jeudi 14 décembre 2017

On vous le dit

- Chlef, dernière de la classe dans la réalisation des logements AADL La wilaya de Chlef occupe le dernier rang au niveau national en matière de réalisation de logements AADL. Plus de 3000 unités accusent ainsi un retard considérable depuis 2015, et ce,malgré l’affectation des terrains d’assiettes par les autorités en place à l’époque. Le constat, peu reluisant, a été fait, avant-hier,  par le premier responsable du secteur, Abdelwahid Temmar, lors d’une rencontre tenue au siège de son département et consacrée à la situation de ce segment de l’habitat. Le ministre de l’Habitat a adressé un dernier avertissement aux chefs d’entreprises et intervenants concernés afin qu’ils rattrapent rapidement leur retard. Il faut signaler qu’outre les  3000 unités sur les 4500 AADL accordées à la wilaya de Chlef au titre du précédent quinquennat, 4000 autres logements additionnels sont toujours en souffrance. Les autorités locales étaient plutôt préoccupées par les  rendez-vous électoraux, laissant en rade presque tous les  programmes de développement local, notamment ceux d’ordre socio-économique. - Une tentative d’émigration clandestine avortée à Béjaïa C’est une première à Béjaïa. Au cours d’une patrouille de routine nocturne, la police des frontières a déjoué une tentative d’émigration clandestine au port de Béjaïa, selon la cellule de communication de la police. Trois candidats à l’émigration clandestine, originaires de Sidi Bel Abbès, ont été interceptés par les forces de l’ordre lors de cette opération. Les prévenus, selon la même source, ont été arrêtés dans l’enceinte du port après qu’ils ont escaladé le mur de clôture de l’infrastructure portuaire. Après avoir été auditionnés par les enquêteurs de la police, les trois jeunes, répondant aux initiales  B. M., 36 ans, H. A., 31 ans et H. Z., 25 ans ont confié avoir voulu «émigrer clandestinement par la mer». Présentés devant le procureur de la République, les mis en cause ont bénéficié d’une citation directe, où ils ont écopé d’une amende de 5000 DA. - Découverte d’une tique repue du sang d’un dinosaure Les tiques festoyaient de sang de  dinosaures bien avant de devenir le cauchemar des marcheurs et de tout ce qui a des poils et des plumes et même parfois de ce qui porte des écailles, selon une   étude publiée dans la revue Nature Communications. Une équipe de chercheurs espagnols et britanniques a trouvé en Birmanie quatre tiques parfaitement conservées dans de l’ambre (résultant des sécrétions   de végétaux fossilisés), vieilles de 99 millions d’années. Parmi ces quatre parasites surgis du passé, l’un de la famille des «Tiques terribles de Dracula», était «gorgé de sang», un autre avait une patte «empêtrée» dans une plume, appartenant immanquablement à un dinosaure, puisque les oiseaux n’existaient pas encore. Cette dernière, représentante d’une espèce éteinte, mesurait un millimètre et avait huit pattes mais pas d’œil. «Il est extrêmement rare de découvrir des fossiles de parasites hématophages directement liés aux restes de leurs hôtes», explique Xavier Delclòs, de l’université de Barcelone, coauteur de l’étude.

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