- Deux morts et trois blessés graves dans un accident de la route à Ghardaïa Il était 19h43, samedi soir, lorsqu’un véhicule de marque Toyota Hillux, double cabine, dans lequel avait pris place une famille de cinq personnes, a dérapé, à 5 km au sud de Hassi Lefhel, en direction d’El Ménéa. Arrivés rapidement sur les lieux, les éléments du poste avancé de la Protection civile de Hassi Lefhel ont retiré de la carcasse du véhicule les corps inertes de deux hommes, âgés de 30 et 31 ans, qui ont rendu l’âme sur place, et les trois blessés, deux femmes âgées de 28 et 30 ans et un homme âgé de 31 ans. Les dépouilles ont été déposées à la morgue de la polyclinique de Hassi Lefhel, à 120 km au sud du chef-lieu de wilaya, Ghardaïa, ainsi que les trois blessés, qui ont été pris en charge aux urgences médico-chirurgicales. Une enquête a été ouverte par la brigade de la gendarmerie de Hassi Lefhel pour déterminer les causes exactes de ce drame, sur ce tronçon maudit, entre Hassi Lefhel et El Ménéa, à 270 km au sud de Ghardaïa, où, pour le seul mois de novembre, pas moins de 12 décès ont été enregistrés. Qui arrêtera l’hécatombe ? - Saisie de 768 kg de kif par les Douanes de Tiaret Une importante quantité de kif traité, s’élevant à 768,37 kg, a été saisie, le week-end passé, par les éléments de la brigade des Douanes de Tiaret, relevant de la direction régionale des Douanes de Chlef, indique dans un communiqué le service de communication de cette institution. La marchandise était transportée à bord d’un camion de marque JAC immatriculé à Djelfa, qui a été intercepté lors d’un barrage routier dressé le 1er décembre à 3h, au rond-point de Guertoufa, dans la wilaya de Tiaret, précise la même source. Celle-ci ajoute que le dossier afférent à cette affaire a été transmis à la juridiction compétente et que cette opération s’inscrit dans la continuité de la lutte contre ce fléau, en particulier sur les axes routiers de l’ouest du pays. - Ignorance absolue de la loi au bureau des demandes de passeport Le responsable du bureau des passeports à la mairie de Témouchent a rejeté le dossier de renouvellement de passeport biométrique à un citoyen une première fois, au motif qu’il devait fournir les mêmes documents que pour une première demande, alors qu’il n’avait à présenter que son passeport biométrique arrivé à expiration, des photos, un certificat de résidence et un reçu de versement de 6000 DA auprès des impôts. Il avait été orienté vers la mairie par la daïra qui avait fort à faire avec les élections. S’étant conformé aux exigences du chef de bureau parce que ses interventions auprès de sa tutelle n’avaient pas abouti, il a vu encore une fois son dossier rejeté, au motif que sur son passeport ne figurait pas le visa de l’ambassade turque, alors qu’il y a été. Il fait remarquer que l’essentiel est que les polices des frontières d’Algérie et de Turquie avaient validé ses entrées et sorties et que cela ne les regardaient qu’elles et pas le bureau de demandes de passeport. Devant le refus obstiné, il explique encore qu’il s’agit d’un visa électronique sur feuille volante et non d’un cachet sur le passeport. Médusé, il lui est rétorqué de rapporter ce document. Et fort de sa méconnaissance de la réglementation, l’agent communal lui délivre à sa demande un rejet écrit, signé et cacheté, rejet motivé par l’absence du visa turque. Ahurissant ! - Trump nie avoir demandé au FBI d’abandonner l’enquête sur Flynn Le président américain Donald Trump a nié hier avoir demandé au FBI d’abandonner l’enquête sur son ex-conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, qui a plaidé coupable d’avoir menti dans l’affaire des ingérences russes lors de la dernière présidentielle. «Je n’ai jamais demandé à Comey d’abandonner l’enquête sur Flynn. Encore de fausses informations couvrant un autre mensonge de Comey», a tweeté M. Trump. Lors d’une audition début juin devant le Sénat, l’ancien directeur du FBI James Comey avait affirmé que Donald Trump lui avait personnellement demandé d’enterrer l’enquête visant Michael Flynn. Samedi, Donald Trump avait réaffirmé qu’il n’y avait eu « aucune collusion» de son équipe de campagne lorsqu’il briguait la Maison Blanche avec la Russie, et montré du doigt le département de la Justice, ainsi que son ex-rivale démocrate Hillary Clinton. Vendredi, Michael Flynn a plaidé coupable, devant un juge fédéral à Washington, d’avoir notamment fait de fausses déclarations aux enquêteurs sur ses conversations avec l’ambassadeur de Russie aux Etats-Unis, Sergueï Kisliak.
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