi la consigne et évité de participer à l’oraison funèbre. Suite à cela, la famille du défunt a déposé une plainte contre les mis en cause au niveau de la sûreté urbaine de la commune de Sidi Merouane. Le frère aîné de feu Maâmar, F. Brahim, ancien directeur d’une société nationale, a promis de rendre aux trois malfrats la monnaie de leur pièce. Ce vendredi, après que l’affaire fut devenue un secret de Polichinelle, des dizaines de citoyens de la commune sont allés se recueillir sur la tombe de celui que les soi-disant muftis avaient accusé d’«apostasie et de charlatanisme». Certains se sont rapprochés de ses frères et leur ont exprimé leur solidarité. Alors que d’autres se disent prêts à témoigner devant la police pour dénoncer la substance des propos diffamatoires tenus par les trois compères. Affaire à suivre. Rappelons que le défunt F. Maâmar avait commencé sa vie professionnelle comme enseignant dans une école coranique aux côtés de l’un de ses frères aînés avant de se convertir à la Fonction publique.

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