mercredi 5 août 2015

On vous le dit

Ould Ali inspecte les centres de vacances

Le nouveau ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, installé en pleine saison estivale, a entamé sa tournée des centres de vacances. La première visite a eu lieu au centre de loisirs de jeunes ouvert aux enfants des gardes communaux dans la commune d’El Bedj (wilaya de Tipasa). Le ministre s’est enquis des conditions des jeunes venus de l’intérieur du pays. Durant cette période, le ministre, en étroite collaboration avec les autorités de wilaya et locales,
dont le DJS, est intervenu directement pour assurer une meilleure gestion et de bonnes conditions de séjour des jeunes, notamment ceux de Ouargla, Oran, Béchar et Souk El Thenine. En outre, il a instruit les cadres de son département pour veiller de près à la préparation et au contrôle des conditions d’organisation des prochaines sessions. Ould Ali a hérité d’une situation difficile après le scandale survenu à l’Agence nationale des activités des loisirs des jeunes (Analj).

La 5e bougie du Centre commercial et de loisirs de Bab Ezzouar

Inauguré le 5 août 2010, le Centre commercial et de loisirs de Bab Ezzouar a, depuis, évolué pour répondre à la demande de ses clients : création et extension d’un pôle de boutiques au 2e étage, implantation de nouvelles enseignes et montée en gamme. Pour les responsables, il s’agit de répondre à une très forte attente de la population algéroise et algérienne et d’amener une nouvelle approche de la consommation en offrant plaisir, détente et divertissement. Les travaux de construction d’autres centres commerciaux ont été entamés, comme celui d’Es Senia, à Oran, qui est situé entre le centre-ville et l’aéroport Ahmed Benbella. L’ouverture est prévue pour le printemps 2017. Le développement se poursuivra à l’est du pays, dans les villes de Sétif et Constantine, mais également au centre des villes d’Alger et d’Oran.

Les absurdités du maire de Constantine

Le maire de Constantine, Seif Eddine Rihani, ne cesse de surprendre la presse avec ses sorties absurdes. A une époque où la communication est une obligation pour tout responsable ou élu, le président de l’APC a trouvé une parade inédite en invitant les représentants de la presse à lui transmettre par écrit leurs questions par le biais de sa cellule de communication, pour qu’il puisse leur répondre le lendemain, après la session de l’APC de Constantine. C’est la cellule de communication qui s’est chargée de contacter les journalistes par téléphone pour les informer des «directives» du maire, la veille de la tenue de la session de l’APC. Une manière inhabituelle de communiquer de la part du premier «magistrat» de la commune. Mais en fait, depuis quand un président d’APC ou un quelconque responsable demande à la presse de transmettre ses questions avant même la tenue de la conférence de presse ? Seif Eddine Rihani est-il gêné, a-t-il un complexe avec la presse, ou bien ne maîtrise-t-il pas les dossiers de sa commune trois ans après son élection ? Certaines mauvaises langues ont trouvé une autre explication : en vérité, le maire a demandé ces questions pour bien réviser à la maison et préparer les réponses.

Les précisons de la CAAT

Faisant suite à l’information parue dans notre édition du 3 août 2015 en page 21 sous le titre «La CAAT refuse d’indemniser un émigré», l’entreprise nous a envoyé les précisons suivantes.

L’assurance frontière telle qu’instaurée par la réglementation en vigueur ne couvre l’assuré qu’en garantie «responsabilité civile», c’est-à-dire que dans le cas où il cause des dommages à autrui. S’agissant du sinistre en question, la CAAT ne pourra indemniser le requérant que lorsque l’assureur adverse aura procédé au règlement relatif à la demande de recours déjà introduite par l’entreprise. Elle souligne qu’elle procédera à l’indemnisation du requérant dès aboutissement du recours.

Ce cas entre dans le cadre des sinistres concernés par les opérations d’assainissement menées par les compagnies d’assurances. 

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