Le campus de Targa Ouzemour, relevant de l’université Abderahmane Mira de Béjaïa, a vécu mardi dernier un incident regrettable qui a envoyé un enseignant à l’hôpital.
Les faits sont survenus vers 9h 30 à l’entrée de la faculté des sciences exactes où sont affichés les résultats des examens du deuxième semestre. Selon des témoignages recueillis auprès de quelques enseignants et étudiants, l’enseignant, qui est aussi vice doyen chargé de la pédagogie, a surpris l’étudiant en train de déchirer les affiches, une pratique malheureusement courante dans l’université algérienne. Le vice doyen intervient et demande sa carte à l’étudiant qui ne s’exécutera pas. L’échange verbal entre les deux parties semble s’être déroulé dans un climat tendu. En se rebiffant, l’étudiant aurait exécuté un mouvement de la main qui a envoyé violemment l’enseignant contre une barre de fer sur laquelle sa tête s’est écrasée.
Pour certains étudiants, leur camarade n’a pas agi par intention de violenter l’enseignant. Il reste que des images de la chemise de la victime, mise sur les réseaux sociaux, montrent une perte importante du sang. L’enseignant a heureusement eu la vie sauve malgré la grave blessure au niveau de la nuque.
Ce regrettable incident a fait réagir plusieurs enseignants qui ont observé, à l’intérieur du campus, un rassemblement de solidarité avec leur collègue et de dénonciation de la violence. «J’ai pris part au rassemblement avec mes étudiants», rapporte un enseignant au campus d’Aboudaou. Mais sur les réseaux sociaux, des étudiants se sont lâchés dans des commentaires inquiétants qui justifient la violence.
Les faits sont survenus vers 9h 30 à l’entrée de la faculté des sciences exactes où sont affichés les résultats des examens du deuxième semestre. Selon des témoignages recueillis auprès de quelques enseignants et étudiants, l’enseignant, qui est aussi vice doyen chargé de la pédagogie, a surpris l’étudiant en train de déchirer les affiches, une pratique malheureusement courante dans l’université algérienne. Le vice doyen intervient et demande sa carte à l’étudiant qui ne s’exécutera pas. L’échange verbal entre les deux parties semble s’être déroulé dans un climat tendu. En se rebiffant, l’étudiant aurait exécuté un mouvement de la main qui a envoyé violemment l’enseignant contre une barre de fer sur laquelle sa tête s’est écrasée.
Pour certains étudiants, leur camarade n’a pas agi par intention de violenter l’enseignant. Il reste que des images de la chemise de la victime, mise sur les réseaux sociaux, montrent une perte importante du sang. L’enseignant a heureusement eu la vie sauve malgré la grave blessure au niveau de la nuque.
Ce regrettable incident a fait réagir plusieurs enseignants qui ont observé, à l’intérieur du campus, un rassemblement de solidarité avec leur collègue et de dénonciation de la violence. «J’ai pris part au rassemblement avec mes étudiants», rapporte un enseignant au campus d’Aboudaou. Mais sur les réseaux sociaux, des étudiants se sont lâchés dans des commentaires inquiétants qui justifient la violence.
Les faits sont survenus vers 9h 30 à l’entrée de la faculté des sciences exactes où sont affichés les résultats des examens du deuxième semestre. Selon des témoignages recueillis auprès de quelques enseignants et étudiants, l’enseignant, qui est aussi vice doyen chargé de la pédagogie, a surpris l’étudiant en train de déchirer les affiches, une pratique malheureusement courante dans l’université algérienne. Le vice doyen intervient et demande sa carte à l’étudiant qui ne s’exécutera pas. L’échange verbal entre les deux parties semble s’être déroulé dans un climat tendu. En se rebiffant, l’étudiant aurait exécuté un mouvement de la main qui a envoyé violemment l’enseignant contre une barre de fer sur laquelle sa tête s’est écrasée.
Pour certains étudiants, leur camarade n’a pas agi par intention de violenter l’enseignant. Il reste que des images de la chemise de la victime, mise sur les réseaux sociaux, montrent une perte importante du sang. L’enseignant a heureusement eu la vie sauve malgré la grave blessure au niveau de la nuque.
Ce regrettable incident a fait réagir plusieurs enseignants qui ont observé, à l’intérieur du campus, un rassemblement de solidarité avec leur collègue et de dénonciation de la violence. «J’ai pris part au rassemblement avec mes étudiants», rapporte un enseignant au campus d’Aboudaou. Mais sur les réseaux sociaux, des étudiants se sont lâchés dans des commentaires inquiétants qui justifient la violence.
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