La chaine 3 de la Radio Algérienne s’intéresse, ce dimanche, aux opérations de contrôles des activités des pharmacies, dont elle annonce qu’au sein de certaines parmi elles ont été constatées des infractions « à la réglementation en vigueur ».
Dans une enquête consacrée au sujet et citant quelques unes de ces infractions elle fait état de l’absence sur le lieu de leur travail des propriétaires d'officines, remplacées par des employés « non qualifiés », tout comme elle évoque la vente de médicaments « périmés », les demandeurs de médicaments « payant les conséquences des erreurs commises ».
Des suites de ces situations, elle signale que plusieurs propriétaires de pharmacies ont fait l’objet d’avertissements et que d’autres ont été sanctionnés alors, qu’indique-t-elle, l’Ordre national des pharmaciens réclame l’application d’un statut de pharmacien assistant.
Pour Lotfi Ben Bahmed, président de l’Ordre national des pharmaciens, la présence de pharmaciens assistants pourrait pallier l’absence d’un propriétaire de pharmacie. « C’est, explique-t-il, un système qui existe dans de nombreux pays dans le monde « et qui tarde à se mettre en place » en Algérie.
L’enquête relève qu’un « nombre important » de pharmacies d’officine ne respecte pas la réglementation, leurs propriétaires étant « souvent » absent sur les lieux de son travail et se faisant remplacer par de simples « vendeurs », les demandeurs de médicaments « payant les conséquences des erreurs commises ».
Approché, Hamid, le propriétaire d’une pharmacie du centre de la capitale, explique qu’il ne peut être continuellement présent dans son commerce parce qu’appelé à d’autres obligations comme se déplacer auprès d’une banque ou de la CNAS, « laquelle, dit-il, exige sa présence ».
Pour Omar Berrejouane, inspecteur général au ministère de la Santé, l’absence d’un pharmacien titulaire dans son officine constitue une infraction « grave » présentant « un grand risque » pour les citoyens demandeurs de traitement.
Celui-ci n’en déclare pas moins qu’un travail sera effectué avec tous les représentants des offices un travail destiné à réunir toutes les conditions afin que soit normalisé et reglémenté le fonctionnement des officines.
Dans une enquête consacrée au sujet et citant quelques unes de ces infractions elle fait état de l’absence sur le lieu de leur travail des propriétaires d'officines, remplacées par des employés « non qualifiés », tout comme elle évoque la vente de médicaments « périmés », les demandeurs de médicaments « payant les conséquences des erreurs commises ».
Des suites de ces situations, elle signale que plusieurs propriétaires de pharmacies ont fait l’objet d’avertissements et que d’autres ont été sanctionnés alors, qu’indique-t-elle, l’Ordre national des pharmaciens réclame l’application d’un statut de pharmacien assistant.
Pour Lotfi Ben Bahmed, président de l’Ordre national des pharmaciens, la présence de pharmaciens assistants pourrait pallier l’absence d’un propriétaire de pharmacie. « C’est, explique-t-il, un système qui existe dans de nombreux pays dans le monde « et qui tarde à se mettre en place » en Algérie.
L’enquête relève qu’un « nombre important » de pharmacies d’officine ne respecte pas la réglementation, leurs propriétaires étant « souvent » absent sur les lieux de son travail et se faisant remplacer par de simples « vendeurs », les demandeurs de médicaments « payant les conséquences des erreurs commises ».
Approché, Hamid, le propriétaire d’une pharmacie du centre de la capitale, explique qu’il ne peut être continuellement présent dans son commerce parce qu’appelé à d’autres obligations comme se déplacer auprès d’une banque ou de la CNAS, « laquelle, dit-il, exige sa présence ».
Pour Omar Berrejouane, inspecteur général au ministère de la Santé, l’absence d’un pharmacien titulaire dans son officine constitue une infraction « grave » présentant « un grand risque » pour les citoyens demandeurs de traitement.
Celui-ci n’en déclare pas moins qu’un travail sera effectué avec tous les représentants des offices un travail destiné à réunir toutes les conditions afin que soit normalisé et reglémenté le fonctionnement des officines.
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